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’irréfutable preuve de l’absurdité de la vie ». L’
agonie
lente de Perken, qui est tombé sur les « pointes de guerre » empoison
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s pas tout à fait. Il faut l’accepter. Songez à l’
agonie
du Jardin des Oliviers. Blanche se souvint que Lady Mount-Stratton lu
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de plus en plus sereine, la tentation revient, l’
agonie
se poursuit. Seulement l’effort d’équilibre crée des énergies nouvell
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les anges enfin élèvent Faust au-dessus de cette
agonie
symbolique de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une
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roix, signe éternel de la contradiction et de l’«
agonie
», est au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même d
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obéissance jusqu’à l’absurde et au martyre, à l’«
agonie
» entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît l
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roix, signe éternel de la contradiction et de l’«
agonie
», est au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même d
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e jusqu’à l’absurde, et parfois au martyre, à l’«
agonie
» entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît l
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nous n’y étions pas, cet état que Unamuno nomme l’
agonie
du christianisme, voilà en définitive ce que nie le marxisme. Toutes
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roix, signe éternel de la contradiction et de l’«
agonie
», est au centre du monde chrétien, parce qu’elle est le signe même d
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e jusqu’à l’absurde, et parfois au martyre, à l’«
agonie
» entre la Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît l
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nous n’y étions pas, cet état que Unamuno nomme l’
agonie
du christianisme, voilà en définitive ce que nie le marxisme. Toutes
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tu allais mourir, comme si tu allais vivre : une
agonie
! Il faut poser cette limite, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-c
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tu allais mourir, comme si tu allais vivre : une
agonie
! Il faut poser cette limite, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-c
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e décadence des lieux communs, la culture est à l’
agonie
. Mais en même temps, la vie sociale et politique devient pratiquement
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e décadence des lieux communs, la culture est à l’
agonie
. Mais en même temps, la vie sociale et politique devient pratiquement
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n la plus poignante : « Je pensais à toi dans mon
agonie
, j’ai versé telle goutte de sang pour toi. » Mais l’idée du divin dan
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n la plus poignante : « Je pensais à toi dans mon
agonie
, j’ai versé telle goutte de sang pour toi. » Mais l’idée du divin dan
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n la plus poignante : « Je pensais à toi dans mon
agonie
, j’ai versé telle goutte de sang pour toi. » Mais l’idée du divin dan
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de plus en plus sereine, la tentation revient, l’
agonie
se poursuit. Seulement, l’effort pour créer l’équilibre a dégagé des
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les anges enfin élèvent Faust au-dessus de cette
agonie
symbolique de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une
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ette grandeur ne tenteront pas nos âmes jusqu’à l’
agonie
? L’homme ne peut juger que plus bas que lui. C’est-à-dire qu’il n’en
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nouvier. 48. Jean, XI.4. Jésus dit de Lazare à l’
agonie
: « Cette maladie n’est point à la mort ». Or Jésus sait que Lazare v
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ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’
agonie
de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
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ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’
agonie
de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
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e préfère le mesurer à la réduction de la durée d’
agonie
d’une population. L’idéal de nos contemporains paraît bien être de mo
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ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’
agonie
de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
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e préfère le mesurer à la réduction de la durée d’
agonie
d’une population. L’idéal de nos contemporains paraît bien être de mo
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ceux que j’ai prévus ? La souffrance sera pire, l’
agonie
de la terre un peu plus longue, la fin de l’humanité non moins certai
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ses produits, la pauvre, et tente de prolonger l’
agonie
de son système en s’ouvrant des marchés européens… Rien de plus stup
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ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en
agonie
perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
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bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette
agonie
, littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
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llons les retrouver, précisément, dans cette même
agonie
permanente dont on vient de voir qu’elle est la condition de l’homme
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ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en
agonie
perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
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bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette
agonie
, littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
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llons les retrouver, précisément, dans cette même
agonie
permanente dont on vient de voir qu’elle est la condition de l’homme
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ette phrase célèbre : « Je pensais à toi dans mon
agonie
; j’ai versé telles gouttes de sang pour toi. » Pour toi, dit bien Pa
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çable d’un seul être. « Je pensais à toi dans mon
agonie
. J’ai versé telles gouttes de sang pour toi », dit au croyant le Jésu
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çable d’un seul être. « Je pensais à toi dans mon
agonie
. J’ai versé telles gouttes de sang pour toi », dit au croyant le Jésu
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s de l’Europe et du monde devront traverser cette
agonie
, pour que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païe
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s de l’Europe et du monde devront traverser cette
agonie
, pour que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païe
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uropéenne, est peut-être le symptôme d’une proche
agonie
; de même certains hommes deviennent voyants sur leur lit de mort et,
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s, éclairant d’une étrange lueur contradictoire l’
agonie
de l’âme européenne. … Maintenant, sur une immense terrasse d’Elsinor
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ns leur tension, en équilibre toujours menacé, en
agonie
perpétuelle. Cette agonie, littéralement : cette lutte, consomme des
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bre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette
agonie
, littéralement : cette lutte, consomme des énergies immenses. Et c’es
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ette phrase célèbre : « Je pensais à toi dans mon
agonie
; j’ai versé telles gouttes de sang pour toi. » Pour toi, non pour le
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ient pas, de cette Europe qu’ils jugent finie ! L’
agonie
qu’ils annoncent, complaisants, c’est la leur ! Ils sont bien les seu
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es et de démagogie… L’Europe s’engourdit dans une
agonie
qui n’est même pas grandiose. En dépit d’un préjugé romantique, la dé