1 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
1 la mission de la Suisse. Je vais vous citer deux alexandrins qui résument parfaitement notre isolationnisme un peu mesquin et la g
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 nel et profanateur, et déjà presque de l’aventure alexandrine  : la découverte du monde y est une conséquence de l’idée de l’infini,
3 e tous nos intellectuels sont des Hellènes ou des Alexandrins . De nombreux éléments rituels du mithraïsme ont passé dans nos liturg
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
4 ie siècle avant notre ère, en pleine littérature alexandrine . Il est probable que Moschos, poète sicilien de Syracuse, artiste éru
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
5 ie siècle avant notre ère, en pleine littérature alexandrine . Il est probable que Moschos, poète sicilien de Syracuse, artiste éru
5 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
6 e superflue, ce n’est plus que « Vénus » dans les alexandrins . Une allusion, un regard, un air, un rien, et flambe la passion. Conv
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
7 nseille un personnage de Ménandre en cette époque alexandrine . « N’importe quoi » est possible à chacun, pour n’importe quel prix,