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le bolchévique violant sa patrie. Une effroyable
acceptation
, mais elle peut se muer instantanément en révolte. Aucun cadre logiqu
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prétend que la sincérité est la recherche, puis l’
acceptation
de toute tendance du moi, je réponds que le mensonge est sincère auss
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es certitudes, et qui nous font un péché de notre
acceptation
des réalités spirituelles parce qu’elles troublent leurs bureaucratiq
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de l’homme n’est pas dans la liberté, mais dans l’
acceptation
d’un devoir. Gide aurait-il pressenti que l’ère n’est plus de certai
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irait à l’attester. Mais plus sûrement encore son
acceptation
profonde d’aujourd’hui. Aujourd’hui, c’est le titre du journal grâce
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en compréhensible, car cela mène pratiquement à l’
acceptation
des solutions officielles. M. Durand-Dupont, troublé par le problème
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dans La Répétition. Qu’il y ait une virtu dans l’
acceptation
volontaire du conflit permanent ; qu’il y ait au contraire un princip
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barthien, puisqu’ils entendent désigner par là l’
acceptation
de la mort et du rien, de l’insondable et du scandale en tant que tel
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e l’insondable et du scandale en tant que tels, l’
acceptation
du salut impossible, paradoxe dont la formule est le nom même de Jésu
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tre « vie religieuse » ? Il y a la mort, et notre
acceptation
de cette mort. Et qu’y a-t-il entre ce oui dernier et tous nos sic et
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uses ou modestes de notre vie mortelle ? Il y a l’
acceptation
de la Vie qui n’est pas nôtre, qu’il faut croire. Dissymétrie vertigi
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ster la moindre équivoque sur les motifs de cette
acceptation
. S’il annonce, au sens fort du terme, la transformation de ce monde,
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terait ses moyens matériels de vivre, mais dont l’
acceptation
virile constitue sa seule raison d’être. Tout le débat de ce journal
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x qui cherchent leur sécurité ailleurs que dans l’
acceptation
du risque ; tous ceux qui font appel à la correction des manières ou
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x qui cherchent leur sécurité ailleurs que dans l’
acceptation
du risque ; tous ceux qui font appel à la correction des manières ou
16
e une marge assez notable d’imprévoyance naïve, d’
acceptation
des risques, de confiance obscurément accordée à l’instinct ou à « la
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rieux, se voit acculé à ce dilemme, ou plutôt à l’
acceptation
simultanée de ses deux termes. Et l’on sait que Nietzsche lui-même ab
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e une marge assez notable d’imprévoyance naïve, d’
acceptation
des risques, de confiance obscurément accordée à l’instinct ou à « la
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ut apprendre cette simplicité : l’imprévoyance, l’
acceptation
d’une misère, mais aussi l’acceptation d’un don immérité, la prodigal
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voyance, l’acceptation d’une misère, mais aussi l’
acceptation
d’un don immérité, la prodigalité mais aussi la tempérance ; ce qu’il
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qu’on veut le saisir. Il ne peut vivre que dans l’
acceptation
, et meurt dans la revendication. C’est qu’il dépend de l’être et non
22
s de la fidélité. Car voici la fidélité : c’est l’
acceptation
décisive d’un être en soi, limité et réel, que l’on choisit non comme
23
is l’amour du mariage est la fin de l’angoisse, l’
acceptation
de l’être limité, aimé parce qu’il m’appelle à le créer, et qu’il se
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iage, — et du refus de la passion. Elle suppose l’
acceptation
du différent, et donc de l’incomplet, la prise sur le concret dans se
25
e l’âme à l’obéissance heureuse, c’est-à-dire à l’
acceptation
des limites de la créature, mais dans un esprit renouvelé, dans une l
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dès lors, implique la connaissance, le rejet ou l’
acceptation
de ce qui meut ou émeut les masses, et de l’anonymat des grands coura
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qu’on veut le saisir. Il ne peut vivre que dans l’
acceptation
, et meurt dans la revendication. C’est qu’il dépend de l’être et non
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s de la fidélité. Car voici la fidélité : c’est l’
acceptation
décisive d’un être en soi, limité et réel, que l’on choisit non comme
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is l’amour du mariage est la fin de l’angoisse, l’
acceptation
de l’être limité, aimé parce qu’il m’appelle à le créer, et qu’il se
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iage, — et du refus de la passion. Elle suppose l’
acceptation
du différent, et donc de l’incomplet, la prise sur le concret dans se
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e l’âme à l’obéissance heureuse, c’est-à-dire à l’
acceptation
des limites de la créature, mais dans un esprit renouvelé, dans une l
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dès lors, implique la connaissance, le rejet ou l’
acceptation
de ce qui meut ou émeut les masses, et de l’anonymat des grands coura
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qu’on veut le saisir. Il ne peut vivre que dans l’
acceptation
, et meurt dans la revendication. C’est qu’il dépend de l’être et non
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s de la fidélité. Car voici la fidélité : c’est l’
acceptation
décisive d’un être en soi, limité et réel, que l’on choisit non comme
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is l’amour du mariage est la fin de l’angoisse, l’
acceptation
de l’être limité, aimé parce qu’il m’appelle à le créer, et qu’il se
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riage — et du refus de la passion. Elle suppose l’
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du différent, et donc de l’incomplet, la prise sur le concret dans se
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e l’âme à l’obéissance heureuse, c’est-à-dire à l’
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des limites de la créature, mais dans un esprit renouvelé, dans une l
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dès lors, implique la connaissance, le rejet ou l’
acceptation
de ce qui meut ou émeut les masses, et de l’anonymat des grands coura
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qu’on veut le saisir. Il ne peut vivre que dans l’
acceptation
, et meurt dans la revendication. C’est qu’il dépend de l’être et non
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s de la fidélité. Car voici la fidélité : c’est l’
acceptation
décisive d’un être en soi, limité et réel, que l’on choisit non comme
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is l’amour du mariage est la fin de l’angoisse, l’
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de l’être limité, aimé parce qu’il m’appelle à le créer, et qu’il se
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riage — et du refus de la passion. Elle suppose l’
acceptation
du différent, et donc de l’incomplet, la prise sur le concret dans se
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res, parce qu’il n’est pas une polémique mais une
acceptation
des choses, à toutes fins utiles ou spirituelles, à la volée d’une im
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irait à l’attester. Mais plus sûrement encore son
acceptation
profonde d’aujourd’hui. Aujourd’hui, c’est le titre du journal grâce
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inel et matériel, qui s’oppose diamétralement à l’
acceptation
marxiste. Le communisme ramuzien, c’est celui qu’établissent la mort,
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ation inverse de celle du poète : on s’arrête à l’
acceptation
neutre, la moins active, la plus anecdotique — rompant ainsi le conta
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res, parce qu’il n’est pas une polémique mais une
acceptation
des choses, à toutes fins utiles ou spirituelles, à la volée d’une im
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e une marge assez notable d’imprévoyance naïve, d’
acceptation
des risques, de confiance obscurément accordée à l’instinct ou à « la
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ut apprendre cette simplicité : l’imprévoyance, l’
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d’une misère, mais aussi l’acceptation d’un don immérité, la prodigal
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voyance, l’acceptation d’une misère, mais aussi l’
acceptation
d’un don immérité, la prodigalité mais aussi la tempérance ; ce qu’il
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res, parce qu’il n’est pas une polémique mais une
acceptation
des choses, à toutes fins utiles ou spirituelles, à la volée d’une im
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tions différentes, permettrait de mieux mesurer l’
acceptation
progressive d’une pensée qui, d’autre part, dès l’origine, s’est voul
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ns intellectuelles et morales qui ménagent soit l’
acceptation
d’une tyrannie, à force de mensonges tolérés en silence (on nous en a
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les excès de la révolte. On a moins insisté sur l’
acceptation
confiante des moyens modernes de communiquer avec les masses, et pers
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est le premier caractère d’une vocation réelle, l’
acceptation
de l’invraisemblable en est la conséquence nécessaire. Kierkegaard ne
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t non ailleurs. La liberté dans la recherche et l’
acceptation
de ses risques supposent une belle confiance dans les pouvoirs de l’h
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rs égaux, et leur accord est indispensable pour l’
acceptation
ou le rejet d’une loi. On croit reconnaître ici le système en vigueur
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à l’égard de la Constitution, ou au contraire une
acceptation
fondamentale du régime, qu’il suffit d’adapter aux circonstances nouv
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es plus fatales erreurs : celles qui permettent l’
acceptation
de nos guerres intérieures par nos peuples. Deux arguments m’ont frap
60
u temps. La conscience de l’Histoire est née de l’
acceptation
d’un temps radicalement imprévisible. Et sa fin seule était certaine
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u temps. La conscience de l’Histoire est née de l’
acceptation
d’un temps radicalement imprévisible. Et sa fin seule était certaine
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par l’astrophysique. La découverte et la relative
acceptation
du temps linéaire (et non plus cyclique) de l’Histoire se trouvent li
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ouvent liées, en Occident, à la découverte et à l’
acceptation
de l’Espace, et cela par paliers brusques dans quelques esprits, d’un
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s adoptent et favorisent une attitude inverse : l’
acceptation
de toutes les formes d’adoration que peut imaginer l’homme devant Die
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e choix et d’opinion du citoyen étant réduite à l’
acceptation
ou au refus d’un système total, lequel nie toute liberté de choix et
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est le premier caractère d’une vocation réelle, l’
acceptation
de l’invraisemblable en est la conséquence nécessaire. Kierkegaard ne
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onté de découverte… La force occidentale, c’est l’
acceptation
de l’inconnu. Il y a un humanisme possible, mais il faut bien nous di
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mariage c’est alors la fin de l’angoisse, c’est l’
acceptation
de l’autre : une vie qui m’est alliée pour toute la vie, qui veut mon
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voirs égaux. Leur accord est indispensable pour l’
acceptation
ou le rejet d’une loi. On croit reconnaître ici le système en vigueur
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à l’égard de la Constitution, ou au contraire une
acceptation
fondamentale du régime, qu’il suffit d’adapter aux circonstances nouv
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es, parce qu’il n’est pas une polémique, mais une
acceptation
des choses, à toutes fins utiles ou spirituelles, à la volée d’une im
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s de l’Antiquité, tels que le défi au destin ou l’
acceptation
des décrets des dieux, le civisme ou la révolte, la mesure ou la déme
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l’intuition du véritable moi de l’autre. C’est l’
acceptation
de cet être tel qu’il est, limité et réel mais secrètement en marche
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ent tout ce qui peut résulter d’un refus ou d’une
acceptation
de l’initiative. Le fabuleux brain storming collectif qu’a déclenché
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révolte ; mais on a beaucoup moins insisté sur l’
acceptation
tranquille et confiante des moyens modernes de communiquer avec les m
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s individuelles et les devoirs communautaires. L’
acceptation
du temps et de l’histoire. — Toutes les autres civilisations se faisa
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s de l’Antiquité, tels que le défi au destin ou l’
acceptation
des décrets des dieux, le civisme ou la révolte, la mesure ou la déme
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ce de miracle que représente la CECA, entendons l’
acceptation
grâce à Schuman du projet de Jean Monnet, sa mise en place rapide, et
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idée de la personne, la lutte contre le destin, l’
acceptation
du temps l’affirmation de la dignité de l’homme, valeurs fondamentale
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matérielle comme synonyme de mieux-vivre et comme
acceptation
passive de la mise en œuvre « sauvage » des techniques nouvelles, à l
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’est pas flou dans le jugement, surtout n’est pas
acceptation
bonhomme ou lasse d’une erreur. La tolérance est au contraire affirma
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tre moi, pour le devenir. C’est à partir de cette
acceptation
, mais à partir d’elle seulement, que peut s’instituer une solidarité
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ve, nous avons à formuler les conditions de notre
acceptation
éventuelle, c’est-à-dire à prendre l’initiative, à proposer et très p
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e choisir, mon premier mouvement a été de joyeuse
acceptation
, et puis un scrupule m’est venu, presque un doute : étais-je vraiment
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re et véridique de l’être, en tant, dirais-je, qu’
acceptation
de l’incarnation nécessaire des idées, ou en d’autres termes, de l’en
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la société, avec le monde ; et troisième temps, l’
acceptation
critique du « paraître », des apparences, de la réalité existentielle