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alculée de manière à interdire que se reforme une
Wehrmacht
autonome redoutée par la France, non sans raison. Voilà du bon travai
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pensaient différemment, et cela se comprend. Une
Wehrmacht
autonome, renaissant de ses cendres, leur paraissait plus menaçante q
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ement d’éliminer toute renaissance possible d’une
Wehrmacht
autonome. C’est au contraire si l’on refuse la CED que cette Wehrmach
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’est au contraire si l’on refuse la CED que cette
Wehrmacht
sera reconstituée, mais alors sans contrôle possible. J’entends et li
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s crédits américains, leur fameux dilemme “CED ou
Wehrmacht
”, leur chantage au contrecoup nationaliste allemand. » Tout cela sera
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avaient donc raison. Sur le fameux dilemme CED ou
Wehrmacht
: « Les accords de Londres donnent encore moins de garanties que la C
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la CED a bel et bien entraîné la recréation d’une
Wehrmacht
, comme le disaient les gens du MRP, etc. Sur le chantage au contrecou
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les accords de Londres ; ceux-ci rétablissant une
Wehrmacht
, et la Wehrmacht (de demain) étant destinée à provoquer la « création
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ndres ; ceux-ci rétablissant une Wehrmacht, et la
Wehrmacht
(de demain) étant destinée à provoquer la « création » d’une armée ru