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ille, par le respect de la caste, par l’étude des
Vedas
, surtout par les écoles de Maîtres. Les rites sont familiaux, ou même
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u scientifiques, tels que la Bible, le Coran, les
Vedas
; ou Aristote, saint Thomas, Calvin, Marx, ou Descartes, Einstein, et
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érielles qu’à la faveur de son reflet, disent les
Vedas
. Point de création sans un double. Or on sait que le Double est l’un
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’Orient ne connaît pas d’Églises. La Bible et les
Vedas
n’ont vraiment rien de commun, et l’usage qu’on en fait n’est pas du
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’Orient ne connaît pas d’Églises. La Bible et les
Vedas
n’ont vraiment rien de commun, et l’usage qu’on en fait n’est pas du
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s », de tant d’autres traités d’érotisme dans les
Vedas
et les upanishads, reliant le sexuel au divin ; encore moins, des cél
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ras, de tant d’autres traités d’érotisme dans les
Vedas
et les upanishads, reliant le sexuel au divin ; encore moins, des cél
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ient inconnues. Dès les premiers commentaires aux
Vedas
, il apparaît que la négation du moi porte d’abord contre le moi « phé
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re monde intérieur. Elle reste invécue, comme les
Vedas
non récités, ou toute action non accomplie. (Brihad-âranyaka Up.) La
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ient inconnues. Dès les premiers commentaires aux
Vedas
, il apparaît que la négation du moi porte d’abord contre le moi « phé
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re monde intérieur. Elle reste invécue, comme les
Vedas
non récités, ou toute action non accomplie. (Brihad-âranyaka Up.) La
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se sacrée, religieuse, rituelle, symbolique : les
Vedas
et leurs upanishads, le Mahabharata, les Sastras, Vedangas, Sutras, t
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se sacrée, religieuse, rituelle, symbolique : les
Vedas
et leurs upanishads, le Mahabharata, les Sastras, Vedangas, Sutras, t