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wingli réplique en 1526 : Pieux confédérés, Faber
adjure
Zurich de conserver l’ancienne foi des cantons : mais vous savez très
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leur orgueil. Et Nicolas, une dernière fois, les
adjure
de garder le Pacte dans l’amour fraternel et la vigilance. Puis il sa
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t la nuit, le curé de Stans monte au Ranft, et il
adjure
le solitaire de tenter un dernier effort. On ne sait pas — on ne saur
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grandeur et des conquêtes s’ouvre à nous, je vous
adjure
et je vous dis : Confédérés, faisons taire nos petits égoïsmes, banni
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! Le président. — Une dernière fois, je vous
adjure
… salut de notre Confédération ! (Sa voix est couverte par les cris.)
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! Haimo. — Députés des huit cantons, je vous
adjure
de par Dieu ! vous assembler une dernière fois ! Les compagnons. —
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que désespérée, et sans autre pouvoir que de vous
adjurer
de la part des millions qui se taisent mais qui ont peur ? Pardonnez
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que désespérée, et sans autre pouvoir que de vous
adjurer
de la part des millions qui se taisent mais qui ont peur ? Pardonnez
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que désespérée, et sans autre pouvoir que de vous
adjurer
de la part des millions qui se taisent mais qui ont peur ? Pardonnez
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nnonce l’issue tragique de nos manèges, mais nous
adjure
de faire mentir ses prévisions et nous en montre les moyens ; ou bien