1
dans la lune, ou bien descendent au fond des mers
adorer
la Liberté et jouer de l’orgue sous les yeux de poulpes géants. Jules
2
rréalistes, elle appelle notre impertinence. Nous
adorons
ailleurs. bg. « Léon Pierre-Quint : Le Comte de Lautréamont et Dieu
3
orthodoxes qui momifient Lénine pour oser enfin l’
adorer
, tous les haineux qui trouveraient dans la perfidie bourgeoise un emp
4
oles, il n’y a que deux attitudes possibles : les
adorer
ou les fracasser. (Il y avait aussi l’attitude cynique — faussement a
5
e le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensualité
adore
la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentimentale. ⁂
6
e baigne d’une grâce furtive sont pris du désir d’
adorer
. Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus nature
7
le beau temps. Si vous étiez païenne et que vous
adoriez
la lumière, le beau temps vous serait un Dieu rendu visible ; et votr
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e le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensualité
adore
la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentimentale. ⁂
9
e baigne d’une grâce furtive sont pris du désir d’
adorer
. Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus nature
10
! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! » Elle
adore
ces rideaux rouges, ces meubles blancs, et ce grape-fruit. Ils la ven
11
nd très mal. Et comment se défendrait-il quand il
adore
tout ce qui veut sa perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont b
12
petit dieu ridicule qui n’a d’autre pouvoir que d’
adorer
son illusoire autonomie, et qui remet aux mythes collectifs — à l’Éta
13
ngoisse, se proclame autonome, s’absolutise, et s’
adore
elle-même ? Les uns fuient en avant, et les autres dans le passé, mai
14
ou moins bonnes, mais par des folies qualifiées,
adorées
comme telles par les masses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cen
15
d très mal. Et comment se défendrait-il, quand il
adore
tout ce qui veut sa perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont b
16
mme lorsqu’il se confie dans ses œuvres, et qu’il
adore
ses puissances. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe
17
t de tous nos échecs, c’est un Dieu qui veut être
adoré
sans partage ! On ne peut pas espérer en son nom, et croire aussi en
18
r ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas
adorer
Dieu et la nation, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi e
19
es idoles, il n’y a plus que deux attitudes : les
adorer
ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est là le premier
20
ou moins bonnes, mais par des folies qualifiées,
adorées
comme telles par les masses aussi bien que par le bourgeois. Deux-cen
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d très mal. Et comment se défendrait-il, quand il
adore
tout ce qui veut sa perte ? Nos camarades marxistes ou racistes ont b
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mme lorsqu’il se confie dans ses œuvres, et qu’il
adore
ses puissances. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe
23
t de tous nos échecs, c’est un Dieu qui veut être
adoré
sans partage ! On ne peut pas espérer en son nom, et croire aussi en
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r ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas
adorer
Dieu et la nation, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi e
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es idoles, il n’y a plus que deux attitudes : les
adorer
ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est là le premier
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mulées, d’où, sans intervalles, on les traînait à
adorer
ce qu’il ne croyaient point… Telle fut l’abomination générale enfanté
27
tte cité où le clerc, le magistrat et le marchand
adoraient
le même Dieu, dans le même langage ; cette unité vivante, cette commu
28
ace. Ce n’est plus celui qui se sert d’une mesure
adorée
pour elle-même, mais c’est celui qui recrée une mesure en se mettant
29
ace. Ce n’est plus celui qui se sert d’une mesure
adorée
pour elle-même, mais c’est celui qui recrée une mesure en se mettant
30
La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’
adorer
un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole
31
propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous
adorons
une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! »
32
nt qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils
adorent
la Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne fo
33
même d’idolâtrie qui consiste dans son principe à
adorer
les instruments d’un culte, oubliant le dieu qu’il célèbre. Et pourqu
34
fougue dans leurs pièges les plus évidents. Elle
adore
se laisser attraper dans les figures qu’une Lagerlöf s’amuse à rajeun
35
tacle de l’Allemagne. L’État nouveau veut qu’on l’
adore
, sinon déjà dans des formes religieuses, du moins dans des formes qui
36
nt qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils
adorent
la Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne fo
37
iller durement ces idoles et les traîtres qui les
adorent
: Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle !
38
-il, que d’inventions négligées, méprisées ! Nous
adorons
la Vie et le Progrès, le foisonnement et la diversité, et toute mesur
39
cette mesure, cette Alliance, et ce sont ceux qui
adorent
encore l’ancienne Loi, « déclarée vieillie », qui sont maintenant les
40
La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’
adorer
un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole
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propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous
adorons
une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! »
42
étexte pieux, exciter de la haine contre ceux qui
adorent
l’idole totalitaire. Je veux démasquer cette idole, et les raisons pr
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insi que je conçois la charité. Quand les Romains
adoraient
leur empereur, les chrétiens ne craignaient pas de passer pour athées
44
atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous
adorons
la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
45
vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être
adorée
, ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
46
poète ». Même réaction à propos de Giono, qu’ils
adorent
, et qu’ils jugent, non sans raison, plus proche des idéologies préhit
47
el parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on
adore
un Dieu cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé
48
ance, et pour la première fois baisser la tête et
adorer
. Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Étern
49
normalement se développer au sein des peuples qui
adorent
Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — historiquement les
50
se règle sur celui de la dévotion 59. Du jour où
adorer
devient synonyme d’aimer, cette métaphore en entraîne une quantité d’
51
elon Massignon (Passion de al-Hallaj, p. 161) : «
Adorer
Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adore
52
seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci)
adorent
Dieu par amour physique, par l’attraction magnétique du fer pour le f
53
» ou, selon ses propres paroles, « un grand baron
adoré
du monde entier »100. Et l’on sait d’autre part de quelle manière il
54
légance allégorique : voir Giraudoux. La Fontaine
adorait
« cette œuvre exquise ». Et Rousseau, de passage à Lyon, voulut aller
55
informer. (I, 1.) Ce n’est pas ce ciel-là qu’eût
adoré
Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la fa
56
atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous
adorons
la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
57
vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être
adorée
, ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
58
que se rassemble la société primitive. Ce qu’elle
adore
, c’est ce qu’elle craint, c’est ce qui la terrorise. Une société ains
59
normalement se développer au sein des peuples qui
adorent
Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — historiquement les
60
rie se règle sur celui de la dévotion. Du jour où
adorer
devient synonyme d’aimer, cette métaphore en entraîne une quantité d’
61
elon Massignon (Passion de al-Hallaj, p. 161) : «
Adorer
Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adore
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seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci)
adorent
Dieu par amour physique, par l’attraction magnétique du fer pour le f
63
» ou, selon ses propres paroles, « un grand baron
adoré
du monde entier118. » Et l’on sait d’autre part de quelle manière il
64
légance allégorique : voir Giraudoux. La Fontaine
adorait
« cette œuvre exquise ». Et Rousseau, de passage à Lyon, voulut aller
65
’informer. (I, 1) Ce n’est pas ce ciel-là qu’eût
adoré
Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la fa
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atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous
adorons
la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
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vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être
adorée
, ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
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normalement se développer au sein des peuples qui
adorent
Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — historiquement les
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rie se règle sur celui de la dévotion. Du jour où
adorer
devient synonyme d’aimer, cette métaphore en entraîne une quantité d’
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elon Massignon (Passion de al-Hallaj, p. 161) : «
Adorer
Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adore
71
seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci)
adorent
Dieu par amour physique, par l’attraction magnétique du fer pour le f
72
» ou, selon ses propres paroles, « un grand baron
adoré
du monde entier »108. Et l’on sait d’autre part de quelle manière il
73
légance allégorique : voir Giraudoux. La Fontaine
adorait
« cette œuvre exquise ». Et Rousseau, de passage à Lyon, voulut aller
74
’informer. (I,1.) Ce n’est pas ce ciel-là qu’eût
adoré
Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’on rejette la fa
75
atures. Ainsi le même mouvement qui fait que nous
adorons
la vie nous précipite dans sa négation. C’est la profonde misère, le
76
vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être
adorée
, ni même tuée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel.
77
est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous
adorions
l’idole de la prospérité, et l’idole du confort, et l’idole du progrè
78
est juste dans son châtiment. Il faut payer. Nous
adorions
l’idole de la prospérité, et l’idole du confort, et l’idole du progrè
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que se rassemble la société primitive. Ce qu’elle
adore
, c’est ce qu’elle craint, c’est ce qui la terrorise. Une société ains
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même d’idolâtrie qui consiste dans son principe à
adorer
les instruments d’un culte, oubliant le dieu qu’il célèbre. Et pourqu
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que se rassemble la société primitive. Ce qu’elle
adore
, c’est ce qu’elle craint, c’est ce qui la terrorise. Une société ains
82
s en Dieu et non pas en un homme qui prétend être
adoré
comme un Dieu. c. « La leçon de l’armée suisse », Journal suisse d
83
je ne pourrai pas dormir ! — mais qui d’ailleurs
adorent
tromper leur mari (c’est le péché même, à leurs yeux), mentent sans l
84
quittes ? Le diable n’en demandait pas plus : il
adore
notre bonne conscience. C’est la grande porte par laquelle il entre e
85
manque-t-il ? Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image
adorée
? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfer
86
n donner. Mais si l’homme au contraire se met à l’
adorer
, à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses ap
87
je ne pourrai pas dormir ! — mais qui d’ailleurs
adorent
tromper leur mari — c’est le péché même, à leurs yeux —, mentent sans
88
oudain, nous attaquaient, exigeaient que nous les
adorions
: leur révolte serait notre carence. Le rationalisme régnant a pu pro
89
ieu, une fantasmagorie psychologique où l’homme n’
adore
que son propre reflet. » Ce sera le temps de regretter les dictatures
90
quittes ? Le diable n’en demandait pas plus : il
adore
notre bonne conscience. C’est la grande porte par laquelle il entre e
91
n faire sans le savoir, et de la pire, quand il «
adore
Dieu dans la forêt mieux qu’à l’église », quand il prétend se « confi
92
manque-t-il ? Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image
adorée
? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfer
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n donner. Mais si l’homme au contraire se met à l’
adorer
, à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses ap
94
oudain, nous attaquaient, exigeaient que nous les
adorions
: leur révolte serait notre carence. Le rationalisme régnant a pu pro
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ieu, une fantasmagorie psychologique où l’homme n’
adore
que son propre reflet. » Ce sera le temps de regretter les dictatures
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quittes ? Le diable n’en demandait pas plus ; il
adore
notre bonne conscience. C’est la grande porte par laquelle il entre e
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n faire sans le savoir, et de la pire, quand il «
adore
Dieu dans la forêt mieux qu’à l’Église », quand il prétend se « confi
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manque-t-il ? Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image
adorée
? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfer
99
n donner. Mais si l’homme au contraire se met à l’
adorer
, à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses ap
100
oudain, nous attaquaient, exigeaient que nous les
adorions
: leur révolte serait notre carence. Le rationalisme régnant peut pro
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La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’
adorer
un Destin muet, tandis que Luther adore une Providence dont la Parole
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ropose d’adorer un Destin muet, tandis que Luther
adore
une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée. Renversement du
103
! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! » Elle
adore
ces rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grapefruit. Ils la
104
. Le peuple américain — est-il puéril ou sain ? —
adore
plus que tout autre les costumes, et la belle ordonnance des cortèges
105
Avec tout cela, je me demande bien pourquoi nous
adorons
la France comme une femme ! Pour sa grâce et pour ses faiblesses de g
106
ule église vraiment moderne de New York. La foule
adore
le music-hall parce que c’est une image du ciel, si l’on compare ses
107
et adapté par les soins d’une amie américaine qui
adore
mon pays et qui connaît le sien7. 28 mai 1941 Prendre une décis
108
e ! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! Elle
adore
ces rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grape-fruit. Ils l
109
e le plaisir ou la fuit, ou la tue. La sensualité
adore
la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentimentale. ⁂
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e baigne d’une grâce furtive sont pris du désir d’
adorer
. Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus nature
111
nt qu’à un seul Dieu, s’écriait l’orateur, et ils
adorent
la Trinité ! Ils disent que le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne fo
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poète ». Même réaction à propos de Giono, qu’ils
adorent
, et qu’ils jugent plus proche des idéologies préhitlériennes que du s
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el parce qu’il est le Dieu des personnes, et l’on
adore
un Dieu cosmique, non révélé, non incarné, qui est l’instinct sublimé
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ule église vraiment moderne de New York. La foule
adore
le music-hall parce que c’est une image du ciel, si l’on compare ses
115
et adapté par les soins d’une amie américaine qui
adore
mon pays et qui connaît le sien87. 28 mai 1941 Prendre une déci
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! Ce n’est pas le moment d’être objectif ! » Elle
adore
ces rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grape-fruit. Ils l
117
le beau temps. Si vous étiez païenne et que vous
adoriez
la lumière, le beau temps vous serait un dieu rendu visible et le « b
118
ance, et pour la première fois baisser la tête et
adorer
. Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Étern
119
bué à la popularité du champion. La foule moderne
adore
que ses héros soient un peu détraqués, ces faiblesses les rendant plu
120
sieur bien payé, qui parle plusieurs langues, qui
adore
accumuler le plus de faits possible dans le moindre espace, sur le mê
121
. Le peuple américain — est-il puéril ou sain ? —
adore
plus que tout autre les costumes et la belle ordonnance des processio
122
Avec tout cela, je me demande bien pourquoi nous
adorons
la France comme une femme ! Pour sa grâce et pour ses faiblesses de g
123
de l’oppression des individus. Cependant, loin d’
adorer
ces tyrannies qu’il laisse parfois s’établir dans son sein, l’Occiden
124
r toute l’actuelle Suisse alémanique. Les Alamans
adorent
Zin, le créateur du monde, et célèbrent leur culte dans les gorges de
125
e là-bas, les peuples satellites et leurs chefs «
adorés
». (M. Pierre Cot parlait ainsi de Rákosi, confirmé par bien d’autres
126
e ? » Nos intellectuels, nos mandarins, dirai-je,
adorent
ce genre de jeu. Mais hors d’Europe, on ne les comprend pas. Car, vue
127
ers, cette martyre, têtue, extravagante, exaltée,
adorée
, aux éclats toujours imprévisibles, à jamais sublimes et tragiques !
128
ers, cette martyre, têtue, extravagante, exaltée,
adorée
, aux éclats toujours imprévisibles, à jamais sublimes et tragiques !
129
ance, et pour la première fois baisser la tête et
adorer
. Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant ! L’Étern
130
tale : Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’
adorent
, l’adorent en esprit et en vérité (Jean, IV, 24). Ces textes représen
131
est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’
adorent
en esprit et en vérité (Jean, IV, 24). Ces textes représentent l’esse
132
n Allemagne, Barrès en France — leur enseignent à
adorer
l’instinct qui les divise, à mépriser l’intelligence qui pourrait les
133
’idolâtrie romaine a tout souillé… Si un chrétien
adore
Dieu avec un cœur disposé comme le cœur d’un païen de Rome dans l’hom
134
e athée, nous avons à dresser des églises où l’on
adore
en fait la transcendance, et où l’on parle à notre temps de ses probl
135
t, si nous sortons du sanctuaire où nous venons d’
adorer
ensemble le transcendant, celui qui juge et sauve le siècle, nous voi
136
l’église, c’est-à-dire là où il s’agit non plus d’
adorer
Dieu mais d’informer et de convaincre des hommes, peut revêtir deux f
137
iller durement ces idoles et les traîtres qui les
adorent
: Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle !
138
-il, que d’inventions négligées, méprisées ! Nous
adorons
la vie et le progrès, le foisonnement et la diversité, et toute mesur
139
cette mesure, cette Alliance, et ce sont ceux qui
adorent
encore l’ancienne Loi, « déclarée vieillie », qui sont maintenant les
140
tacle de l’Allemagne. L’État nouveau veut qu’on l’
adore
, sinon déjà dans des formes religieuses, du moins dans des formes qui
141
s de la transformation que subit notre région ? J’
adore
cette maison, ce village… mais toutes les belles régions de France so
142
de l’oppression des individus. Cependant, loin d’
adorer
ces tyrannies qu’il laisse parfois s’établir dans son sein, l’Occiden
143
eut lire dans Massignon à propos de al-Hallaj : «
Adorer
Dieu par amour seulement est le crime des manichéens », et que dans l
144
our l’auteur du roman) « que l’hérésie consiste à
adorer
Dieu à travers la femme ».226 S’il en est bien ainsi, ni les cathare
145
dépit amoureux, il veut tuer ce que la courtoisie
adorait
. Le crime d’amour impur sauvera seul la « pureté », aux yeux de Sade
146
y serons contraints ; les experts américains, qui
adorent
les scénarios « absurdes », ont calculé que, si notre démographie n’é
147
is l’amour, de Gaulle méprisa les Français pour n’
adorer
que la France. Pensez encore à sa haine des « barons félons » (qui jo