1 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
1 dans la lune, ou bien descendent au fond des mers adorer la Liberté et jouer de l’orgue sous les yeux de poulpes géants. Jules
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
2 rréalistes, elle appelle notre impertinence. Nous adorons ailleurs. bg. « Léon Pierre-Quint : Le Comte de Lautréamont et Dieu
3 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
3 orthodoxes qui momifient Lénine pour oser enfin l’ adorer , tous les haineux qui trouveraient dans la perfidie bourgeoise un emp
4 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
4 oles, il n’y a que deux attitudes possibles : les adorer ou les fracasser. (Il y avait aussi l’attitude cynique — faussement a
5 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
5 e le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensualité adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentimentale. ⁂
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
6 e baigne d’une grâce furtive sont pris du désir d’ adorer . Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus nature
7 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
7 le beau temps. Si vous étiez païenne et que vous adoriez la lumière, le beau temps vous serait un Dieu rendu visible ; et votr
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
8 e le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensualité adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentimentale. ⁂
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
9 e baigne d’une grâce furtive sont pris du désir d’ adorer . Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus nature
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
10 ! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! » Elle adore ces rideaux rouges, ces meubles blancs, et ce grape-fruit. Ils la ven
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
11 nd très mal. Et comment se défendrait-il quand il adore tout ce qui veut sa perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont b
12 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
12 petit dieu ridicule qui n’a d’autre pouvoir que d’ adorer son illusoire autonomie, et qui remet aux mythes collectifs — à l’Éta
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
13 ngoisse, se proclame autonome, s’absolutise, et s’ adore elle-même ? Les uns fuient en avant, et les autres dans le passé, mai
14 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
14 ou moins bonnes, mais par des folies qualifiées, adorées comme telles par les masses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cen
15 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
15 d très mal. Et comment se défendrait-il, quand il adore tout ce qui veut sa perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont b
16 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
16 mme lorsqu’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses puissances. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe
17 t de tous nos échecs, c’est un Dieu qui veut être adoré sans partage ! On ne peut pas espérer en son nom, et croire aussi en
18 r ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu et la nation, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi e
19 es idoles, il n’y a plus que deux attitudes : les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est là le premier
17 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
20 ou moins bonnes, mais par des folies qualifiées, adorées comme telles par les masses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cen
18 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
21 d très mal. Et comment se défendrait-il, quand il adore tout ce qui veut sa perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont b
19 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
22 mme lorsqu’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses puissances. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe
23 t de tous nos échecs, c’est un Dieu qui veut être adoré sans partage ! On ne peut pas espérer en son nom, et croire aussi en
24 r ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu et la nation, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi e
25 es idoles, il n’y a plus que deux attitudes : les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est là le premier
20 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
26 mulées, d’où, sans intervalles, on les traînait à adorer ce qu’il ne croyaient point… Telle fut l’abomination générale enfanté
21 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
27 tte cité où le clerc, le magistrat et le marchand adoraient le même Dieu, dans le même langage ; cette unité vivante, cette commu
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
28 ace. Ce n’est plus celui qui se sert d’une mesure adorée pour elle-même, mais c’est celui qui recrée une mesure en se mettant
23 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
29 ace. Ce n’est plus celui qui se sert d’une mesure adorée pour elle-même, mais c’est celui qui recrée une mesure en se mettant
24 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
30 La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’ adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole
31 propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! »
25 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
32 nt qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne fo
26 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
33 même d’idolâtrie qui consiste dans son principe à adorer les instruments d’un culte, oubliant le dieu qu’il célèbre. Et pourqu
27 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
34 fougue dans leurs pièges les plus évidents. Elle adore se laisser attraper dans les figures qu’une Lagerlöf s’amuse à rajeun
28 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
35 tacle de l’Allemagne. L’État nouveau veut qu’on l’ adore , sinon déjà dans des formes religieuses, du moins dans des formes qui
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
36 nt qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne fo
30 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
37 iller durement ces idoles et les traîtres qui les adorent  : Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle !
38 -il, que d’inventions négligées, méprisées ! Nous adorons la Vie et le Progrès, le foisonnement et la diversité, et toute mesur
39 cette mesure, cette Alliance, et ce sont ceux qui adorent encore l’ancienne Loi, « déclarée vieillie », qui sont maintenant les
31 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
40 La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’ adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole
41 propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! »
32 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
42 étexte pieux, exciter de la haine contre ceux qui adorent l’idole totalitaire. Je veux démasquer cette idole, et les raisons pr
43 insi que je conçois la charité. Quand les Romains adoraient leur empereur, les chrétiens ne craignaient pas de passer pour athées
33 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
44 atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous adorons la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
45 vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être adorée , ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
34 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
46 poète ». Même réaction à propos de Giono, qu’ils adorent , et qu’ils jugent, non sans raison, plus proche des idéologies préhit
47 el parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Dieu cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé
35 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
48 ance, et pour la première fois baisser la tête et adorer . Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Étern
36 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
49 normalement se développer au sein des peuples qui adorent Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — historiquement les
50 se règle sur celui de la dévotion 59. Du jour où adorer devient synonyme d’aimer, cette métaphore en entraîne une quantité d’
51 elon Massignon (Passion de al-Hallaj, p. 161) : «  Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adore
52 seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attraction magnétique du fer pour le f
37 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
53 » ou, selon ses propres paroles, « un grand baron adoré du monde entier »100. Et l’on sait d’autre part de quelle manière il
38 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
54 légance allégorique : voir Giraudoux. La Fontaine adorait « cette œuvre exquise ». Et Rousseau, de passage à Lyon, voulut aller
55 informer. (I, 1.) Ce n’est pas ce ciel-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la fa
39 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
56 atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous adorons la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
57 vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être adorée , ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
40 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
58 que se rassemble la société primitive. Ce qu’elle adore , c’est ce qu’elle craint, c’est ce qui la terrorise. Une société ains
41 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
59 normalement se développer au sein des peuples qui adorent Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — historiquement les
60 rie se règle sur celui de la dévotion. Du jour où adorer devient synonyme d’aimer, cette métaphore en entraîne une quantité d’
61 elon Massignon (Passion de al-Hallaj, p. 161) : «  Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adore
62 seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attraction magnétique du fer pour le f
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
63 » ou, selon ses propres paroles, « un grand baron adoré du monde entier118. » Et l’on sait d’autre part de quelle manière il
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
64 légance allégorique : voir Giraudoux. La Fontaine adorait « cette œuvre exquise ». Et Rousseau, de passage à Lyon, voulut aller
65 ’informer. (I, 1) Ce n’est pas ce ciel-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la fa
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
66 atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous adorons la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
67 vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être adorée , ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
68 normalement se développer au sein des peuples qui adorent Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — historiquement les
69 rie se règle sur celui de la dévotion. Du jour où adorer devient synonyme d’aimer, cette métaphore en entraîne une quantité d’
70 elon Massignon (Passion de al-Hallaj, p. 161) : «  Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adore
71 seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attraction magnétique du fer pour le f
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
72 » ou, selon ses propres paroles, « un grand baron adoré du monde entier »108. Et l’on sait d’autre part de quelle manière il
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
73 légance allégorique : voir Giraudoux. La Fontaine adorait « cette œuvre exquise ». Et Rousseau, de passage à Lyon, voulut aller
74 ’informer. (I,1.) Ce n’est pas ce ciel-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la fa
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
75 atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous adorons la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
76 vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être adorée , ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
49 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
77 est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous adorions l’idole de la prospérité, et l’idole du confort, et l’idole du progrè
50 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
78 est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous adorions l’idole de la prospérité, et l’idole du confort, et l’idole du progrè
51 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
79 que se rassemble la société primitive. Ce qu’elle adore , c’est ce qu’elle craint, c’est ce qui la terrorise. Une société ains
52 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
80 même d’idolâtrie qui consiste dans son principe à adorer les instruments d’un culte, oubliant le dieu qu’il célèbre. Et pourqu
53 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
81 que se rassemble la société primitive. Ce qu’elle adore , c’est ce qu’elle craint, c’est ce qui la terrorise. Une société ains
54 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
82 s en Dieu et non pas en un homme qui prétend être adoré comme un Dieu. c. « La leçon de l’armée suisse », Journal suisse d
55 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
83 je ne pourrai pas dormir ! — mais qui d’ailleurs adorent tromper leur mari (c’est le péché même, à leurs yeux), mentent sans l
56 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
84 quittes ? Le diable n’en demandait pas plus : il adore notre bonne conscience. C’est la grande porte par laquelle il entre e
57 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
85 manque-t-il ? Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image adorée  ? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfer
86 n donner. Mais si l’homme au contraire se met à l’ adorer , à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses ap
58 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
87 je ne pourrai pas dormir ! — mais qui d’ailleurs adorent tromper leur mari — c’est le péché même, à leurs yeux —, mentent sans
59 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
88 oudain, nous attaquaient, exigeaient que nous les adorions  : leur révolte serait notre carence. Le rationalisme régnant a pu pro
89 ieu, une fantasmagorie psychologique où l’homme n’ adore que son propre reflet. » Ce sera le temps de regretter les dictatures
60 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
90 quittes ? Le diable n’en demandait pas plus : il adore notre bonne conscience. C’est la grande porte par laquelle il entre e
61 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
91 n faire sans le savoir, et de la pire, quand il «  adore Dieu dans la forêt mieux qu’à l’église », quand il prétend se « confi
92 manque-t-il ? Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image adorée  ? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfer
93 n donner. Mais si l’homme au contraire se met à l’ adorer , à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses ap
62 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
94 oudain, nous attaquaient, exigeaient que nous les adorions  : leur révolte serait notre carence. Le rationalisme régnant a pu pro
95 ieu, une fantasmagorie psychologique où l’homme n’ adore que son propre reflet. » Ce sera le temps de regretter les dictatures
63 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
96 quittes ? Le diable n’en demandait pas plus ; il adore notre bonne conscience. C’est la grande porte par laquelle il entre e
64 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
97 n faire sans le savoir, et de la pire, quand il «  adore Dieu dans la forêt mieux qu’à l’Église », quand il prétend se « confi
98 manque-t-il ? Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image adorée  ? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfer
99 n donner. Mais si l’homme au contraire se met à l’ adorer , à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses ap
65 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
100 oudain, nous attaquaient, exigeaient que nous les adorions  : leur révolte serait notre carence. Le rationalisme régnant peut pro
66 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
101 La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’ adorer un Destin muet, tandis que Luther adore une Providence dont la Parole
102 ropose d’adorer un Destin muet, tandis que Luther adore une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée. Renversement du
67 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
103 ! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! » Elle adore ces rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grapefruit. Ils la
68 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
104 . Le peuple américain — est-il puéril ou sain ? —  adore plus que tout autre les costumes, et la belle ordonnance des cortèges
69 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
105 Avec tout cela, je me demande bien pourquoi nous adorons la France comme une femme ! Pour sa grâce et pour ses faiblesses de g
70 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
106 ule église vraiment moderne de New York. La foule adore le music-hall parce que c’est une image du ciel, si l’on compare ses
107 et adapté par les soins d’une amie américaine qui adore mon pays et qui connaît le sien7. 28 mai 1941 Prendre une décis
71 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
108 e ! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! Elle adore ces rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grape-fruit. Ils l
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
109 e le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensualité adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentimentale. ⁂
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
110 e baigne d’une grâce furtive sont pris du désir d’ adorer . Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus nature
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
111 nt qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils adorent la Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne fo
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
112 poète ». Même réaction à propos de Giono, qu’ils adorent , et qu’ils jugent plus proche des idéologies préhitlériennes que du s
113 el parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on adore un Dieu cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
114 ule église vraiment moderne de New York. La foule adore le music-hall parce que c’est une image du ciel, si l’on compare ses
115 et adapté par les soins d’une amie américaine qui adore mon pays et qui connaît le sien87. 28 mai 1941 Prendre une déci
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
116 ! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! » Elle adore ces rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grape-fruit. Ils l
78 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
117 le beau temps. Si vous étiez païenne et que vous adoriez la lumière, le beau temps vous serait un dieu rendu visible et le « b
79 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
118 ance, et pour la première fois baisser la tête et adorer . Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Étern
80 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
119 bué à la popularité du champion. La foule moderne adore que ses héros soient un peu détraqués, ces faiblesses les rendant plu
81 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
120 sieur bien payé, qui parle plusieurs langues, qui adore accumuler le plus de faits possible dans le moindre espace, sur le mê
121 . Le peuple américain — est-il puéril ou sain ? —  adore plus que tout autre les costumes et la belle ordonnance des processio
82 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
122 Avec tout cela, je me demande bien pourquoi nous adorons la France comme une femme ! Pour sa grâce et pour ses faiblesses de g
83 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
123 de l’oppression des individus. Cependant, loin d’ adorer ces tyrannies qu’il laisse parfois s’établir dans son sein, l’Occiden
84 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
124 r toute l’actuelle Suisse alémanique. Les Alamans adorent Zin, le créateur du monde, et célèbrent leur culte dans les gorges de
85 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
125 e là-bas, les peuples satellites et leurs chefs «  adorés  ». (M. Pierre Cot parlait ainsi de Rákosi, confirmé par bien d’autres
86 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
126 e ? » Nos intellectuels, nos mandarins, dirai-je, adorent ce genre de jeu. Mais hors d’Europe, on ne les comprend pas. Car, vue
87 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
127 ers, cette martyre, têtue, extravagante, exaltée, adorée , aux éclats toujours imprévisibles, à jamais sublimes et tragiques !
88 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
128 ers, cette martyre, têtue, extravagante, exaltée, adorée , aux éclats toujours imprévisibles, à jamais sublimes et tragiques !
89 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
129 ance, et pour la première fois baisser la tête et adorer . Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Étern
90 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — L’amour selon les évangiles
130 tale : Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’ adorent , l’adorent en esprit et en vérité (Jean, IV, 24). Ces textes représen
131 est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’ adorent en esprit et en vérité (Jean, IV, 24). Ces textes représentent l’esse
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
132 n Allemagne, Barrès en France — leur enseignent à adorer l’instinct qui les divise, à mépriser l’intelligence qui pourrait les
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
133 ’idolâtrie romaine a tout souillé… Si un chrétien adore Dieu avec un cœur disposé comme le cœur d’un païen de Rome dans l’hom
93 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
134 e athée, nous avons à dresser des églises où l’on adore en fait la transcendance, et où l’on parle à notre temps de ses probl
135 t, si nous sortons du sanctuaire où nous venons d’ adorer ensemble le transcendant, celui qui juge et sauve le siècle, nous voi
136 l’église, c’est-à-dire là où il s’agit non plus d’ adorer Dieu mais d’informer et de convaincre des hommes, peut revêtir deux f
94 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
137 iller durement ces idoles et les traîtres qui les adorent  : Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle !
138 -il, que d’inventions négligées, méprisées ! Nous adorons la vie et le progrès, le foisonnement et la diversité, et toute mesur
139 cette mesure, cette Alliance, et ce sont ceux qui adorent encore l’ancienne Loi, « déclarée vieillie », qui sont maintenant les
95 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
140 tacle de l’Allemagne. L’État nouveau veut qu’on l’ adore , sinon déjà dans des formes religieuses, du moins dans des formes qui
96 1969, Articles divers (1963-1969). « Il faut donner aux gens le goût des belles choses » (15 février 1969)
141 s de la transformation que subit notre région ? J’ adore cette maison, ce village… mais toutes les belles régions de France so
97 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
142 de l’oppression des individus. Cependant, loin d’ adorer ces tyrannies qu’il laisse parfois s’établir dans son sein, l’Occiden
98 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
143 eut lire dans Massignon à propos de al-Hallaj : «  Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens », et que dans l
144 our l’auteur du roman) « que l’hérésie consiste à adorer Dieu à travers la femme ».226 S’il en est bien ainsi, ni les cathare
99 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
145 dépit amoureux, il veut tuer ce que la courtoisie adorait . Le crime d’amour impur sauvera seul la « pureté », aux yeux de Sade
100 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
146 y serons contraints ; les experts américains, qui adorent les scénarios « absurdes », ont calculé que, si notre démographie n’é
147 is l’amour, de Gaulle méprisa les Français pour n’ adorer que la France. Pensez encore à sa haine des « barons félons » (qui jo