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t protesté que ce débat était antipatriotique, ou
anticommuniste
, que sais-je. On m’écrit cela de Paris et l’on ajoute que je ferais b
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t protesté que ce débat était antipatriotique, ou
anticommuniste
, je ne sais plus. On m’écrit cela de Paris et l’on ajoute que je fera
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t protesté que ce débat était antipatriotique, ou
anticommuniste
, je ne sais plus. On m’écrit cela de Paris et l’on ajoute que je fera
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de cette situation en partie renouvelée, pour les
anticommunistes
d’abord, puis pour les partisans de l’URSS, enfin pour les PC eux-mêm
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l’URSS, enfin pour les PC eux-mêmes. II. Les
anticommunistes
à l’épreuve Depuis bien des années, l’adjectif anticommuniste repr
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à l’épreuve Depuis bien des années, l’adjectif
anticommuniste
représente une sorte d’injure dans la bouche d’une bonne partie de l’
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dans les termes les plus simples. Qu’est-ce qu’un
anticommuniste
militant ? C’est un homme qui s’oppose à toutes les tyrannies quel qu
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autres, « objectivement » parlant. Pour peu que l’
anticommuniste
montre une certaine persévérance ou vigilance dans sa critique, il se
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que, il se verra bientôt stigmatisé sous le nom d’
anticommuniste
systématique. C’est mon cas et je m’en explique. Je fus aussi, et au
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du mouvement de l’Histoire ! D’où l’on voit qu’un
anticommuniste
qui se veut « non systématique » n’est finalement qu’un anticommunist
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veut « non systématique » n’est finalement qu’un
anticommuniste
inconséquent ou, pour mieux dire, incohérent. On conçoit qu’il préfèr
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s un dernier trait à la description formelle de l’
anticommuniste
authentique, donc systématique. On lui reproche de « n’être qu’un ant
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s contre, il faut bien qu’il soit payé pour…50 L’
anticommuniste
, en revanche, n’est pas tenu de croire que les hommes qui l’attaquent
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u, pour si peu. N’étant pas marxiste-léniniste, l’
anticommuniste
systématique estime qu’un homme peut se tromper sans être à cela maté
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temps d’en venir au contenu concret de l’attitude
anticommuniste
. Que disions-nous, en somme, depuis quelque dix ans ? Nous affirmions
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t les siens, pour l’essentiel, donnent raison aux
anticommunistes
. Sur le point 9, voir les révélations précises, ou confessions, de Pi
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de leurs revenus »51. Réponse : En ma qualité d’
anticommuniste
beaucoup moins distingué, sans doute, que M. Fejtö, et beaucoup moins
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ou Aron ? Non, bien sûr, vous n’y pensez pas. Les
anticommunistes
vulgaires seraient-ils donc ceux qui n’ont pas de nom ? Il faut pourt
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nt : où serait, sans eux, la bonne conscience des
anticommunistes
« distingués » ? Je croyais, naïvement, que le rapport K. devait, en
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ö estime que la « déstalinisation » va priver les
anticommunistes
« vulgaires » de ce qui « constitue la base de leurs convictions et s
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C’est sans doute pour cette raison » que lesdits
anticommunistes
tentent de minimiser la réalité des changements survenus en URSS. On
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n que fussent également condamnées les menées des
anticommunistes
— responsables sans doute de la guerre froide. C’était pour se déclar
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quelle Sartre avait pourtant donné raison. Et les
anticommunistes
ont doublement tort, car bien que l’histoire leur donne raison d’avoi
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et c’est tout. Or, si nous nous trouvions être «
anticommunistes
», c’est-à-dire définis comme tels non par nous mais par leur manie s
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t se voit accusé de neutralisme par les bourgeois
anticommunistes
. Zwinglien par sa méfiance à l’égard des rites et de toute religion s
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t se voit accusé de neutralisme par les bourgeois
anticommunistes
. Zwinglien par sa méfiance à l’égard des rites et de toute religion s
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oclame à la fois anticapitaliste, antifasciste et
anticommuniste
. Elle oppose la personne à l’individu atomisé, la communauté au colle
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u libéralisme. Nous étions donc anticapitalistes,
anticommunistes
et antifascistes parce que nous pensions que ces trois systèmes, par
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janvier 1957, où en 119 pages Sartre attaque les
anticommunistes
, moi le premier, qui ont condamné l’écrasement de la révolution de Bu