1
se font jour. Tout d’abord, qu’il soit clair que
Villey
ne fonde pas « un nouveau mouvement », « un mouvement de plus, quand
2
ous âges m’écrivent, écrivent aussi au professeur
Villey
, demandent plus de détails, et souvent même, offrent de faire partie
3
euses marques d’enthousiasme pour l’initiative de
Villey
me font un devoir, aujourd’hui, de vous décrire la suite de cette bel
4
el-Rops, de Jules Romains, et de ma chronique — ,
Villey
, donc, a reçu plus de 2000 lettres d’adhésion en quelques semaines. S
5
t signalées spontanément, j’ai posé la question à
Villey
. Il m’a répondu ceci : son intention est de former d’abord sa premièr
6
u d’être sérieux : leur seul exemple suffirait. À
Villey
donc et à ses volontaires, j’adresse au nom de beaucoup nos vœux de j
7
ités de l’action. Le lendemain matin, téléphone à
Villey
, qui m’apporte son texte, dont voici le passage essentiel : Nous ne
8
nt ne pas admirer la convergence des exigences de
Villey
et des miennes ? À 1 h Raymond Silva m’apporte le projet de Serment r
9
ue la Banque de France nous subventionne. À 23 h,
Villey
et sa femme au Café de France jusqu’à 1 h a.m. Vendredi 25 août : « À
10
res : il ne fut pas mieux apprécié que le défi de
Villey
et mes mises en demeure. Je le répète : nos gouvernements ne voulaien