1 me. (André Maurois.) (Quel effroi, ce jour de l’ adolescence où l’on soupçonne pour la première fois que certains, peut-être, joue

2 ’amour ? Pour Jacques, il souffre d’une incurable adolescence , d’un défaitisme sentimental qui l’empêtre de réticences, et le fait

3 que de la nonchalance. M. Vaudoyer ressuscite ces adolescences avec une tendre minutie, avec une sorte d’amoureuse application du so

4 petits coups une amertume acide et tiède comme l’ adolescence , un désespoir de nuit d’été sous le tilleul où elle n’est pas venue…

5 , est évidemment l’auteur lui-même, le récit de l’ adolescence et de la jeunesse de notre héros ; mais ce récit prend fin au moment

6 uruko, la belle jeune fille qu’il aimait dans son adolescence . Et l’idylle passionnée se renoue, mais en même temps le drame s’évei

7 ’efforcer, ne connaissant que peu de repos de son adolescence à sa mort. »3 Je cherche : je ne trouve aucun écrivain plus naturell

8 ob Boehme, Paracelse, Swedenborg, lectures de son adolescence , figurent bel et bien dans son évolution une de ces crises où l’être

9 elle dans l’observation suivante : au sortir de l’ adolescence , l’homme devient à la fois moins abstrait et moins sentimental ; cela

10 — un mot des campagnes… Et ces prairies où notre adolescence encore « marche, s’arrête et marche, avec le col penché »… Contributi

11 s la portons encore comme le souvenir d’un soir d’ adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. Voici la nuit d

12 -chaussée, elles me désignent un des rêves de mon adolescence  : sur un canapé d’angle, drapée dans une robe longue, grise et argent

13 moraux » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolescences . Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jus

14 petits coups une amertume acide et tiède comme l’ adolescence , un désespoir de nuit d’été sous le tilleul où elle n’est pas venue…

15 elle dans l’observation suivante : au sortir de l’ adolescence , l’homme devient à la fois moins abstrait et moins sentimental ; cela

16 — un mot des campagnes… Et ces prairies où notre adolescence encore « marche, s’arrête et marche, avec le col penché »… Contributi

17 s la portons encore comme le souvenir d’un soir d’ adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. Voici la nuit d

18 -chaussée, elles me désignent un des rêves de mon adolescence  : sur un canapé d’angle, drapée dans une robe longue, grise et argent

19 moraux » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolescences . Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jus

20 arbres, au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence .) Voilà donc ce qui atteint chez nous à la « classe internationale »

21 t la mémoire encore investit du charme des eaux l’ adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un lac n’est jamais

22 eur héroïque. Tout ce qu’il faut pour entraîner l’ adolescence avide de servir une grande cause et de se sacrifier pour le bonheur c

23 les savants. J’ai vécu ce livre pendant toute mon adolescence et ma jeunesse ; je l’ai conçu sous forme d’œuvre écrite, et nourri d

24 haste — et d’autant plus brûlant — de la première adolescence . Il ressemble aussi à l’amour chanté par les poètes arabes, homosexue

25 s savants. ⁂ J’ai vécu ce livre pendant toute mon adolescence et ma jeunesse ; je l’ai conçu sous forme d’œuvre écrite, et nourri d

26 haste — et d’autant plus brûlant — de la première adolescence . Il ressemble aussi à l’amour chanté par les poètes arabes, homosexue

27 t il la nomme dans sa pensée, comme s’il doutait… Adolescence  ! Le charme du désir est celui du silence : il éloigne sans fin le t

28 ob Boehme, Paracelse, Swedenborg, lectures de son adolescence , figurent bel et bien dans son évolution une de ces crises où l’être

29 ’efforcer, ne connaissant que peu de repos de son adolescence à sa mort. » Je cherche : je ne trouve aucun écrivain de ce temps plu

30 du regard. Reine des neiges, Dame des rêves de l’ adolescence , femme la plus célèbre du monde, idée de la Femme régnant sur des mil

31 elle dans l’observation suivante : au sortir de l’ adolescence , l’homme devient à la fois moins abstrait et moins sentimental ; cela

32 s la portons encore comme le souvenir d’un soir d’ adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. Voici la nuit d

33 moraux » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolescences . Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jus

34 -chaussée, elles me désignent un des rêves de mon adolescence  : sur un canapé d’angle, drapée dans une robe longue, grise et argent

35 j’ai revu et senti des après-midi de pluie de mon adolescence , au péristyle de la grande maison. L’odeur des marronniers, les goutt

36 t il la nomme dans sa pensée, comme s’il doutait… Adolescence  ! Le charme du désir est celui du silence : il éloigne sans fin le te

37 du regard, Reine des neiges, Dame des rêves de l’ adolescence , femme la plus célèbre du monde, idée de la Femme régnant sur des mil

38 t la mémoire encore investit du charme des eaux l’ adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un lac n’est jamais

39 arbres, au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence .) Voilà donc ce qui atteint chez nous à la « classe internationale »

40 t la mémoire encore investit du charme des eaux l’ adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un lac n’est jamais

41 s’est marquée dès l’enfance et affirmée pendant l’ adolescence  : à 20 ans les voilà partis, l’un pour des fouilles dans les pays ara

42 core plus fraternel qu’une longue amitié, dès mon adolescence , n’a pu me le faire concevoir de son vivant. Dans le recueil récemme

43 , mais pût aller à l’aventure : rêve typique de l’ adolescence . Il le réalisa en 1893, quelques années après l’Allemand Otto, invent

44 haste — et d’autant plus brûlant — de la première adolescence . Il ressemble aussi à l’amour chanté par les poètes arabes, homosexue

45 , mais pût aller à l’aventure : rêve typique de l’ adolescence . Il le réalisa en 1893, quelques années après l’Allemand Otto, invent

46 oi cette persistance du premier choc reçu par mon adolescence prolongée. Transposant vingt-cinq ans en arrière une relation de maît

47 espond, quel que soit l’âge, à l’état de première adolescence , quand l’amour « point le cœur », oppresse le souffle, brûle en rêve,

48 ressenti dans sa pureté animique que par la prime adolescence . Il est alors sentiment pur, douleur-joie pure, et ne sera plus jamai

49 es chemins dans les campagnes : rêve typique de l’ adolescence , qui est l’âge des fugues. Le jeune Henry Ford le réalisa en 1893, qu

50 ressenti dans sa pureté animique que par la prime adolescence . Il est alors sentiment pur, douleur-joie pure, et ne sera plus jamai

51 oi cette persistance du premier choc reçu par mon adolescence prolongée. Transposant vingt-cinq ans en arrière une relation de maît

52 espond, quel que soit l’âge, à l’état de première adolescence , quand l’amour « point le cœur », oppresse le souffle, brûle en rêve,

53 se de Spinoza s’est fixée dans mon souvenir dès l’ adolescence  : « D’autant plus nous connaissons les choses particulières, d’autant

54 se de Spinoza s’est fixée dans mon souvenir dès l’ adolescence  : « D’autant plus nous connaissons les choses particulières, d’autant

55 s pût aller à l’aventure : phantasme typique de l’ adolescence . Le jeune Ford le réalise en 1893, quelques années après que l’Allema

56 it été l’un des « phares » baudelairiens de notre adolescence loin de Paris, puis un symbole (refusé mais sacré) de la révolte inef

57 es prisonniers de guerre, et de l’évocation d’une adolescence parisienne à celle d’une inénarrable incorporation comme volontaire c

58 s les rechercher dans les enfances et surtout les adolescences du poète, qui sont triples : l’élocution bien déliée du Parisien, la

59 it été l’un des « phares » baudelairiens de notre adolescence loin de Paris, puis un symbole (refusé mais sacré) de la révolte inef

60 plateaux au pied du Jura qui avaient ému ma prime adolescence , et je me sentais touché, au double sens du mot, par la gloire naissa

61 se de Spinoza s’est fixée dans mon souvenir dès l’ adolescence  : D’autant plus nous connaissons les choses particulières, d’autant p

62 hemins dans les campagnes : fantasme typique de l’ adolescence , qui est l’âge des fugues. Le jeune Ford le réalisa en 1893, quelques

63 tant d’expériences traumatisantes subies dans son adolescence — la mort plusieurs fois vue de près, les déracinements répétés — épr

64 du Ford entreprenant et souvent malchanceux de l’ adolescence et de la jeunesse. Sous une écorce rude, il dissimule une stupéfiante

65 t ému, ou se met à jurer, l’accent de sa première adolescence se déclare. Priver un homme de son dialecte, c’est-à-dire de cette la

66 années de formation, entre 15 et 25 ans. Dès mon adolescence , ce qui comptait essentiellement, à mes yeux, c’était la littérature.

67 kegaard, Kafka, T. S. Eliot… Pendant ces années d’ adolescence , je ne croyais qu’à la poésie, puis j’ai découvert la théologie avec

68 vais rencontré là plusieurs des demi-dieux de mon adolescence littéraire, de Gide à Fargue et à Malraux. Intimidé cela va sans dire

69 el quotidien, l’ont incité sans cesse, depuis son adolescence , à rechercher, non seulement la vérité, mais la vie ; non seulement l