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nzalez de Palencia, et Ribera. (À propos du zéjel
andalou
, forme utilisée par Guillaume de Poitiers.) 73. Aliénor d’Aquitaine
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nguedoc et du Poitou. L’épanouissement du lyrisme
andalou
aux xe et xie siècles nous est aujourd’hui bien connu. La prosodie
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qui nous restent. Les « preuves » de l’influence
andalouse
sur les poètes courtois ne sont plus à faire69. Et je pourrais ici re
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Espagne : senhor (non senhorà) ? Les troubadours
andalous
et arabes faisaient de même. Je crois qu’ici encore, au moins à l’ori
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nguedoc et du Poitou. L’épanouissement du lyrisme
andalou
aux xe et xie siècles nous est aujourd’hui bien connu. La prosodie
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qui nous restent. Les « preuves » de l’influence
andalouse
sur les poètes courtois ne sont plus à faire61. Et je pourrais ici re
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Espagne : senhor (non senhora) ? Les troubadours
andalous
et arabes faisaient de même. Je crois qu’ici encore, au moins à l’ori
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ses beaux-frères — que fréquentaient des lettrés
andalous
et des troupes de jongleurs toujours mixtes : chanteurs mauresques et
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crire les cheminements de cet amour dont le poète
andalou
Ibn Hazm écrivait au xie siècle : L’amour est une maladie incurable
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sie européenne, s’est formé au contact du lyrisme
andalou
(analogie des thèmes et des formes rhétoriques). Quant aux influences
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e jeunes femmes qu’est consacrée la maison dite l’
Andalouse
: les Bovet y accueillent vers la fin du siècle dernier, des protesta