1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
1 ’irréfutable preuve de l’absurdité de la vie ». L’ agonie lente de Perken, qui est tombé sur les « pointes de guerre » empoison
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
2 s pas tout à fait. Il faut l’accepter. Songez à l’ agonie du Jardin des Oliviers. Blanche se souvint que Lady Mount-Stratton lu
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
3 de plus en plus sereine, la tentation revient, l’ agonie se poursuit. Seulement l’effort d’équilibre crée des énergies nouvell
4 les anges enfin élèvent Faust au-dessus de cette agonie symbolique de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une
4 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
5 roix, signe éternel de la contradiction et de l’«  agonie  », est au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même d
6 obéissance jusqu’à l’absurde et au martyre, à l’«  agonie  » entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît l
5 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
7 roix, signe éternel de la contradiction et de l’«  agonie  », est au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même d
8 e jusqu’à l’absurde, et parfois au martyre, à l’«  agonie  » entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît l
6 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
9 nous n’y étions pas, cet état que Unamuno nomme l’ agonie du christianisme, voilà en définitive ce que nie le marxisme. Toutes
7 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
10 roix, signe éternel de la contradiction et de l’«  agonie  », est au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même d
11 e jusqu’à l’absurde, et parfois au martyre, à l’«  agonie  » entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît l
8 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
12 nous n’y étions pas, cet état que Unamuno nomme l’ agonie du christianisme, voilà en définitive ce que nie le marxisme. Toutes
9 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
13 tu allais mourir, comme si tu allais vivre : une agonie  ! Il faut poser cette limite, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-c
10 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
14 tu allais mourir, comme si tu allais vivre : une agonie  ! Il faut poser cette limite, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-c
11 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
15 e décadence des lieux communs, la culture est à l’ agonie . Mais en même temps, la vie sociale et politique devient pratiquement
12 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
16 e décadence des lieux communs, la culture est à l’ agonie . Mais en même temps, la vie sociale et politique devient pratiquement
13 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
17 n la plus poignante : « Je pensais à toi dans mon agonie , j’ai versé telle goutte de sang pour toi. » Mais l’idée du divin dan
14 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
18 n la plus poignante : « Je pensais à toi dans mon agonie , j’ai versé telle goutte de sang pour toi. » Mais l’idée du divin dan
15 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
19 n la plus poignante : « Je pensais à toi dans mon agonie , j’ai versé telle goutte de sang pour toi. » Mais l’idée du divin dan
16 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
20 de plus en plus sereine, la tentation revient, l’ agonie se poursuit. Seulement, l’effort pour créer l’équilibre a dégagé des
21 les anges enfin élèvent Faust au-dessus de cette agonie symbolique de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une
22 ette grandeur ne tenteront pas nos âmes jusqu’à l’ agonie  ? L’homme ne peut juger que plus bas que lui. C’est-à-dire qu’il n’en
17 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
23 nouvier. 48. Jean, XI.4. Jésus dit de Lazare à l’ agonie  : « Cette maladie n’est point à la mort ». Or Jésus sait que Lazare v
18 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
24 ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’ agonie de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
19 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
25 ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’ agonie de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
20 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
26 e préfère le mesurer à la réduction de la durée d’ agonie d’une population. L’idéal de nos contemporains paraît bien être de mo
21 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
27 ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’ agonie de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
22 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
28 e préfère le mesurer à la réduction de la durée d’ agonie d’une population. L’idéal de nos contemporains paraît bien être de mo
23 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
29 ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’ agonie de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
24 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
30 ses produits, la pauvre, et tente de prolonger l’ agonie de son système en s’ouvrant des marchés européens… Rien de plus stup
25 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
31 ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
32 bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie , littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
33 llons les retrouver, précisément, dans cette même agonie permanente dont on vient de voir qu’elle est la condition de l’homme
26 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
34 ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
35 bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie , littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
36 llons les retrouver, précisément, dans cette même agonie permanente dont on vient de voir qu’elle est la condition de l’homme
27 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
37 ette phrase célèbre : « Je pensais à toi dans mon agonie  ; j’ai versé telles gouttes de sang pour toi. » Pour toi, dit bien Pa
28 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
38 çable d’un seul être. « Je pensais à toi dans mon agonie . J’ai versé telles gouttes de sang pour toi », dit au croyant le Jésu
29 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
39 çable d’un seul être. « Je pensais à toi dans mon agonie . J’ai versé telles gouttes de sang pour toi », dit au croyant le Jésu
30 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
40 s de l’Europe et du monde devront traverser cette agonie , pour que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païe
31 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
41 s de l’Europe et du monde devront traverser cette agonie , pour que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païe
42 uropéenne, est peut-être le symptôme d’une proche agonie  ; de même certains hommes deviennent voyants sur leur lit de mort et,
32 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
43 s, éclairant d’une étrange lueur contradictoire l’ agonie de l’âme européenne. … Maintenant, sur une immense terrasse d’Elsinor
33 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
44 ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
45 bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie , littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
34 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
46 ette phrase célèbre : « Je pensais à toi dans mon agonie  ; j’ai versé telles gouttes de sang pour toi. » Pour toi, non pour le
35 1976, Articles divers (1974-1977). Histoire et prospective de l’identité européenne (1976)
47 ient pas, de cette Europe qu’ils jugent finie ! L’ agonie qu’ils annoncent, complaisants, c’est la leur ! Ils sont bien les seu
36 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
48 es et de démagogie… L’Europe s’engourdit dans une agonie qui n’est même pas grandiose. En dépit d’un préjugé romantique, la dé