1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 wingli réplique en 1526 : Pieux confédérés, Faber adjure Zurich de conserver l’ancienne foi des cantons : mais vous savez très
2 leur orgueil. Et Nicolas, une dernière fois, les adjure de garder le Pacte dans l’amour fraternel et la vigilance. Puis il sa
2 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
3 t la nuit, le curé de Stans monte au Ranft, et il adjure le solitaire de tenter un dernier effort. On ne sait pas — on ne saur
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
4 grandeur et des conquêtes s’ouvre à nous, je vous adjure et je vous dis : Confédérés, faisons taire nos petits égoïsmes, banni
5  ! Le président. —  Une dernière fois, je vous adjure … salut de notre Confédération ! (Sa voix est couverte par les cris.)
6  ! Haimo. —  Députés des huit cantons, je vous adjure de par Dieu ! vous assembler une dernière fois ! Les compagnons. —
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
7 que désespérée, et sans autre pouvoir que de vous adjurer de la part des millions qui se taisent mais qui ont peur ? Pardonnez
5 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
8 que désespérée, et sans autre pouvoir que de vous adjurer de la part des millions qui se taisent mais qui ont peur ? Pardonnez
6 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
9 que désespérée, et sans autre pouvoir que de vous adjurer de la part des millions qui se taisent mais qui ont peur ? Pardonnez
7 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
10 nnonce l’issue tragique de nos manèges, mais nous adjure de faire mentir ses prévisions et nous en montre les moyens ; ou bien