1 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Cour suprême européenne (14 mars 1949)
1 À Rome, en novembre dernier, lors du Congrès de l’ UEF , le comte Sforza est venu nous parler de ce qui lui tient le plus à c
2 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
2 attiraient surtout les jeunes, de 18 à 40 ans. (L’ UEF compta jusqu’à 100 000 membres inscrits vers 1949-1950.) Leur volonté
3 aire européenne. À Montreux, en septembre 1947, l’ UEF convoqua son premier grand congrès. Nombre de délégués des autres mou
4 ne table ronde improvisée par les dirigeants de l’ UEF . Ces derniers préconisaient la convocation d’états généraux de l’Euro
3 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
5 Cette idée aussitôt adoptée par les leaders de l’ UEF conduit à la convocation du Congrès de l’Europe, qui se tient à La Ha
4 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
6 présente, Raymond Silva, secrétaire général de l’ UEF , et il vient me relancer au sujet de Montreux. À mes objections réité
7 avènement de l’Europe fédérale. Mais tandis que l’ UEF imaginait tout cela, les observateurs des mouvements européens non fé
8 Zeeland, Serruys) se rencontraient avec ceux de l’ UEF (Brugmans, Silva, Voisin) et constituaient un « comité de liaison int
9 te de cette réunion devant le comité central de l’ UEF . Le procès-verbal que j’ai sous les yeux permet de reconstituer la si
10 onstituer la situation dramatique dans laquelle l’ UEF avait à tenir son rôle, ou plutôt à le créer, en prenant de grands ri
11 cun une voix, tout comme la Ligue économique et l’ UEF , cette dernière se trouve seule contre trois. « Pourtant, si nous ref
12 quer de perdre à la fois le bénéfice du nombre (l’ UEF groupe déjà vingt-huit mouvements totalisant cent-mille membres cotis
13 l s’agit d’optimiser la coexistence en tension. L’ UEF choisit ce jour-là le risque de collaborer. Elle le fit, semble-t-il,
14 vraies forces, les membres du comité central de l’ UEF aient décidé ce jour-là d’annoncer leur rupture éclatante avec « l’an
15 souverainetés nationales absolues. De son côté l’ UEF voyait venir à elle le mouvement démo-chrétien des Nouvelles équipes
16 e et l’on ne peut juger que c’eût été le cas si l’ UEF avait rompu avec Sandys, Retinger et Courtin. Mais gardons pour plus
17 Montreux à La Haye : qui formulera le sens ? L’ UEF attendait des états généraux la naissance d’une vie politique fédéral
18 n politique ou spirituelle. Je pense plutôt que l’ UEF gardait encore bon espoir de faire du congrès de La Haye quelque chos
19 de I’UEF, 27-31 août 1947, Montreux, édité par l’ UEF , Genève (1948), 142 pages. 153. On appelait alors plan Monnet l’ense
5 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
20 . 25. Cf. Rapport du Premier congrès annuel de l’ UEF , 27-31 août 1947, Montreux. Édité par l’UEF, Genève 1948, 142 p. — On
21 de l’UEF, 27-31 août 1947, Montreux. Édité par l’ UEF , Genève 1948, 142 p. — On appelait alors Plan Monnet l’ensemble des m
6 1985, Tapuscrits divers (1980-1985). Membre d’honneur de la Fondation européenne de la culture (6 juin 1985)
22 ner en un an plus de 100 000 cotisants à la seule UEF (l’une des six associations qui allaient convoquer le congrès de La H
23 ordre alphabétique : H. Brugmans, président de l’ UEF , F. Marinotti, PDG de la Snia-Viscosa, J. Retinger, délégué général d
7 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
24 n que les fédéralistes — et d’abord mes amis de l’ UEF — pouvaient se former alors du Conseil de l’Europe. Messieurs les dé
25 oi le 17 novembre, pour assister à trois congrès ( UEF , NEI, MSEUE), et pour participer à des travaux sur les instituts univ
26 00 jeunes gens dès le 27 novembre, à l’appel de l’ UEF et sous la responsabilité du professeur Mouskhély. Il m’avait averti
27 nelli et moi-même. C’est un des responsables de l’ UEF , le professeur Mouskhély, d’origine géorgienne, qui fut le maître d’œ