1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
1 ilosophes terriblement concrets : Maître Eckhart, Suso , Tauler, Franck et Weigel, et surtout Boehme le gnostique. Pour Parac
2 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
2 s poètes, des philosophes terriblement concrets : Suso , Tauler, Franck et Weigel, et surtout Boehme le gnostique. Pour Parac
3 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
3 intimes relations avec les doctrines mystiques de Suso et de Tauler, et par eux, de Maître Eckhart. On sait que Luther, de s
4 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
4 mples topiques ; celui, entre autres, du mystique Suso  : « La vie de la chrétienté médiévale est, dans toutes ses manifestat
5 ù l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
6 mples topiques ; celui, entre autres, du mystique Suso  : « La vie de la chrétienté médiévale est, dans toutes ses manifestat
7 ù l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
8 mples topiques ; celui, entre autres, du mystique Suso  : « La vie de la chrétienté médiévale est, dans toutes ses manifestat
9 ù l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
10 influencera Maître Eckhart, puis Ruysbroeck, puis Suso et les autres mystiques flamands et rhénans. Les poèmes de la béguine
8 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
11 culte unique. Dans son excellent petit livre sur Suso et le Minnesang 220 J. A. Bizet rappelle d’abord comment « l’Éternell
12 ment « l’Éternelle Sagesse » devint pour le jeune Suso (à la suite d’une extase) « une manière de théophanie substituée à la
13 ituée à la pure notion de la divinité ». Dès lors Suso , dans ses ouvrages, notamment la Vita et l’Horologium sapientae, va c
14 ita.) (Que n’ai-je connu plus tôt cette phrase de Suso  ! Elle eût fait la meilleure épigraphe à mon Livre II.) Mais il y a p
15 me dit un trouvère après tous les troubadours, et Suso  : « ein suesses we… ein ellende froede » (une douleur douce… une plai
16 us amoris qui est à la fois gaudium et dolor chez Suso  ; — enfin, la nostalgie essentielle de toute passion qui s’adresse à
17 its « prouvaient la réalité » de la Dame !) Ainsi Suso « tient cette gageure de chanter comme une femme aimée le Bien insais
18 épondrai qu’ils doivent me convaincre d’abord que Suso n’a jamais existé, n’a pas écrit, n’a pas eu lieu. Mais d’autre part,
19 as eu lieu. Mais d’autre part, on nous assure que Suso demeura toute sa vie un dominicain très fidèle aux disciplines et dog
20 une pétition de principe quant à l’orthodoxie de Suso . De fait, sans qu’il soit même besoin de rappeler son influence sur l
21 ondamnés par l’Église, tous les deux défendus par Suso comme fidèles à l’orthodoxie, du moins telle qu’il la concevait. Et s
22 avec les hérétiques ? Faudra-t-il en déduire que Suso , en cela, était hérétique — ou au contraire que les cathares en cela
23 twort auf Hiob de C. G. Jung. 220. J. A. Bizet, Suso et le Minnesang, Paris, 1944. Voir aussi du même auteur : Henri Suso
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
24 pal pour peu de temps), Amis de Dieu disciples de Suso  : ils traversent l’Europe en cortèges de pèlerins chantant des « chan
25 nes en Allemagne — Luther lecteur de Tauler et de Suso , et laudateur de leur disciple Nicolas de Flue — ils passent très vit
10 1981, Tapuscrits divers (1980-1985). Nicolas de Flue, le Solitaire par qui tous sont unis (19 mai 1981)
26 u mouvement rhénan des Amis de Dieu, disciples de Suso , dont il connaissait les ouvrages, puisqu’il lui avait emprunté sa pr