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e. « L’homme ne saura jamais assez combien il est
anthropomorphe
», dit Goethe. Il faudrait dire aussi, à la suite de Paracelse : l’ho
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tiellement synthétique du mythe. Tout, ici, est «
anthropomorphe
», et tout doit l’être, en fin de compte, par cette raison fondamenta
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tiellement synthétique du mythe. Tout, ici, est «
anthropomorphe
», et tout doit l’être, en fin de compte, par cette raison fondamenta
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e personne, cette notion théomorphe de l’homme et
anthropomorphe
de Dieu. Voilà pour l’origine, « technique » en quelque sorte, de la
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e personne, cette notion théomorphe de l’homme et
anthropomorphe
de Dieu. Voilà pour l’origine, « technique » en quelque sorte, de la