1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 que dans les lois de l’amour courtois, les leys d’ amors . Mais il faut dire aussi que jamais rhétorique ne fut plus exaltante
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
2 dour, de celui qui connaît et pratique les leys d’ amors . Dante soutiendra la même doctrine… 120. Béatrice a certainement exi
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 lois, qui seront codifiées sous le nom de leys d’ amors . Mais il faut dire aussi que jamais rhétorique ne fut plus exaltante
4 éalisée, avec sa « piété » particulière, la joy d’ amors , ses « rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa morale de l’
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
5 lois, qui seront codifiées sous le nom de leys d’ amors . Mais il faut dire aussi que jamais rhétorique ne fut plus exaltante
6 éalisée, avec sa « piété » particulière, la joy d’ amors , ses « rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa morale de l’
5 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
7 éalisée, avec sa « pitié » particulière, la joy d’ amors , ses « rites » précis, la rhétorique des troubadours, sa morale de l’
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 sfaction amoureuse, et c’est le principe du joy d’ amors ou joc, du minnespil des Allemands — ce ludus amoris qui est à la foi
9 otique des troubadours. La Joie d’amour, ou Joy d’ amors en occitan, est un mot masculin dont le sens varie non seulement selo
10 ssion) que si l’objet de son amour est éloigné (l’ amors de lonh de Jaufré Rudel). Les principaux moments dialectiques du comp
11 éalité. Cette sentence courtoise signifie que fin amors est jouissance du désir, non du plaisir ; mais on peut en étendre le