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e voir que le récit se trouve, dans tous les cas,
affadi
et banalisé. Si l’on voit bien ce qui pouvait pousser les auteurs pri
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yriques, j’en suis parfois, devraient se garder d’
affadir
une telle œuvre, n’y admirant à leur coutume qu’une « fantaisie gratu
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histoires diverses, si curieusement défigurées et
affadies
par les manuels. Il nous reste à connaître beaucoup mieux nos confédé
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dans nos Églises pas mal de traces d’un piétisme
affadi
. Je n’oserais pas suggérer que nous tenons à rester démocrates et san
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histoires diverses, si curieusement défigurées et
affadies
par les manuels. Il nous reste à connaître vraiment nos confédérés su
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istoriens de la littérature devraient se garder d’
affadir
une telle œuvre, n’y admirant à leur coutume qu’une fantaisie « gratu