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ait bien pleurer, et qui recommence à gratter son
ardoise
où sèchent des traînées de craie grise, où les chiffres trop gros s’e
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ait bien pleurer, et qui recommence à gratter son
ardoise
où sèchent des traînées de craie grise, où les chiffres trop gros s’e
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la grand-rue : comme elle est vide ! Les toits d’
ardoises
ne dépassent pas les façades nues, brunies par l’âge, palmées par les
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la grand-rue : comme elle est vide ! Les toits d’
ardoises
ne dépassent pas les façades nues, brunies par l’âge, patinées par le
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la grand-rue : comme elle est vide ! Les toits d’
ardoise
ne dépassent pas les façades nues, brunies par l’âge, patinées par le
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s de mon enfance : cheminée à la bretonne, toit d’
ardoise
, grosses pierres grises, sur un tertre entouré d’un ruisseau, piqué d
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la grand-rue : comme elle est vide ! Les toits d’
ardoise
ne dépassent pas les façades nues, brunies par l’âge, patinées par le
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s de mon enfance : cheminée à la bretonne, toit d’
ardoise
, grosses pierres grises, sur une petite colline entourée d’un ruissea
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’arbres chevelus cachent les rives, et la piste d’
ardoise
aux lignes jaunes écarte largement les forêts basses et denses aux co
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de bâtiments de bois blanc à un étage et toits d’
ardoises
. Dans l’escalier de la maison de brique une toile de quatre mètres de
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bord d’un village aux maisons blanches et toits d’
ardoises
: Soglio, altitude 1090 m. Engagez-vous dans les rues très étroites.