1 la soif d’une telle force. Et voilà bien la seule acception chrétienne du mot « positif ». Pour les uns, « positif », c’est ce qu

2 — ce mot devant être entendu, répétons-le, dans l’ acception la plus littéralement « actuelle ». L’Esquisse d’une théorie générale

3 llement révolutionnaires ? Le mot nation dans son acception moderne n’a-t-il pas désigné d’abord l’idéal de la Révolution françai

4 — ce mot devant être entendu, répétons-le, dans l’ acception la plus littéralement « actuelle ». L’Esquisse d’une théorie générale

5 ation inverse de celle du poète : on s’arrête à l’ acception neutre, la moins active, la plus anecdotique — rompant ainsi le conta

6 re qui joue tant sur le sens des mots et sur leur acception commune, se trouve ruinée par la politique. Et que la politique, qui

7 sans flèche (poil), ce dernier est Maître, dans l’ acception la plus élevée du terme, Maître de l’art sans art, mieux, il est l’ar

8 sans flèche (poil), ce dernier est Maître, dans l’ acception la plus élevée du terme, Maître de l’art sans art, mieux, il est l’ar

9 at du lieu les accorde promptement sans faveur ny acception de personne. Car puisqu’il s’agist d’une paix universelle il faut ren

10 et dans tous nos débats. La politique, dans cette acception ridicule mais de très loin la plus courante du terme, ne signifie rie

11 ue d’État national, mais l’utilisent dans la même acception , et surtout avec la même connotation de formule périmée, de régime « 

12 oit comme instruction, éducation. Sur la première acception , une citation de J.‑J. Rousseau : « Si la culture des sciences est nu

13 ore plus aux qualités morales28. » Sur la seconde acception , une citation de Voltaire : « Des premiers ans du roi la funeste cult