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erde pour Horace, Montaigne, Descartes, Schiller,
Voltaire
, etc., et tout ce qui leur correspond dans l’ordre politique par exem
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de rappeler Candide : nous pensons que bien avant
Voltaire
il y avait des autruches pour enseigner cette méthode à leurs petits.
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a règle de trois, aussi profondément certes qu’un
Voltaire
le fut par les jésuites : du moins ceux-ci lui laissèrent-ils assez d
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a règle de trois, aussi profondément certes qu’un
Voltaire
le fut par les jésuites : du moins ceux-ci lui laissèrent-ils assez d
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iques français, et l’Encyclopédie. Même, un petit
Voltaire
dépareillé, « ex-libris de la Malmaison ». (Une négligence sans doute
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iques français, et l’Encyclopédie. Même, un petit
Voltaire
dépareillé, « ex-libris de la Malmaison ». (Une négligence sans doute
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s ne sont rien, et les espèces sont éternelles » (
Voltaire
) ; … 3° l’être personnel considéré par opposition à l’état ou à la so
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s ne sont rien, et les espèces sont éternelles » (
Voltaire
) ; […] 3° l’être personnel considéré par opposition à l’état ou à la
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t. Et il y a lieu de poser la fameuse question de
Voltaire
: Jusqu’à quel point a-t-on le droit de tromper le peuple ? — fût-ce
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is de l’URSS citent souvent Diderot, Helvétius et
Voltaire
, à l’appui de leur foi nouvelle. Ce n’est pas sans raison qu’ils se r
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rd que ces amis de l’URSS citent souvent Diderot,
Voltaire
, à l’appui de leur foi nouvelle. Ce n’est pas sans raison qu’ils se r
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rd que ces amis de l’URSS citent souvent Diderot,
Voltaire
, à l’appui de leur foi nouvelle. Ce n’est pas sans raison qu’ils se r
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l convient d’opposer une certaine douceur amusée.
Voltaire
nous conte là-dessus une anecdote dont j’aime assez l’impertinence. I
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t. Et il y a lieu de poser la fameuse question de
Voltaire
: Jusqu’à quel point a-t-on le droit de tromper le peuple ? — fût-ce
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Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de
Voltaire
à Freud) conclut avec une bizarre assurance, et sur la foi du seul la
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Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de
Voltaire
à Freud) conclut avec une bizarre assurance, et sur la foi du seul la
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Sur quoi le psychologue matérialiste (cela va de
Voltaire
à Freud) conclut avec une bizarre assurance, et sur la foi du seul la
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ationnels de notre vie consciente. (À l’époque de
Voltaire
, l’amour perd son halo tragique ou sentimental. La guerre perd sa vio
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vient toute forme, y compris la forme de l’homme.
Voltaire
disait : « Dieu créa l’homme à son image, mais l’homme le lui a bien
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vient toute forme, y compris la forme de l’homme.
Voltaire
disait : « Dieu créa l’homme à son image, mais l’homme le lui a bien
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iques français, et l’Encyclopédie. Même, un petit
Voltaire
dépareillé, « ex-libris de la Malmaison ». (Une négligence sans doute
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ewski, Lord Byron, l’empereur Charles d’Autriche,
Voltaire
, Madame de Staël, Stravinsky, Gibbon, l’Aga Khan, la reine d’Espagne,
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e de Ferney, désormais et pour toujours, prénommé
Voltaire
. Il me semble que mon hôte n’est pas fâché d’habiter sous cette ombre
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e siècle. Que faisaient Dante, Cervantès, Swift,
Voltaire
, Rousseau, etc. ? Et Calvin ! Mais La Fontaine, Racine ?… À leur époq
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tera Paris et s’installera à Ferney, à l’ombre de
Voltaire
, l’un de ses maîtres. Là, avant d’entreprendre d’autres travaux, il a
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r la gloire et les jeux de Ferney. Le souvenir de
Voltaire
anime toute la région ; il ne vit pas seulement dans les mémoires : c
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e. Au fronton, l’on peut lire encore : Deo erexit
Voltaire
. « Deux bien grands noms ! », disaient les voyageurs du temps. Il y f
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famille. C’est ici que la publicité fut inventée.
Voltaire
n’écrivait plus une lettre aux princes intellectuels et temporels de
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s comme adversaires des libertés réelles ! Enfin,
Voltaire
libère ses vassaux de la gabelle et même du servage. Sur quoi le peup
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commun de ce que j’habite à Ferney : « Est-ce que
Voltaire
ne vient pas lui chatouiller la plante des pieds pendant la nuit ? »
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du fait de Rousseau, « citoyen de Genève », ou de
Voltaire
qui, dans sa retraite de Ferney, aimait à signer ses lettres « le Sui
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ien. (Ce n’est pas pour des raisons musicales que
Voltaire
ne prisait pas Rousseau.) Mais il y a que Denis de Rougemont, dans se
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iter vingt passages d’une malice percutante, à la
Voltaire
. Mais aussi, cette page décisive dans sa lucide simplicité : La mesu
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s difficultés firent évanouir ce grand projet. » (
Voltaire
, Essai sur les mœurs.) L’idée du canal sera reprise par les Français
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’est trop long. Donnez-moi Ferney comme Branca et
Voltaire
comme un fauteuil. — J’y suis. Dans quel département ? — L’Ain. Elle
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L’un des plus beaux aspects de l’Europe », écrit
Voltaire
, qui y a vécu de 1758 jusqu’à l’année de sa mort, vingt ans plus tard
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r la gloire et les jeux de Ferney. Le souvenir de
Voltaire
anime toute la région ; il ne vit pas seulement dans les mémoires : c
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e. Au fronton, l’on peut lire encore : Deo erexit
Voltaire
. « Deux bien grands noms ! », disaient les voyageurs du temps. Il y f
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famille. C’est ici que la publicité fut inventée.
Voltaire
n’écrivait plus une lettre aux princes intellectuels et temporels de
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s comme adversaires des libertés réelles ! Enfin,
Voltaire
libère ses vassaux de la gabelle et même du servage. Sur quoi le peup
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mmun de ce que j’habitais à Ferney : « Est-ce que
Voltaire
ne vient pas lui chatouiller la plante des pieds pendant la nuit ? »
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ues pour mériter la tolérance. » Ailleurs encore,
Voltaire
approuve l’empereur Yont-Chin, le plus sage et le plus magnanime qu’a
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meurtres ? C’est donc au nom de la tolérance que
Voltaire
conclut à la dissolution nécessaire du PC. « Si leur institut est con
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riant beaucoup, que sa famille était apparentée à
Voltaire
. ae. Rougemont Denis de, « Sur Voltaire (Le point de vue de Ferney)
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entée à Voltaire. ae. Rougemont Denis de, « Sur
Voltaire
(Le point de vue de Ferney) », Preuves, Paris, février 1957, p. 68-70
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s peut-être est-il trop complet, trop insistant :
Voltaire
pensait ainsi, mais le disait plus vite, encore que plus d’une page d
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ité internationale de l’Europe. Calvin, Rousseau,
Voltaire
, Mme de Staël, et la pédagogie nouvelle ont rayonné de là sur toute l
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phlet politique sur l’Angleterre et son temps. d)
Voltaire
, dans la centaine de ses petits écrits anonymes et pseudonymes, qui s
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es siècles. Paul Valéry, Proudhon et Saint-Simon,
Voltaire
, Leibniz, Sully, Pie II, Dante… Et l’on s’arrête, en général, à Pierr
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oms cités, certains, comme Montesquieu, Rousseau,
Voltaire
, jusqu’à 36 ou 40 fois ! Nous voici les témoins enchantés d’une vérit
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ié du xviiie siècle, en France et en Allemagne —
Voltaire
, Vauvenargues, Wieland, Herder —, plus tard en Angleterre — Newman, M
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es siècles. Paul Valéry, Proudhon et Saint-Simon,
Voltaire
, Leibniz, Sully, Pie II, Dante… Et l’on s’arrête, en général, à Pierr
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domination » de l’Europe sur le monde arabe… Mais
Voltaire
croit pouvoir réfuter la légende en affectant de l’interpréter littér
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nts parfois sont mauvais juges et la gaminerie de
Voltaire
a tort en l’occurrence. L’émigration des Sémites « phéniciens » vers
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ts « éclairés », quoique mauvaises langues, comme
Voltaire
et Frédéric II, voire d’illustres protagonistes d’une Europe fédérée,
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redoutaient que le Projet ne desservît la cause.
Voltaire
, parlant de l’art militaire : Je vous l’avoue, je formais des souhai
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s classiques sont stables. Les errants, ce seront
Voltaire
, Montesquieu, Rousseau ; mais on n’a pas passé des uns aux autres san
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nd Seigneur, Montesquieu et ses Lettres persanes,
Voltaire
et son Ingénu, Rousseau et son Homme né bon. Autant de pamphlets d’ai
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humain, je la regarderais comme un crime.130
Voltaire
(1694-1778) En voilà un qui ne donne pas dans l’utopie, ni dans ce
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où l’on est, et non l’état où l’on ne peut être.
Voltaire
se tient donc à mi-chemin entre les détracteurs systématiques de l’Eu
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Gloire de l’Europe L’Europe de Montesquieu, de
Voltaire
et de Rousseau peut se mettre en question, se comparer, et le fait po
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é, qui ne la représente pas. (C’est Rousseau pour
Voltaire
, et Voltaire pour Rousseau ; mais la vraie France, la vraie Europe pa
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représente pas. (C’est Rousseau pour Voltaire, et
Voltaire
pour Rousseau ; mais la vraie France, la vraie Europe par conséquent,
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e ses « Dialogues sur les blés » publiés en 1770,
Voltaire
put écrire : « On n’avait jamais été plus plaisant à propos de famine
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ationales de son Tableau, comme vient de le faire
Voltaire
dans son Essai sur les Mœurs et comme le fera bientôt Jean de Müller.
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une dernière fois l’idéal des Montesquieu et des
Voltaire
, symbolisé par la figure épurée du « Cosmopolite » : Le cosmopolite
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éen de la France, de Montesquieu à Condorcet, par
Voltaire
le cosmopolite et Rousseau le fédéraliste. C’est maintenant un siècl
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l’Europe « République des savants », telle qu’un
Voltaire
pouvait la définir : L’Europe entière est une République des savants
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vski. A. Opinions européennes sur la Russie, de
Voltaire
à Karl Marx Nous avons vu Sully exclure la Russie de son grand des
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it bon de s’unir et de s’entendre avec les Turcs.
Voltaire
et ses contemporains tenaient encore que l’Europe s’arrête au Don, au
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cultures étroitement nationales ; ces hommes dont
Voltaire
écrivait en 1767 qu’« il se forme en Europe une république immense d’
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nne, à laquelle appartiennent Augustin, Luther et
Voltaire
, Thomas d’Aquin, Descartes et Kant, les empereurs médiévaux et les ro
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e l’Europe, mais au nom des valeurs européennes :
Voltaire
, Rousseau, Herder, Fichte, Bentham. À l’encontre de Hegel, qui tenait
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page du xviiie siècle cosmopolite — Montesquieu,
Voltaire
et Wieland croient l’Europe faite, parce qu’elle l’est dans leurs esp
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e l’Europe, mais au nom des valeurs européennes :
Voltaire
, Rousseau, Herder, Fichte, Bentham. À l’encontre de Hegel, qui tenait
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nouveau, c’est leur succès relatif : le siècle de
Voltaire
les avait négligés ; mais il n’eût pas mieux accueilli les romans cat
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le. Il y eut ensuite la naissance de Dada au café
Voltaire
, à Zurich encore, et depuis lors cette ville est restée le centre des
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squieu s’en inspire dans ses Lettres persanes, et
Voltaire
plus encore dans ses Lettres philosophiques. 108. Voir les Lettres à
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ons bien nettes. Et dans son essai sur les mœurs,
Voltaire
dira : « Il faut convenir que l’histoire de la pomme est bien suspect
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l’histoire de la pomme est bien suspecte… » Mais
Voltaire
a douté de tant de choses… Il ne fera pas plus de mal à Tell qu’à la
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ociété humaine. On peut contester comme Érasme et
Voltaire
, ou comme d’Aubigné et Chesterton, mais aussi comme Kierkegaard ou Ro
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mier lieu (qu’on songe aux sarcasmes déversés par
Voltaire
et ses amis sur le Projet de paix perpétuelle de l’abbé de Saint-Pier
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ié du xviiie siècle, en France et en Allemagne —
Voltaire
, Vauvenargues, Wieland, Herder —, plus tard en Angleterre — Newman, M
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ociété humaine. On peut contester comme Érasme et
Voltaire
, ou d’Aubigné et Chesterton, mais aussi comme Kierkegaard ou Rozanov,
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té au xviii e siècle la maison du garde-chasse de
Voltaire
: constellation pleine de sens à mes yeux, et dont chaque élément cor
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lée bordée de peupliers qui descend du château où
Voltaire
a vécu pendant plus de vingt ans. Un portail vert. Qu’on ouvre et qu’
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c’est-à-dire pratiquement l’Occident dynamique.
Voltaire
et Rousseau représentent deux virtualités antithétiques de l’engageme
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À l’exception de trois ans passés en Angleterre,
Voltaire
n’a connu et vécu que l’absolutisme intégral, et il s’en accommode ir
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débat du forum. On peut contester comme Érasme et
Voltaire
au nom de la raison, mais aussi comme Kierkegaard ou Rozanov, Unamuno
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s : Jean Calvin et François de Sales, Rousseau et
Voltaire
, Joseph de Maistre et Madame de Staël, Benjamin Constant et Stendhal.
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cet « homme de lettres » qu’est le facteur, selon
Voltaire
. Ces incidents, dénués de sens utile, n’en remettent pas moins en que
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epuis 27 ans — ancienne maison du garde-chasse de
Voltaire
à Ferney — dans une ferme de mêmes proportions et du même siècle, à 7
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harlatan vendait dans les rues de Lisbonne, selon
Voltaire
. Je lui rappellerai, en privé, que les tremblements de terre ne dépen
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ands desseins européens ». Suivent dans la foulée
Voltaire
, Rousseau, Gibbon, Kant, Hegel, Auguste Comte et Victor Hugo : tous c
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troduits par le chapeau suivant : « Ferney… c’est
Voltaire
, Genève… c’est Rousseau. Y a-t-il des lieux prédestinés à l’évolution
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n railleur, le noble Ottoman — aux ricanements de
Voltaire
, aux nostalgies de Rousseau, aux accusations de l’abbé Galiani6 jusqu
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araison du vocabulaire de Montaigne avec celui de
Voltaire
. Il en va de même — mais c’est beaucoup moins grave — de l’accent oxo
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79)o D’un moine qui lui servait de secrétaire,
Voltaire
disait : « Il a lu tous les Pères — et il nous le fait payer ! » Jérô
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es32. » Sur la seconde acception, une citation de
Voltaire
: « Des premiers ans du roi la funeste culture… N’avait que trop en l
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ville, et des discussions animées tenues au Café
Voltaire
par Tristan Tzara, Hans Arp et Hugo Ball. Le régime des États nationa
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araison du vocabulaire de Montaigne avec celui de
Voltaire
. Il en va de même — mais c’est beaucoup moins grave — de l’accent oxo
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Discours, le Montesquieu des Lettres persanes, le
Voltaire
des écrits polémiques et pas du tout des tragédies en vers, le Rousse
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Béroul et Bernard de Ventadour. Pascal mais aussi
Voltaire
. Goethe mais aussi Hölderlin. Kierkegaard mais aussi Rimbaud. Puis :
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Discours, le Montesquieu des Lettres persanes, le
Voltaire
des écrits polémiques et pas du tout des tragédies en vers, le Rousse