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oque, s’annule. Poussière. Ma vie est ailleurs. L’
addition
, s’il vous plaît. Il est temps de sortir de ce café et de ces jeux, s
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st réfutée par l’arithmétique. En effet, prenez l’
addition
: un, plus un, plus un, cela fait trois, si je ne me trompe, et non p
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st réfutée par l’arithmétique. En effet, prenez l’
addition
: un plus un, plus un, cela fait trois, si je ne me trompe, et non pa
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st réfutée par l’arithmétique. En effet, prenez l’
addition
: un plus un, plus un, cela fait trois, si je ne me trompe, et non pa
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t les ministres étant strictement nationaux, leur
addition
ou juxtaposition n’irait-elle point créer, sur le plan de l’Europe, u
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lture, — d’un budget qui ne soit pas simplement l’
addition
de mesquines soustractions aux budgets nationaux, accordées en aumône
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rricier du nationalisme. Car l’Europe n’est pas l’
addition
de vingt-quatre « histoires nationales ». C’est au contraire sur l’un
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deviendraient pas plus européens par cette simple
addition
d’informations nationales. L’Europe n’a pas besoin non plus d’Europée
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, ce chiffre de 340 millions équivaut presque à l’
addition
des États-Unis et de l’URSS. Je ne parle que de chiffres, et non de q
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t ainsi qu’« une somme de moments distincts…, une
addition
d’instants », Don Juan ne saurait avoir de biographie : le doter d’un
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n’étant qu’« une somme de moments distincts… une
addition
d’instants », Don Juan ne saurait avoir de biographie : le doter d’un
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pe entière, considérée comme unité, non comme une
addition
de chroniques régionales. Le lecteur d’aujourd’hui ne manquera pas de
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re l’Europe, d’une part, considérée non comme une
addition
de nations rivales, mais comme une unité de culture, et d’autre part
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et ceci pour deux raisons principales : 1. Une
addition
de spécialités ne fait pas une culture vivante et ne la représente pa
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s une culture vivante et ne la représente pas. (L’
addition
de vingt nationalismes ne représente pas non plus l’Europe, comme uni
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de la culture européenne. L’Europe n’est pas une
addition
de cultures nationales. Celles-ci sont des apparitions relativement r
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l’essentiel de ma réponse à Sartre, et non ces «
additions
d’automobiles et de pommes de terre », qu’il vous plaît de m’attribue
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e n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais une
addition
de « cultures nationales ». Elle est l’œuvre de tous les Européens qu
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nationales » bien distinctes et autonomes dont l’
addition
constituerait la culture européenne est une pure et simple illusion d
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e n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais une
addition
de « cultures nationales ». Elle est l’œuvre de tous les Européens qu
21
s étanches ne fait pas plus une université qu’une
addition
d’organes ne fait un corps vivant. Regardons cela d’un peu plus près.
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s étanches ne fait pas plus une université qu’une
addition
d’organes ne fait un corps vivant. Regardons cela d’un peu plus près.
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nationales, bien distinctes et autonomes, dont l’
addition
constituerait la culture européenne, est une simple illusion d’optiqu
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ulture européenne n’est pas et n’a jamais été une
addition
de cultures nationales. Elle est l’œuvre de tous les Européens qui on
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comme un puzzle de nations et sa culture comme l’
addition
d’une vingtaine de « cultures nationales » bien distinctes, autonomes
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La « littérature européenne » ne résulte pas de l’
addition
de littératures nationales qu’il s’agirait aujourd’hui, de rapprocher
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st-ce pas ? — qui présentaient l’Europe comme une
addition
de cultures nationales. Nous avons à peu près renversé cela, en montr
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ive d’une entité européenne qui ne fût pas simple
addition
des nations. Le CEC commence donc par réunir le 12 décembre 1952, les
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comme un puzzle de nations et sa culture comme l’
addition
d’une vingtaine de « cultures nationales » bien distinctes, autonomes
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s étanches ne fait pas plus une université qu’une
addition
d’organes ne fait un corps vivant. Sur l’explosion des effectifs, nou
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, et ceci pour trois raisons principales : 1. Une
addition
de spécialités ne fait pas une culture vivante et ne la représente pa
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comme un puzzle de nations et sa culture comme l’
addition
d’une vingtaine de « cultures nationales » bien distinctes, autonomes
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Car la littérature européenne ne résulte pas de l’
addition
de « littératures nationales » qu’il s’agirait de rapprocher et de co
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xixe siècle — selon laquelle l’Europe serait une
addition
de « cultures nationales » coïncidant comme par miracle avec les fron
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eintes pâles, et la culture de l’Europe comme une
addition
de prétendues « cultures nationales » bien distinctes et rivales, les
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eintes pâles, et la culture de l’Europe comme une
addition
de prétendues « cultures nationales », les manuels de notre enfance n
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eintes plates, et la culture européenne comme une
addition
de prétendues « cultures nationales », les manuels scolaires justifie
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des partis et des collectivités organisées par l’
addition
des ressources, des règles coutumières et des savoirs au sein d’un te
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eintes pâles, et la culture de l’Europe comme une
addition
de prétendues « cultures nationales » bien distinctes et rivales, les
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millions d’exemplaires, quel bobard ! J’ai fait l’
addition
, le chiffre de vente réel est inférieur à 400 000 exemplaires en tren
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sol, la naissance des patries et des cités par l’
addition
des ressources, des coutumes et des lois au sein d’un territoire déli
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e personne n’avait prévu, ou n’eût osé penser : l’
addition
au hasard de « grands ensembles », sans plan ni perspectives, ni cent
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national brut, ou PNB, est un total, obtenu par l’
addition
des dépenses de consommation, des investissements privés, et des dépe
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figure dans les comptes d’une nation ou dans les
additions
d’un PNB.) — mais les gains et les pertes réelles, globales, naturell
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s contre tous les pouvoirs, l’État n’est que leur
addition
. Devenir « immédiat à l’empire » (Reichs unmittelbar) signifie libert
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inue dans le même sens et au même rythme — même l’
addition
de ces données est encore loin de rendre compte de toute la réalité q
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essaient de nous faire croire que l’Europe est l’
addition
de 25 cultures nationales, alors qu’elle est la résultante millénaire
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comme un puzzle de nations, et sa culture comme l’
addition
d’une vingtaine de « cultures nationales » bien distinctes, autonomes
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i ne serait qu’une manière de parler, désignant l’
addition
d’autant de « cultures nationales » qu’il y a d’États souverains dans
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continue dans le même sens et au même rythme — l’
addition
de ces données physiques, matérielles, alimentaires, climatiques ou é
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Il ne faut pas voir la culture européenne comme l’
addition
de vingt-quatre cultures nationales. Il y a une culture qui s’est for
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e en même temps que celle des nations et par leur
addition
. Mais alors dans quelle mesure peut-on encore parler de différences
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cumulés par les États-nations européens et dont l’
addition
devrait suffire à les déclarer en faillite. Dans l’état actuel de d
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s « cultures nationales » bien distinctes, dont l’
addition
constituerait la « culture européenne ». Observons que nos États-nati
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e l’État […] — selon laquelle l’Europe serait une
addition
de « cultures nationales » coïncidant, comme par miracle, avec les fr
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onnée : l’Europe n’a jamais été le résultat d’une
addition
de cultures nationales ; la culture européenne est le résultat de deu