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t-seller, les revues et la presse nous parlent de
Sumer
, du paléolithique, des Mayas ou du vase de Vix, les mémoires font fur
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Giotto à Manet », « l’évolution de la science de
Sumer
à nos jours », sont devenues des expressions aussi courantes que « l’
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t-seller, les revues et la presse nous parlent de
Sumer
, du paléolithique, des Mayas ou du vase de Vix, les mémoires font fur
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vilisations antiques de l’Égypte des Pharaons, de
Sumer
, de l’Inde védantique, ou des Mayas, fondaient leur unité originelle
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vilisations fondées sur le Sacré, comme celles de
Sumer
, de l’Égypte des Pharaons, de l’Inde védantique, ou encore des Mayas,
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le Sacré (das Heilige, the Holy), comme celles de
Sumer
, de l’Égypte des Pharaons, de l’Inde védantique, ou encore des Mayas,
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xant d’innombrables tribus : empires d’Égypte, de
Sumer
et d’Akkad, plus tard de la Chine et de l’Inde, puis d’Alexandre, pui
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xant d’innombrables tribus : empires d’Égypte, de
Sumer
et d’Akkad, plus tard de la Chine et de l’Inde, puis d’Alexandre, pui
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vilisations antiques de l’Égypte des Pharaons, de
Sumer
, de l’Inde védantique ou des Mayas, fondaient leur unité originelle s
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xant d’innombrables tribus : empires d’Égypte, de
Sumer
et d’Akkad, plus tard de la Chine et de l’Inde, puis d’Alexandre, pui
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vilisations antiques de l’Égypte des Pharaons, de
Sumer
, de l’Inde védantique ou des Mayas, fondaient leur unité originelle s
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s, ou absorbantes, évoluant à travers les âges de
Sumer
à Thulé — ou l’inverse peut-être — avec leur chargement continental d
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t à travers eux, derrière eux, il y a l’Égypte et
Sumer
. Chacun de nous, dans chacun de ses jugements moraux, civiques, socia
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s d’âge. Or, la culture européenne, qui remonte à
Sumer
, à l’Égypte, à la Crête, à l’Iran et aux Scythes, à la Syrie et aux J
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seulement de l’Inde, du Tibet et de la Perse, de
Sumer
, de l’Égypte et d’Israël, mais aussi de la Grèce d’Homère, de la Rome
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u témoignage des textes et des œuvres d’art. Pour
Sumer
et l’Égypte pharaonique, pour toute l’Antiquité gréco-latine, mais au
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prochements et contrastes avec les mythologies de
Sumer
et d’Akkad, de l’Inde, de la Chine, ou de la Polynésie. Tout cela m’a
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ssèdent les autres religions « universelles », de
Sumer
aux Mayas et de l’Inde à la Chine ; — n’a pas pour fonction principa
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rate, encore couverte de forêts quand l’Égypte et
Sumer
illustraient toute la civilisation. Elle n’est pas le produit démontr
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ut, à mettre à la place des mages, des prêtres de
Sumer
, de l’Égypte et de toutes les civilisations asiatiques, une espèce d’