1
uir : car l’hommage de Jung est rendu à la Sophia
aeterna
de la mythologie gnostique. Barth se veut strictement « canonique » d
2
prières » : c’est donc bien le rôle de la Sophia
aeterna
qu’elle tient alors. 219. Cf. Antwort auf Hiob de C. G. Jung. 220.
3
salut vient par la grâce de la Dame, de la Sophia
aeterna
— « l’Éternel féminin », dira Goethe. La dialectique du vrai jour et
4
ion. Mais Athéna (jouant ici le rôle de la Sophia
aeterna
dans la gnose27) avertit secrètement Deucalion, le fils unique de Pro
5
s étymologies », p. 31 et 32. 27. Sur la Sophia
aeterna
, co-éternelle avec Dieu (correspondant à Athéna épouse de Zeus), véné