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e — si passionné. Nul n’est moins oriental que de
Traz
, et c’est ce qui donne à ses notations tout leur prix. Elles ne nous
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sur les ruines de la Haute-Égypte révèlent en de
Traz
un philosophe de l’histoire aux vues larges et pourtant réalistes, au
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eux mêlé, parfois, d’une certaine amertume, où de
Traz
quitte le ton mesuré qu’il s’impose d’ordinaire. Mais j’avoue que m’a
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es réduit à peu, sinon à rien, les espoirs que de
Traz
se faisait une vertu et même une raison d’entretenir, malgré toutes s
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fois pompeux et apprêté de cet opuscule, quand de
Traz
reste vif, naturel et concis. C’est dans le fédéralisme qu’il voit «
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lerie et de reniement ? » Et je crois entendre de
Traz
ajouter sur un ton plus encore convaincu qu’indigné : « Tout de même
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e en moi d’amers regrets. Je voudrais écrire à de
Traz
sur toutes ces choses, ce soir : il est trop tard. Il m’était encore
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tre les rangs, cherchant un sens à tout cela.) De
Traz
me présenta à l’orateur quand nous sortîmes, tandis qu’on se battait