1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 Songe, les Olympiques. Et voici le Chant funèbre, adieu à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles conquêtes.
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 Adieu , beau désordre… (mars 1926)o L’époque s’en va très vite vers on ne
3 peut-être Drieu la Rochelle, s’il voulait…) o. «  Adieu , beau désordre… (Notes sur la jeune littérature et la morale) », Bibl
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
4 Corbusier, Urbanisme (juin 1926)v Nous disons adieu aux charmes troubles et inhumains de la nature. Il s’agit de créer à
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
5 Voir l’heure à la pendule pendant l’étreinte d’un adieu et calculer rapidement le retour à une fidélité plus profonde. Fidéli
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
6 Où sourient quels anges fous. L’horaire dicte un adieu , La mode qu’on rie des pleurs, Lors je baise votre main Comme on sign
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
7 ses des flocons, plus perfides que des murmures d’ adieu . Il tomba parmi les statues, dans l’amitié pensive des jardins. Une f
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
8 t cinq ans, dix ans au plus. Après, c’est un long adieu et le corps se fige à mesure que l’esprit s’établit sur ses positions
9 plus tard, j’étais à la gare, j’écrivais un mot d’ adieu à ma maîtresse d’une nuit et je partais dans une direction quelconque
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
10 Adieu au lecteur (juillet 1927)q Nous passons la main au central de Genè
11 rer la situation sans fièvre, sans lamentations d’ adieu .   On nous a parfois traités de fous (avec ou sans sourire). Nous som
12 nous y tenons, ah ! comme nous y tenons ! q. «  Adieu au lecteur », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Frib
9 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
13 ts quand ils n’ont plus que des baisers au goût d’ adieu , et l’avenir où se mêlent incertaines, une tendresse éperdue et la mo
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 e passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
15 plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des adieux … Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
11 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
16 .   L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des adieux . Elle ne vit plus qu’en nous déjà, nous la portons encore comme le so
12 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
17 e passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
18 plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des adieux … Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
19 me. L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des adieux . Elle ne vit plus qu’en nous déjà, nous la portons encore comme le so
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 e passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
21 plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des adieux … Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
22 ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’ adieux , filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… Mémoire de l’Eu
23 ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux , ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
24 oir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu … Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
25 e par un beau temps cruel, qui faisait fête à des adieux … Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux,
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
26 Je viens d’interrompre cette page pour faire mes adieux au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont mo
18 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
27 le repos où je vivais, avant de vous avoir connu… Adieu  ! Aimez-moi donc toujours, faites-moi souffrir de pires douleurs enco
19 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
28 e tu vas partir, papa ? On dirait que tu nous dis adieu  ! Nicolas. —  Mes bons petits !… Bonsoir ! Tous. —  Bonsoir !
29 !… Bonsoir ! Tous. —  Bonsoir ! Nicolas. —  Adieu  ! (Ils courent tous dans la maison. Dorothée les suit. On les entend
30 du bord du plan 2.) Nicolas. —  Qu’ai-je dit ? Adieu  !… Je leur ai dit adieu sans le vouloir ! Que m’arrive-t-il ? Trois f
31 icolas. —  Qu’ai-je dit ? Adieu !… Je leur ai dit adieu sans le vouloir ! Que m’arrive-t-il ? Trois fois, des voix m’ont appe
32 lueur blanchit derrière le plan 3.) Nicolas. —  Adieu . (Il l’embrasse et s’en va par la droite.) Dorothée (tombant à gen
20 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
33 — Demain la mort ! — Ô patrie, patrie déchirée ! Adieu  ! Adieu ! Pitié pour nous ! Le chœur (parlé). Veillée d’armes ! Q
34 n la mort ! — Ô patrie, patrie déchirée ! Adieu ! Adieu  ! Pitié pour nous ! Le chœur (parlé). Veillée d’armes ! Qu’entend
35 euple entier te recevra ! Nicolas. —  J’ai dit adieu au monde, pour toujours. Haimo. —  Mais le monde angoissé te rappe
36 cœurs ! Va, bon frère, et hâte-toi ! Haimo. —  Adieu  ! (Il fait deux pas.) Nicolas. —  Haimo ! (Il ôte la corde qui tie
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
37 le repos où je vivais, avant de vous avoir connu… Adieu  ! Aimez-moi donc toujours, faites-moi souffrir de pires douleurs enco
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
38 le repos où je vivais, avant de vous avoir connu… Adieu  ! Aimez-moi donc toujours, faites-moi souffrir de pires douleurs enco
23 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
39 ai su, plus tard, que ce jour-là j’avais fait mes adieux à la France. e. « Souvenir de la paix française », Gazette de Lausa
24 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
40 i su, plus tard, que ce jour-là, j’avais fait mes adieux à la France. VII. — Mémoire de l’Europe 1943 Je ne savais pas q
41 ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux , ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
25 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
42 evoir en juin 40, qui sonnait malgré moi comme un adieu … Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
26 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
43 ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux , ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
27 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
44 ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’ adieux , filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… f. « Beekman Pla
28 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
45 ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’ adieux , filant pavois au vent vers l’Europe… Slums La Soixante-quinziè
29 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
46 et de la paix française, qui nous émeut comme un adieu à la douceur de vivre, à la confiance. Cela se passait dans l’autre m
30 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
47 femme le néglige. Il s’en va tout d’un coup, sans adieu ni raison, en souhaitant, well, que la situation s’arrange. La situat
48 sur le ciel enfumé de Cambridge, ce fut un soir, adieu . Demain la vie précieuse mourra, dans le printemps léger. ⁂ New Yo
31 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
49 es corridors étroits envahis par la foule, et les adieux sur l’avant-pont, seul coin désert, entre des paquets de cordage ; et
50 ant sur des yeux bleus dont je cherchais encore l’ adieu parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le
51 n, voudrait atteindre un groupe d’amis qui disent adieu . L’un après l’autre les œillets lancés tombent dans l’abîme qui s’éla
32 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
52 ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’ adieux , filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… 14. Je n’oublie
33 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
53 ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux , ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
34 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
54 oir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu … Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
55 .   L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des adieux . Elle ne vit plus qu’en nous déjà, nous la portons encore comme le so
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
56 e passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
57 plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des adieux … Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
58 Je viens d’interrompre cette page pour faire mes adieux au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont mo
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
59 e et de la paix française qui nous émeut comme un adieu à la douceur de vivre, à la confiance. Cela se passait dans l’autre m
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
60 femme le néglige. Il s’en va tout d’un coup, sans adieu ni raison, en souhaitant, well, que la situation s’arrange. La situat
61 sur le ciel enfumé de Cambridge, ce fut un soir, adieu . Demain la vie précieuse mourra dans le printemps léger. New York,
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
62 es corridors étroits envahis par la foule, et les adieux sur l’avant-pont, seul coin désert, entre des paquets de cordage ; et
63 ant sur des yeux bleus dont je cherchais encore l’ adieu parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le
64 n, voudrait atteindre un groupe d’amis qui disent adieu . L’un après l’autre les œillets lancés tombent dans l’abîme qui s’éla
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
65 ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’ adieux , filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… Été 1943 In
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
66 ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des adieux , ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
67 oir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu … Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
44 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
68 qu’il n’en sorte au plus vite, par une dépêche d’ adieu , un voyage, un divorce. Never get involved, ne vous laissez jamais pr
45 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
69 qu’il n’en sorte au plus vite, par une dépêche d’ adieu , un voyage, un divorce. Never get involved, ne vous laissez jamais pr
46 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
70 x, c’est l’homme. C’est lui qu’il faut contrôler. Adieu  ! r. « Rencontre avec Denis de Rougemont », Paru, Paris, janvier 19
47 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
71 e par un beau temps cruel, qui faisait fête à des adieux … Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux,
48 1948, Suite neuchâteloise. VII
72 e par un beau temps cruel, qui faisait fête à des adieux … Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux,
49 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
73 onerai. » Un sourire un peu grave et charmeur. Un adieu familier de la main. J’essaie maintenant de recomposer ce que l’on m’
50 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
74 ux électroniques dicteront nos pensées par radio. Adieu Nature, flânerie, méditation sans but ! La monotonie mécanique va dom
51 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
75 à Lara, dans leur retraite forestière : … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. Nous nous dirons enc
76 ière : … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. Nous nous dirons encore l’un à l’autre nos paroles se
52 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
77 Je vous souhaite bonne chance ! dit-il en guise d’ adieu , à quoi je répondis que j’espérais la mériter. » À la gare, une foul
53 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
78 à Lara, dans leur retraite forestière : … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. Nous nous dirons enc
79 ière : … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. Nous nous dirons encore l’un à l’autre nos paroles se
54 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
80 ine de mort. Et voici la péroraison : Ô France, adieu  ! tu es trop grande pour n’être qu’une patrie. On se sépare de sa mèr
81 ble de ta frontière. Résigne-toi à ton immensité. Adieu Peuple ! Salut Homme ! Subis ton élargissement fatal et sublime, ô ma
55 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
82 z, qui fait je ne sais quoi sous un nom russe ? — Adieu , fantômes ! Le monde n’a plus besoin de vous. Ni de moi. Le monde, qu
56 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
83 ux électroniques dicteront nos pensées par radio. Adieu Nature, flânerie, méditation sans but ! La monotonie mécanique va dom
57 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
84 Des jours aussi qui touchent à l’histoire. Et des adieux … Seules donc m’ont guidé — ou égaré — les subtiles connivences du has
58 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
85 uchâtel qui écrit pour les mourants des lettres d’ adieux à leurs familles. Peu à peu, les femmes du lieu « voyant que je ne fa
59 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
86 tan meurt : « Douce amie, je ne vous verrai plus. Adieu , je m’en vais et vous salue. Et le cœur lui crève, et son âme s’en va
60 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
87 promise à beaucoup d’avenir. 1. Cf. mon essai «  Adieu , beau désordre… », publié en mars 1926 par la Revue de Genève . 2.
61 1980, Articles divers (1978-1981). Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique (1980)
88 ur nous, bien au-delà de son savoir de physicien. Adieu Lew ! Grand homme irremplaçable en sa maîtrise autant qu’en amitié. V
62 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
89 de plus sages. Dans l’un d’entre eux, intitulé «  Adieu beau désordre… », je blâmais le « désordre cherché » de la littératur
63 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
90 ffaires étrangères de Belgique. De son discours d’ adieu à l’Assemblée de Strasbourg, retenons cette phrase étonnante : « Lais