1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 Pour les causes de l’incendie, voir Dostoïevski. M. Walpole , lui, commence son roman quelques mois avant que n’éclate le sinistre
2 t-on rêver pour un psychologue de la puissance de Walpole , que l’âme russe — cette âme russe qui pour le Parisien restera toujo
3 le Parisien restera toujours « indéfinissable ». M. Walpole , dont nous commençons aujourd’hui un roman bien différent, a vu la Ré
4 u’interviennent les trois Anglais mêlés au drame. M. Walpole leur a dévolu le soin d’entrer tantôt dans un foyer, tantôt dans une
5 oitation des ruines. On sait le reste. Tout cela, Walpole ne le dit pas. Mais ses personnages le suggèrent de toute la force du
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
6 é Galiani. Des « débauchées de l’esprit », ajoute Walpole , donnant peut-être la meilleure formule du don-juanisme féminin. Car
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 é Galiani. Des « débauchées de l’esprit », ajoute Walpole , donnant peut-être la meilleure formule du don-juanisme féminin. Car
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
8 é Galiani. Des « débauchées de l’esprit », ajoute Walpole , donnant peut-être la meilleure formule du don-juanisme féminin. Car