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Songe, les Olympiques. Et voici le Chant funèbre,
adieu
à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles conquêtes.
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peut-être Drieu la Rochelle, s’il voulait…) o. «
Adieu
, beau désordre… (Notes sur la jeune littérature et la morale) », Bibl
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Corbusier, Urbanisme (juin 1926)v Nous disons
adieu
aux charmes troubles et inhumains de la nature. Il s’agit de créer à
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Voir l’heure à la pendule pendant l’étreinte d’un
adieu
et calculer rapidement le retour à une fidélité plus profonde. Fidéli
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Où sourient quels anges fous. L’horaire dicte un
adieu
, La mode qu’on rie des pleurs, Lors je baise votre main Comme on sign
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ses des flocons, plus perfides que des murmures d’
adieu
. Il tomba parmi les statues, dans l’amitié pensive des jardins. Une f
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t cinq ans, dix ans au plus. Après, c’est un long
adieu
et le corps se fige à mesure que l’esprit s’établit sur ses positions
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plus tard, j’étais à la gare, j’écrivais un mot d’
adieu
à ma maîtresse d’une nuit et je partais dans une direction quelconque
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rer la situation sans fièvre, sans lamentations d’
adieu
. On nous a parfois traités de fous (avec ou sans sourire). Nous som
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nous y tenons, ah ! comme nous y tenons ! q. «
Adieu
au lecteur », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Frib
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ts quand ils n’ont plus que des baisers au goût d’
adieu
, et l’avenir où se mêlent incertaines, une tendresse éperdue et la mo
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e passage des trains chaque soir nous redirait un
adieu
bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
15
plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des
adieux
… Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
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. L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des
adieux
. Elle ne vit plus qu’en nous déjà, nous la portons encore comme le so
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e passage des trains chaque soir nous redirait un
adieu
bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
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plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des
adieux
… Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
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me. L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des
adieux
. Elle ne vit plus qu’en nous déjà, nous la portons encore comme le so
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e passage des trains chaque soir nous redirait un
adieu
bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
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plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des
adieux
… Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
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ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’
adieux
, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… Mémoire de l’Eu
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ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des
adieux
, ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
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oir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un
adieu
… Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
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e par un beau temps cruel, qui faisait fête à des
adieux
… Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux,
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Je viens d’interrompre cette page pour faire mes
adieux
au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont mo
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le repos où je vivais, avant de vous avoir connu…
Adieu
! Aimez-moi donc toujours, faites-moi souffrir de pires douleurs enco
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e tu vas partir, papa ? On dirait que tu nous dis
adieu
! Nicolas. — Mes bons petits !… Bonsoir ! Tous. — Bonsoir !
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!… Bonsoir ! Tous. — Bonsoir ! Nicolas. —
Adieu
! (Ils courent tous dans la maison. Dorothée les suit. On les entend
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du bord du plan 2.) Nicolas. — Qu’ai-je dit ?
Adieu
!… Je leur ai dit adieu sans le vouloir ! Que m’arrive-t-il ? Trois f
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icolas. — Qu’ai-je dit ? Adieu !… Je leur ai dit
adieu
sans le vouloir ! Que m’arrive-t-il ? Trois fois, des voix m’ont appe
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lueur blanchit derrière le plan 3.) Nicolas. —
Adieu
. (Il l’embrasse et s’en va par la droite.) Dorothée (tombant à gen
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— Demain la mort ! — Ô patrie, patrie déchirée !
Adieu
! Adieu ! Pitié pour nous ! Le chœur (parlé). Veillée d’armes ! Q
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n la mort ! — Ô patrie, patrie déchirée ! Adieu !
Adieu
! Pitié pour nous ! Le chœur (parlé). Veillée d’armes ! Qu’entend
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euple entier te recevra ! Nicolas. — J’ai dit
adieu
au monde, pour toujours. Haimo. — Mais le monde angoissé te rappe
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cœurs ! Va, bon frère, et hâte-toi ! Haimo. —
Adieu
! (Il fait deux pas.) Nicolas. — Haimo ! (Il ôte la corde qui tie
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le repos où je vivais, avant de vous avoir connu…
Adieu
! Aimez-moi donc toujours, faites-moi souffrir de pires douleurs enco
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le repos où je vivais, avant de vous avoir connu…
Adieu
! Aimez-moi donc toujours, faites-moi souffrir de pires douleurs enco
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ai su, plus tard, que ce jour-là j’avais fait mes
adieux
à la France. e. « Souvenir de la paix française », Gazette de Lausa
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i su, plus tard, que ce jour-là, j’avais fait mes
adieux
à la France. VII. — Mémoire de l’Europe 1943 Je ne savais pas q
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ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des
adieux
, ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
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evoir en juin 40, qui sonnait malgré moi comme un
adieu
… Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
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ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des
adieux
, ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
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ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’
adieux
, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… f. « Beekman Pla
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ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’
adieux
, filant pavois au vent vers l’Europe… Slums La Soixante-quinziè
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et de la paix française, qui nous émeut comme un
adieu
à la douceur de vivre, à la confiance. Cela se passait dans l’autre m
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femme le néglige. Il s’en va tout d’un coup, sans
adieu
ni raison, en souhaitant, well, que la situation s’arrange. La situat
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sur le ciel enfumé de Cambridge, ce fut un soir,
adieu
. Demain la vie précieuse mourra, dans le printemps léger. ⁂ New Yo
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es corridors étroits envahis par la foule, et les
adieux
sur l’avant-pont, seul coin désert, entre des paquets de cordage ; et
50
ant sur des yeux bleus dont je cherchais encore l’
adieu
parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le
51
n, voudrait atteindre un groupe d’amis qui disent
adieu
. L’un après l’autre les œillets lancés tombent dans l’abîme qui s’éla
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ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’
adieux
, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… 14. Je n’oublie
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ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des
adieux
, ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
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oir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un
adieu
… Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
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. L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des
adieux
. Elle ne vit plus qu’en nous déjà, nous la portons encore comme le so
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e passage des trains chaque soir nous redirait un
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bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêm
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plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des
adieux
… Il y a dans tous les réveils une détresse et une délivrance étrangem
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Je viens d’interrompre cette page pour faire mes
adieux
au jardin. Pauvre terre en désordre et dépouillée. Les salades ont mo
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e et de la paix française qui nous émeut comme un
adieu
à la douceur de vivre, à la confiance. Cela se passait dans l’autre m
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femme le néglige. Il s’en va tout d’un coup, sans
adieu
ni raison, en souhaitant, well, que la situation s’arrange. La situat
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sur le ciel enfumé de Cambridge, ce fut un soir,
adieu
. Demain la vie précieuse mourra dans le printemps léger. New York,
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es corridors étroits envahis par la foule, et les
adieux
sur l’avant-pont, seul coin désert, entre des paquets de cordage ; et
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ant sur des yeux bleus dont je cherchais encore l’
adieu
parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le
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n, voudrait atteindre un groupe d’amis qui disent
adieu
. L’un après l’autre les œillets lancés tombent dans l’abîme qui s’éla
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ilait, tout l’équipage en fête saluant New York d’
adieux
, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… Été 1943 In
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ce. Elle était la douceur et la sagesse amère des
adieux
, ou la gaieté d’un mot dit en passant. Elle avait les pudeurs de l’am
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oir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un
adieu
… Le jour point derrière les rideaux. Je vais sortir sur mon balcon, j
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qu’il n’en sorte au plus vite, par une dépêche d’
adieu
, un voyage, un divorce. Never get involved, ne vous laissez jamais pr
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qu’il n’en sorte au plus vite, par une dépêche d’
adieu
, un voyage, un divorce. Never get involved, ne vous laissez jamais pr
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x, c’est l’homme. C’est lui qu’il faut contrôler.
Adieu
! r. « Rencontre avec Denis de Rougemont », Paru, Paris, janvier 19
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e par un beau temps cruel, qui faisait fête à des
adieux
… Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux,
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e par un beau temps cruel, qui faisait fête à des
adieux
… Petits déjeuners suisses sur un balcon d’hôtel à Vevey, à Montreux,
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onerai. » Un sourire un peu grave et charmeur. Un
adieu
familier de la main. J’essaie maintenant de recomposer ce que l’on m’
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ux électroniques dicteront nos pensées par radio.
Adieu
Nature, flânerie, méditation sans but ! La monotonie mécanique va dom
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à Lara, dans leur retraite forestière : … Disons
adieu
à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. Nous nous dirons enc
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ière : … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous
adieu
l’un à l’autre. Nous nous dirons encore l’un à l’autre nos paroles se
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Je vous souhaite bonne chance ! dit-il en guise d’
adieu
, à quoi je répondis que j’espérais la mériter. » À la gare, une foul
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à Lara, dans leur retraite forestière : … Disons
adieu
à nos espoirs, disons-nous adieu l’un à l’autre. Nous nous dirons enc
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ière : … Disons adieu à nos espoirs, disons-nous
adieu
l’un à l’autre. Nous nous dirons encore l’un à l’autre nos paroles se
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ine de mort. Et voici la péroraison : Ô France,
adieu
! tu es trop grande pour n’être qu’une patrie. On se sépare de sa mèr
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ble de ta frontière. Résigne-toi à ton immensité.
Adieu
Peuple ! Salut Homme ! Subis ton élargissement fatal et sublime, ô ma
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z, qui fait je ne sais quoi sous un nom russe ? —
Adieu
, fantômes ! Le monde n’a plus besoin de vous. Ni de moi. Le monde, qu
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ux électroniques dicteront nos pensées par radio.
Adieu
Nature, flânerie, méditation sans but ! La monotonie mécanique va dom
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Des jours aussi qui touchent à l’histoire. Et des
adieux
… Seules donc m’ont guidé — ou égaré — les subtiles connivences du has
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uchâtel qui écrit pour les mourants des lettres d’
adieux
à leurs familles. Peu à peu, les femmes du lieu « voyant que je ne fa
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tan meurt : « Douce amie, je ne vous verrai plus.
Adieu
, je m’en vais et vous salue. Et le cœur lui crève, et son âme s’en va
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promise à beaucoup d’avenir. 1. Cf. mon essai «
Adieu
, beau désordre… », publié en mars 1926 par la Revue de Genève . 2.
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ur nous, bien au-delà de son savoir de physicien.
Adieu
Lew ! Grand homme irremplaçable en sa maîtrise autant qu’en amitié. V
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de plus sages. Dans l’un d’entre eux, intitulé «
Adieu
beau désordre… », je blâmais le « désordre cherché » de la littératur
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ffaires étrangères de Belgique. De son discours d’
adieu
à l’Assemblée de Strasbourg, retenons cette phrase étonnante : « Lais