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oin d’unité dans nos pays occidentaux, et c’était
M. Vychinski
. Il venait de réussir le coup d’État de Prague, et de provoquer dans
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peur salutaire. Vraiment, nous devons beaucoup à
M. Vychinski
: sans lui, notre congrès de La Haye n’aurait jamais si bien marché.
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ix elle ne sera pas. Voilà l’ennemi, et non point
Vychinski
. Et cela vaut pour tous ceux qui pourraient déclarer que l’Europe ser
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ix elle ne sera pas. Voilà l’ennemi, et non point
Vychinski
. Et cela vaut pour tous ceux qui pourraient déclarer que l’Europe ser
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rait « grotesque » il y a deux mois, le retour de
M. Vychinski
à la civilité puérile et honnête, la restitution de deux ambassades à
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des Européens qui partageaient le point de vue de
M. Vychinski
, à savoir que la politique d’intégration repose uniquement sur la cra
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nsurpassable, porte à sa perfection le style d’un
Vychinski
, stalinien s’il en fût jamais. Elle n’en marque pas moins la naissanc
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re réveillée, malgré tous les éclats de voix d’un
Vychinski
condamnant l’Occident en bloc et proclamant ainsi son unité ; et malg