1
rès du port, la promenade est déserte et mon cœur
assoiffé
. Personne ne passe jamais, voilà la vie ! Mais si ce soir une femme v
2
, et le père de mauvais garçons68. Cette Histoire
assoiffée
d’insignifiances rassurantes ; cette Histoire invertie qui remonte le
3
, et le père de mauvais garçons70. Cette Histoire
assoiffée
d’insignifiances rassurantes ; cette Histoire invertie qui remonte le
4
imple et bon, quoique énergique, sorti du peuple,
assoiffé
de justice, restaurateur de la puissance allemande, et redresseur de
5
e à moi, ne me laissant que mon désir et mon cœur
assoiffé
! Et ces deux strophes d’Arnaut Daniel — un noble qui se fit jongleu
6
oi, ne me laissant rien que mon désir et mon cœur
assoiffé
. ») Au-delà même de cet état, Jean de la Croix connut la viduité tota
7
t-à-dire le libre examen de toutes choses. Il est
assoiffé
de gloire et de richesse, de sa propre gloire et de sa propre richess
8
e à moi, ne me laissant que mon désir et mon cœur
assoiffé
! Et ces deux strophes d’Arnaut Daniel — un noble qui se fit jongleu
9
oi, ne me laissant rien que mon désir et mon cœur
assoiffé
. ») Au-delà même de cet état, Jean de la Croix connut la viduité tota
10
e à moi, ne me laissant que mon désir et mon cœur
assoiffé
! Et ces deux strophes d’Arnaut Daniel — un noble qui se fit jongleu
11
oi, ne me laissant rien que mon désir et mon cœur
assoiffé
. ») Au-delà même de cet état, Jean de la Croix connut la viduité tota
12
t-à-dire le libre examen de toutes choses. Il est
assoiffé
de gloire et de richesse, de sa propre gloire, et de sa propre riches
13
t-à-dire le libre examen de toutes choses. Il est
assoiffé
de gloire et de richesse, de sa propre gloire, et de sa propre riches
14
frontière vers huit heures du matin, exténués et
assoiffés
. Et le petit jeu des douanes recommence. À midi, on nous ouvre enfin
15
frontière vers huit heures du matin, exténués et
assoiffés
. Et le petit jeu des douanes recommence. À midi, on nous ouvre enfin
16
es grandes eaux ne sont pas pour nos soifs, car l’
assoiffé
n’y trouve qu’un désert. C’est comme un feu. Mourir de soif dans l’ea
17
rès du port, la promenade est déserte et mon cœur
assoiffé
. Personne ne passe jamais, voilà la vie ! Mais si ce soir une femme v
18
rès du port, la promenade est déserte et mon cœur
assoiffé
. Personne ne passe jamais, voilà la vie ! Mais si ce soir une femme v
19
le-même, ne me laissant que mon désir et mon cœur
assoiffé
! Et voici la passion fatale et son narcissisme avoué : J’ai perdu s