1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 e — si passionné. Nul n’est moins oriental que de Traz , et c’est ce qui donne à ses notations tout leur prix. Elles ne nous
2 sur les ruines de la Haute-Égypte révèlent en de Traz un philosophe de l’histoire aux vues larges et pourtant réalistes, au
3 eux mêlé, parfois, d’une certaine amertume, où de Traz quitte le ton mesuré qu’il s’impose d’ordinaire. Mais j’avoue que m’a
2 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
4 es réduit à peu, sinon à rien, les espoirs que de Traz se faisait une vertu et même une raison d’entretenir, malgré toutes s
5 fois pompeux et apprêté de cet opuscule, quand de Traz reste vif, naturel et concis. C’est dans le fédéralisme qu’il voit « 
6 lerie et de reniement ? » Et je crois entendre de Traz ajouter sur un ton plus encore convaincu qu’indigné : « Tout de même 
7 e en moi d’amers regrets. Je voudrais écrire à de Traz sur toutes ces choses, ce soir : il est trop tard. Il m’était encore
3 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
8 tre les rangs, cherchant un sens à tout cela.) De Traz me présenta à l’orateur quand nous sortîmes, tandis qu’on se battait