1 nuels de littérature — : « Un mysticisme creux et affamé est le contrecoup du christianisme dans les âmes profondes ou délicat

2 ndre à une religion dans sa jeunesse virulente et affamée . Il faut se réduire aux vérités solides. À celles qui nourrissent l’e

3 ir ainsi perdu sa sève active et livré les masses affamées au délire totalitaire. Il me semble aujourd’hui qu’au contraire, la v

4 ir ainsi perdu sa sève active et livré les masses affamées au délire totalitaire. Il me semble aujourd’hui qu’au contraire, la v

5 ndre à une religion dans sa jeunesse virulente et affamée . Il faut se réduire aux vérités solides. À celles qui nourrissent l’e

6 ir ainsi perdu sa sève active et livré les masses affamées au délire totalitaire. Il me semble aujourd’hui qu’au contraire, la v

7 e désordonnée, lubrique, rapace, irresponsable et affamée  ; et notre âme un cloaque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud

8 s et d’une erreur courante sur la culture. Ventre affamé n’a point d’oreilles, dit le proverbe. Comment lutter contre cette « 

9 rler de culture dans un pays où des millions sont affamés . Ce dernier argument, lancé d’abord par l’un des délégués occidentaux

10 s de blé aux Indiens. Mais je me tairai. « Ventre affamé n’a point d’oreilles », et qui suis-je pour lutter ici contre la forc

11 e désordonnée, lubrique, rapace, irresponsable et affamée  ; et notre âme un cloaque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud

12 préconisé le mensonge utile et le « massacre des affamés  » ? Je demandais simplement qu’on cesse de mettre en doute l’existenc

13 corde entre l’Est et l’Ouest, si elle nourrit les affamés , non si elle les massacre, si elle apaise les nationalismes, non si e

14 gion à ceux qui demandent d’abord du pain. Ventre affamé n’a point d’oreilles. » Il peut sembler pourtant que le contraire est

15 ntier ne trouvera plus une bouchée à donner à cet affamé .121 Le rythme allègre ou endiablé, le presto de Don Juan, son humeu

16 bia et à Barcelone dans la misère la plus totale, affamé et souvent sans toit. Il dut vendre tout ce qu’il avait emporté dans

17 ntier ne trouvera plus une bouchée à donner à cet affamé .47 Le rythme allègre ou endiablé, le presto de Don Juan, son humeur

18 mblantes d’êtres humains tourmentés et angoissés, affamés , rongés de soucis et se sentant perdus ouvrent des yeux agrandis sur

19 ion que l’Occident puisse nourrir les milliards d’ affamés qui se multiplient sans frein dans le tiers-monde. Les philanthropes

20 e désordonnée, lubrique, rapace, irresponsable et affamée  ; et notre âme un cloaque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud

21 ion que l’Occident puisse nourrir les milliards d’ affamés qui se multiplient sans frein dans le tiers-monde. Les philanthropes

22 éateur, inventeur, contestataire, irrationnel, et affamé d’incalculable qu’il va nécessairement réaliser un jour ! Cette posit

23 ne civilisation et d’un mode de vie toujours plus affamé et dévoreur de cette sorte d’énergie que l’État central est seul en m

24 ne civilisation et d’un mode de vie toujours plus affamé et dévoreur de cette sorte-là d’énergie que l’État est seul en mesure