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l’existence, et à une liberté qu’il s’empresse d’
aliéner
au profit de plaisirs tarifés, soumis plus subtilement encore que son
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elle un être antinomique, « divisé », et comme «
aliéné
» de ce qu’il y a de plus humain en lui. À la découverte de « cette a
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térêts, à quel niveau il faudrait les défendre. «
Aliéné
» par un ordre inhumain, il ne sait plus penser sa vie. Interrogez ce
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uent avec une férocité sans précédent. Il devient
aliéné
, c’est-à-dire qu’il devient la proie d’un autre. Un médecin qu’il jug
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térêts, à quel niveau il faudrait les défendre. «
Aliéné
» par un ordre inhumain, il ne sait plus penser sa vie. Interrogez ce
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en émut au point de statuer que l’auteur était un
aliéné
; la revue fut interdite, la suite des Lettres ne parut point ; et po
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me obligatoire. Aragon me traitait publiquement d’
aliéné
dans une conférence en Sorbonne, L’Humanité donnait ma caricature en
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elle un être antinomique, « divisé », et comme «
aliéné
» de ce qu’il y a de plus humain en lui. À la découverte de « cette a
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de l’œuvre personnelle, elle pourra tour à tour l’
aliéner
(comme on dit) ou le rassurer sur lui-même, mais finalement elle n’au
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contraire du marxisme. L’homme d’aujourd’hui est
aliéné
dans le matériel, le quantitatif, qui tend à le déposséder de lui-mêm
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aliénation. Mais s’il n’y a pas de je, qui serait
aliéné
? (Pour le bouddhiste, pour le cathare, pas d’autre aliénation que la
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-dire détourner l’attention des problèmes réels —
aliéner
l’intérêt civique. Dans le cas sicilien, c’est réduire les élections
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e de la nature, a tout ce qu’il faut pour devenir
aliéné
. Quant aux éléments libérateurs de l’héritage culturel européen, ils
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s que s’engager n’est pas s’embrigader, n’est pas
aliéner
sa responsabilité personnelle entre les mains d’un Parti infaillible,
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tion, j’ose vous demander ce qui, selon vous, est
aliéné
? Si ce n’est pas la personne, alors quoi ? Quelle abstraction politi
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on le naturel et selon le divin qui est en lui. L’
aliéner
, c’est le mécaniser — au sens argotique qu’a pris le mot — c’est-à-di
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sur soi-même (bien au contraire), le pouvoir qui
aliène
, non celui qui libère. Au surplus, elle crée tant de liens avec ce qu
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ène en dernière analyse à cela : comment l’homme,
aliéné
par la société technico-industrielle démesurée et sans cadres, pourra
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tion, j’ose vous demander ce qui, selon vous, est
aliéné
? Si ce n’est pas la personne, alors quoi ? Quelle abstraction politi
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on le naturel et selon le divin qui est en lui. L’
aliéner
, c’est le mécaniser — au sens argotique qu’a pris le mot — c’est-à-di
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sur soi-même (bien au contraire), le pouvoir qui
aliène
, non celui qui libère. Au surplus, elle crée tant de liens avec ce qu
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pour lui le soumet aux seules lois du passé, et l’
aliène
. Pour une prospective intuitive L’avenir dépend de nos passions
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pour lui le soumet aux seules lois du passé, et l’
aliène
. Pour une prospective intuitive L’avenir dépend de nos passions
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l’existence, et à une liberté qu’il s’empresse d’
aliéner
au profit de plaisirs tarifés, soumis plus subtilement encore que son
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la grandeur de nos misères secrètes111. » Petit,
aliéné
, prolétaire : ces mots reviennent sans cesse à son propos et le plus
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cercle se ferme, on ne peut plus vicieux. Ce qui
aliène
l’homme d’aujourd’hui c’est aussi ce qui détruit les bases de toute c
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ion décisive : qu’est-ce donc en l’homme, qui est
aliéné
? Je réponds que c’est la personne, ce qui fait qu’il est lui et pas
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des grands nombres, et qui lui, ne saurait être «
aliéné
», étant d’avance et par définition assimilé à n’importe qui d’autre
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iété. Car autrement, me disais-je, l’homme est un
aliéné
. S’il dépend d’autre chose que de sa vocation — d’une capitale, d’un
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économique et financier qui opprime l’homme et l’
aliène
dans toutes ses dimensions et particulièrement dans son cadre de vie.
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de la grandeur de nos misères secrètes. » Petit,
aliéné
, prolétaire : ces mots reviennent sans cesse à son propos, et le plus