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France et en Allemagne — Voltaire, Vauvenargues,
Wieland
, Herder —, plus tard en Angleterre — Newman, Matthew Arnold —, on se
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omantiques, aux vertiges de la Décadence. Quant à
Wieland
, dernier des philosophes « éclairés », il croira jusqu’au dernier jou
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dre sûrement et immanquablement ce but. En 1796,
Wieland
lui-même ajoute à ce passage la note suivante : À quel point les cos
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infligé à son idéal cosmopolite n’ait pas empêché
Wieland
de poursuivre le projet d’une association des peuples européens. C’es
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européenne. Quelques années plus tard, en 1806,
Wieland
exposera encore dans sa revue Teutscher Merkur, un plan de Tribunal e
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lution française et l’Europe Les illusions d’un
Wieland
n’ont-elles pas été partagées par ceux-là mêmes qui donnèrent son imp
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xe siècles en prenant pour axe la Révolution. De
Wieland
à Schelling, de Herder à Hegel, en passant par un Kant ou par un Goet
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rands esprits de Weimar et de Iéna, un Goethe, un
Wieland
, un Hegel, les plus « européens » du monde germanique, et même auprès
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ie siècle cosmopolite — Montesquieu, Voltaire et
Wieland
croient l’Europe faite, parce qu’elle l’est dans leurs esprits et doi
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France et en Allemagne — Voltaire, Vauvenargues,
Wieland
, Herder —, plus tard en Angleterre — Newman, Matthew Arnold —, on se