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e à l’endroit de l’engagement tel qu’on le parle,
Starobinski
n’a jamais négligé le devoir civique : c’en était un pour lui que de
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mbre et de la cadence de la phrase. D’un texte de
Starobinski
dont j’eus un jour connaissance, je voudrais vous citer, en toute ind
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’est en effet le thème central de la recherche de
Starobinski
qui constitue le vrai sujet de cet ouvrage, cependant que le mouvemen
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res thèmes qu’on retrouve dans tous les livres de
Starobinski
, qu’il s’agisse de littérature, d’esthétique, ou d’analyse des maladi
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fin du xvie siècle ? Il se passe, et je cite ici
Starobinski
: « des luttes de princes pour l’accroissement de leur pouvoir (avec,
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es termes, de l’engagement dans l’actuel. Ce que
Starobinski
va nous montrer au long des sept illustrations que constituent les se
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pages du livre, intitulées : « Après Montaigne »,
Starobinski
baisse le masque du critique et prend la parole en son nom. Ce passag
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insi va-t-il de Montaigne copiant les Anciens, de
Starobinski
interprétant Montaigne, — et de moi-même sans doute disant cela, pour