1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 doutais cette heure où il faut te parler ! Elle m’ angoissait plus que ma mort… Et maintenant, voici que tu sais tout. Maintenant,
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
2 iellement. À vrai dire, ils amusent plus qu’ils n’ angoissent . D’ailleurs, l’idée d’un naufrage commun ou d’une explosion unanime n
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
3 iellement. À vrai dire, ils amusent plus qu’ils n’ angoissent . D’ailleurs l’idée d’un naufrage commun ou d’une explosion unanime no
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
4 iellement. À vrai dire, ils amusent plus qu’ils n’ angoissent . D’ailleurs l’idée d’un naufrage commun ou d’une explosion unanime no
5 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
5 contradictions. Cette prodigieuse diversité peut angoisser . Mais elle est d’autre part la condition de nos libertés, et de l’esp
6 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
6 contradictions. Cette prodigieuse diversité peut angoisser . Mais elle est d’autre part la condition de nos libertés et de l’espr
7 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
7 tent l’esprit non moins qu’elles ne l’excitent, l’ angoissent autant qu’elles le comblent. Une telle passion de liberté — d’ailleur
8 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
8 Europe à sa surface physique était bien fait pour angoisser , dans un monde où nous venions « étourdiment » de « rendre les forces