1 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Passer à l’action (6 février 1950)
1 se font jour. Tout d’abord, qu’il soit clair que Villey ne fonde pas « un nouveau mouvement », « un mouvement de plus, quand
2 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les volontaires de Daniel Villey (10 avril 1950)
2 ous âges m’écrivent, écrivent aussi au professeur Villey , demandent plus de détails, et souvent même, offrent de faire partie
3 euses marques d’enthousiasme pour l’initiative de Villey me font un devoir, aujourd’hui, de vous décrire la suite de cette bel
4 el-Rops, de Jules Romains, et de ma chronique — , Villey , donc, a reçu plus de 2000 lettres d’adhésion en quelques semaines. S
5 t signalées spontanément, j’ai posé la question à Villey . Il m’a répondu ceci : son intention est de former d’abord sa premièr
6 u d’être sérieux : leur seul exemple suffirait. À Villey donc et à ses volontaires, j’adresse au nom de beaucoup nos vœux de j
3 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
7 ités de l’action. Le lendemain matin, téléphone à Villey , qui m’apporte son texte, dont voici le passage essentiel : Nous ne
8 nt ne pas admirer la convergence des exigences de Villey et des miennes ? À 1 h Raymond Silva m’apporte le projet de Serment r
9 ue la Banque de France nous subventionne. À 23 h, Villey et sa femme au Café de France jusqu’à 1 h a.m. Vendredi 25 août : « À
10 res : il ne fut pas mieux apprécié que le défi de Villey et mes mises en demeure. Je le répète : nos gouvernements ne voulaien