1 « J’ai pris la nature sur le fait. » Vertige de l’ animalité . 17 avril Ça n’a pas encore cessé chez les chiens. Cette nuit, les cr

2 « J’ai pris la nature sur le fait. » Vertige de l’ animalité . 17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les chiens. Cette n

3 n lui que le feu naturel du désir, — une espèce d’ animalité véhémente, et comme innocente… Mais jamais la Nature n’a rien produit

4 « J’ai pris la nature sur le fait. » Vertige de l’ animalité . 17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les chiens. Cette n

5 en lui que le feu naturel du désir, une espèce d’ animalité véhémente, et comme innocente… Mais jamais la Nature n’a rien produit

6 ression, leur naïveté inquiétante et opaque, leur animalité totalement possédée par le rythme léger des instruments, et ces coups

7 ique). N’importe qui peut imaginer ces éléments d’ animalité . C’est une plus grande entreprise qui me tente : fixer une fois pour

8 aux. La vie sexuelle semblait réduite à l’obscure animalité . Le mariage ne posait que des problèmes d’héritages et de consanguini

9 aux. La vie sexuelle semblait réduite à l’obscure animalité . Le mariage ne posait que des problèmes d’héritages et de consanguini

10 ique). N’importe qui peut imaginer ces éléments d’ animalité . C’est une plus grande entreprise qui me tente : fixer une fois pour

11 en lui que le feu naturel du désir, une espèce d’ animalité véhémente, et comme innocente… Mais jamais la Nature n’a rien produit