1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ent comme une arrière-pensée sagace et obstinée l’ assurance d’une continuité entre ses actions et ses désirs, un quant-à-soi qui
2 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
2 ur vie garantît un 5 % régulier de plaisirs, avec assurance contre faillites morales et douleurs d’amour — ô vertige sans prix du
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
3 serling en disant qu’il oppose à l’idéal actuel d’ assurances à tous les degrés — idéal antispirituel, mécanique et « formidablemen
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
4 oint dans la pleine possession de ses forces et l’ assurance du regard. L’âme, purifiée de sa « vieille dépouille » par l’effort a
5 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
5 ni même la bonne volonté, vous serviront avec une assurance tempérée de douceur cette phrase type qui résume à leurs yeux la sage
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
6 orales, ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’ assurance dans le monde et contre Dieu —, seul l’Évangile est radicalement dang
7 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
7 dues à la réussite matérielle ou à des systèmes d’ assurances , le capitalisme comme le stalinisme, tous les nationalismes, et toute
8 ordres de l’esprit. Nous n’avons pas à prendre d’ assurances sur l’avenir. Nous n’avons pas à nous garantir à l’avance par un prog
8 1932, Le Paysan du Danube. Note
9 nd des jeunes auteurs qu’ils se présentent avec l’ assurance et l’optimisme pressant du commis voyageur. Mais alors, l’orgueil de
9 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
10 ît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’ assurance , comme une dérision désespérée. Malentendus sans cesse renaissant au
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
11 ît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’ assurance , comme une dérision désespérée. Malentendus sans cesse renaissant au
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
12 es qui se lèvent, l’esprit de risque est la seule assurance . Les valeurs de demain, s’il y en a, seront maintenues ou reposées pa
12 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
13 tionnaire, l’homme du risque opposé à l’homme des assurances . Car l’humanisme n’est, aux yeux de la foi, qu’une vaste entreprise d
14 exemples concrets. Un chrétien qui contracte une assurance sur la vie n’est plus un chrétien à cet instant et dans cet acte ; il
13 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
15 i. Ce n’est pas d’une méthode de correction, ou d’ assurances contre les paradoxes de l’existence. Ce que nous demandons à la philo
16 de pauvreté (pauvreté en esprit, absence de toute assurance extérieure, dénuement, vision absolument sobre et désillusionnée de l
17 matique consiste précisément à rejeter toutes les assurances humaines contre Dieu, tous les « rites » et toutes les « formules »,
14 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
18 eois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances . Pour nous, la liberté ne consistera jamais dans la suppression des o
15 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
19 vocation. Elle n’est personne, et tire de là son assurance dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser port
16 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
20 ait le fil du drame. D’où lui vient tout à coup l’ assurance que ce qu’il fait est dans son rôle ? Pour quelle raison sort-il du c
17 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
21 , peut devenir une idole, dès qu’elle cherche des assurances tout humaines, dès qu’elle devient une solution « possible », dès qu’
22 ordres de l’esprit. Nous n’avons pas à prendre d’ assurances sur l’avenir. Nous n’avons pas à nous garantir à l’avance par un prog
18 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
23 tionnaire, l’homme du risque opposé à l’homme des assurances . Car l’humanisme n’est, aux yeux de la foi, qu’une vaste entreprise d
24 exemples concrets. Un chrétien qui contracte une assurance sur la vie n’est pas plus un chrétien à cet instant et dans cet acte 
19 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
25 la vie chrétienne, le marxiste oppose son idéal d’ assurance matérielle. Il dit à l’ouvrier : « Viens avec nous, nous t’assurerons
20 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
26 eois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances . Pour nous, la liberté ne consistera jamais dans la suppression des o
21 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
27 anente, un ensemble de facilités matérielles, une assurance contre tous risques. On n’en peut rien dire de précis, sauf à tomber
28 ngt ans tombe sous la domination des compagnies d’ assurances étatisées, notre chance « personnaliste » reste entière. Ou plutôt el
22 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
29 , peut devenir une idole, dès qu’elle cherche des assurances tout humaines, dès qu’elle devient une solution « possible », dès qu’
30 ordres de l’esprit. Nous n’avons pas à prendre d’ assurances sur l’avenir. Nous n’avons pas à nous garantir à l’avance par un prog
23 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
31 d un sage, l’homme du risque opposé à l’homme des assurances . Car l’humanisme n’est, aux yeux de la foi, qu’une vaste entreprise d
32 exemples concrets. Un chrétien qui contracte une assurance sur la vie n’agit pas comme chrétien à cet instant et dans cet acte ;
24 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
33 la vie chrétienne, le marxiste oppose son idéal d’ assurance matérielle. Il dit à l’ouvrier : « Viens avec nous, nous t’assurerons
25 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
34 eois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances . Pour nous, la liberté ne consistera jamais dans la suppression des o
26 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
35 anente, un ensemble de facilités matérielles, une assurance contre tous risques. On n’en peut rien dire de précis, sauf à tomber
36 ngt ans tombe sous la domination des compagnies d’ assurances étatisées, notre chance « personnaliste »reste entière. Ou plutôt ell
27 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
37 et vis comme un chrétien : au jour le jour, sans assurances et sans préparation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’inqui
28 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
38 garantir, contre nos faiblesses humaines par une assurance humaine, la tradition ? Tout l’effort dogmatique des conciles se fond
39 dogmatique des conciles consiste à accumuler des assurances contre tous les « dangers », possibles, qui se ramènent au seul dange
29 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
40 Il lui faut les intermédiaires de la culture, les assurances d’une noblesse entérinée, tout un système délicat de conventions et d
41 s’il raille le confort de ses concitoyens, leurs assurances , leur hygiène proprette, leur idéal du bon écolier type, ce n’est jam
30 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
42 il travailla d’abord au service d’une compagnie d’ assurances générales, puis d’une compagnie d’assurances ouvrières. Le travail ma
43 ie d’assurances générales, puis d’une compagnie d’ assurances ouvrières. Le travail manuel l’attirait ; il s’essaya dans un atelier
31 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
44 mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui obéit. C’est lorsque la foi disparaît que le
32 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
45 cle. Mais il a revêtu aussitôt une ampleur et une assurance qui ont permis aux écrivains bourgeois d’exprimer sans aucun scrupule
33 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
46 répéter les « syllabes sacrées », définit la même assurance prise au nom de la raison sur l’avenir : « L’Ordre pour base, le Prog
47 On se rappelle que Condorcet fut l’inventeur des assurances sur la vie. 12. Le couple raison utilitaire — raison analytique est
34 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
48 sage d’une éthique de producteurs à une éthique d’ assurances . Il nous permet en second lieu d’apercevoir qu’une culture peut être
35 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
49 xcite au fond des provinces. b) Mais la notion d’ assurance matérielle nous révèle une attache plus intime encore, s’il se peut,
50 iétaires, grands ou petits, dans leur obsession d’ assurances , dans leur mystique de la richesse, dans leur recours à l’idée d’homm
51 ans le monde moyen que fabriquent les courtiers d’ assurances et leurs hérauts publicitaires, les dictateurs. Ironie, disions-nous 
36 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
52 une liberté de la pensée qui n’est au vrai qu’une assurance contre toute espèce de sanction. Il est clair que cette liberté-là, g
37 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
53 mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui obéit. C’est lorsque la foi disparaît que le
38 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
54 cle. Mais il a revêtu aussitôt une ampleur et une assurance qui ont permis aux écrivains bourgeois d’exprimer sans aucun scrupule
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
55 répéter les « syllabes sacrées », définit la même assurance prise au nom de la raison sur l’avenir : « L’Ordre pour base, le Prog
56 On se rappelle que Condorcet fut l’inventeur des assurances sur la vie. 13. Le couple raison utilitaire-raison analytique est en
40 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
57 sage d’une éthique de producteurs à une éthique d’ assurances . Elle nous permet en second lieu d’apercevoir qu’une culture peut êtr
41 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
58 xcite au fond des provinces. b) Mais la notion d’ assurance matérielle nous révèle une attache plus intime encore, s’il se peut,
59 iétaires, grands ou petits, dans leur obsession d’ assurances , dans leur mystique de la richesse, dans leur recours à l’idée d’homm
60 ans le monde moyen que fabriquent les courtiers d’ assurances et leurs hérauts publicitaires, les dictateurs. Ironie, disions-nous 
42 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
61 une liberté de la pensée qui n’est au vrai qu’une assurance contre toute espèce de sanction. Il est clair que cette liberté-là, g
43 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
62 en fait. Je vois tous les espoirs et toutes les «  assurances  » de cette population balayée périodiquement par la faillite des entr
63 la parlotte. Tout de suite, c’est la question des assurances qu’il aborde avec autorité, tout en tenant son doigt blessé droit en
64 air, dans une attitude doctorale. La question des assurances est une question complexe, comme toutes les questions capitales. Les
65 oigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’ assurances — et analogues — avec lesquelles il est en compte. Je dis compagnies
66 lesquelles il est en compte. Je dis compagnies d’ assurances , mais lui les nomme plus couramment « ces cochons-là ». Ces cochons-l
67 par jour ». Pour se venger, il leur a retiré son assurance à lui, et l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurance
68 l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurances sociales, vie, décès, « avec doublage », vieillesse, accidents du tra
69 . Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence. L’organisation lutte
44 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
70 e genre de pseudo-explications, édictées avec une assurance doctorale, me paraissant prêcher par un je ne sais quoi qui rappelle
45 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
71 de la décrocher un peu pour toucher davantage à l’ assurance  !) Il a bien fallu se rendre à l’évidence : ce sommier implacable res
46 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
72 en fait. Je vois tous les espoirs et toutes les «  assurances  » de cette population balayés périodiquement par la faillite des entr
73 iers triomphent (grâce à l’École et à l’appât des Assurances ), la France est perdue. Elle sera colonisée. Mais si l’état d’esprit
74 la parlote. Tout de suite, c’est la question des assurances qu’il aborde avec autorité tout en tenant son doigt blessé droit en l
75 air, dans une attitude doctorale. La question des assurances est une question complexe, comme toutes les questions capitales. Les
76 oigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’ assurances — et analogues — avec lesquelles il est en comptes. Je dis compagnies
77 lesquelles il est en comptes. Je dis compagnies d’ assurances , mais lui les nomme plus couramment « ces cochons-là ». Ces cochons-l
78 par jour ». Pour se venger, il leur a retiré son assurance à lui, et l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurance
79 l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurances sociales, vie, décès, « avec doublage », vieillesse, accidents du tra
80 7. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence. L’organisation lutte
47 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
81 … Un ouvrier au pantalon trop court traverse sans assurance l’avenue où cinglent violemment de belles autos. Un long bruit de fer
48 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
82 se. En vertu de cette « élection » dont ils ont l’ assurance d’être l’objet, par une grâce périlleuse, et dans la foi, les calvini
49 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
83 de la décrocher un peu pour toucher davantage à l’ assurance  !) Il a bien fallu se rendre à l’évidence : ce sommier implacable res
50 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
84 urs, où il ne sait comment agir, et il y perd son assurance . Représentons-nous cela : deux hommes se battent. Ils sont apparemmen
51 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
85 mes manœuvres simultanées de bluffe guerrier et d’ assurances pacifiques, même duplicité dans le détail des négociations, mêmes ten
52 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
86 la guerre) doit résulter un sentiment de manque d’ assurance nationale. La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a subi la « 
53 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
87 va de Voltaire à Freud) conclut avec une bizarre assurance , et sur la foi du seul langage, que tout cela relève d’une déviation
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
88 va de Voltaire à Freud) conclut avec une bizarre assurance , et sur la foi du seul langage, que tout cela relève d’une déviation
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
89 . Nulle autre non plus n’a tenté avec cette naïve assurance l’entreprise périlleuse de faire coïncider le mariage et « l’amour »
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
90 va de Voltaire à Freud) conclut avec une bizarre assurance , et sur la foi du seul langage, que tout cela relève d’une déviation
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
91 . Nulle autre non plus n’a tenté avec cette naïve assurance l’entreprise périlleuse de faire coïncider le mariage et « l’amour »
58 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
92 autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une assurance prise sur le Saint-Esprit autant que sur le doute. (Il cite ce mot d’
59 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
93 se raccrocher, que faire encore ? Quelle était l’ assurance d’éternité qui permettait à Athanase de dire : c’est un petit nuage,
60 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
94 se raccrocher, que faire encore ? Quelle était l’ assurance d’éternité qui permettait à Athanase de dire : c’est un petit nuage,
61 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
95 non à son doute, avec la tranquille et familière assurance de la foi. Car la conviction seule est convaincante. Tout ceci ne veu
62 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
96 iel de l’existence (logement, vêtement, mobilier, assurances ) absorbe plus de la moitié des ressources, proportion réellement exor
63 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VIII. La Ligue du Gothard vue par la presse
97 s, par les groupes d’Oxford, par les compagnies d’ assurance , etc. Ces messieurs de certaines rédactions n’imaginent pas qu’un mou
64 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
98 iel de l’existence (logement, vêtement, mobilier, assurances ) absorbe plus de la moitié des ressources, proportion réellement exor
65 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
99 angereux pour vos âmes. Ah, j’aimerais tant votre assurance , si seulement ses bases étaient sûres ! Je ne vais pas prêcher une mo
100 r vocation. Elle n’est personne et tire de là son assurance dans le crime. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la
101 vons-nous cru, pour montrer tout d’un coup tant d’ assurance  ? Se faire tuer pour la liberté d’avoir ses propres opinions, c’est m
66 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
102 conforme aux prévisions des grandes compagnies d’ assurances . Quelle fête immense faudra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier s
67 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
103 eptionnelles) ; soit dans la vie professionnelle ( assurances ) ; soit dans l’éducation de la jeunesse ; soit dans la médecine ; soi
104 a mort. J’imagine volontiers le diable en agent d’ assurances générales. Il comprend tout et il a tout prévu. Il connaît l’homme da
68 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
105 angereux pour vos âmes. Ah, j’aimerais tant votre assurance , si seulement ses bases étaient sûres ! Je ne vais pas prêcher une mo
106 r vocation. Elle n’est personne et tire de là son assurance dans le crime. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la m
107 vons-nous cru, pour montrer tout d’un coup tant d’ assurance  ? Se faire tuer pour la liberté d’avoir ses propres opinions, c’est m
69 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
108 conforme aux prévisions des grandes compagnies d’ assurances . Quelle fête immense faudra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier s
70 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
109 eptionnelles) ; soit dans la vie professionnelle ( assurances ) ; soit dans l’éducation de la jeunesse ; soit dans la médecine ; soi
110 a mort. J’imagine volontiers le diable en agent d’ assurances générales. Il comprend tout et il a tout prévu. Il connaît l’homme da
71 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
111 angereux pour vos âmes. Ah, j’aimerais tant votre assurance , si seulement ses bases étaient sûres ! Je ne vais pas prêcher une mo
112 r vocation. Elle n’est personne et tire de là son assurance dans le crime. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la
113 vons-nous cru, pour montrer tout d’un coup tant d’ assurance  ? Se faire tuer pour la liberté d’avoir ses propres opinions, c’est m
72 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
114 r vocation. Elle n’est personne et tire de là son assurance dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la
73 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
115 conforme aux prévisions des grandes compagnies d’ assurances . (Quelle fête immense faudrait-il à ce siècle pour lui faire oublier
74 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
116 oint dans la pleine possession de ses forces et l’ assurance du regard. L’âme, purifiée de sa « vieille dépouille » par l’effort a
75 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
117 et vis comme un chrétien : au jour le jour, sans assurances et sans préparation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’inqui
118 r vocation. Elle n’est personne et tire de là son assurance dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser port
76 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
119 il travailla d’abord au service d’une compagnie d’ assurances générales, puis d’une compagnie d’assurances ouvrières. Il s’essaya a
120 ie d’assurances générales, puis d’une compagnie d’ assurances ouvrières. Il s’essaya aussi dans un atelier de menuiserie, et fit un
121 a foi survenait dans sa vie, elle lui donnerait l’ assurance du pardon. Alors, ce sens obscur d’une culpabilité pourrait devenir c
77 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
122 autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une assurance prise sur le Saint-Esprit au moins autant que sur le doute. (Il cite
78 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
123 Il lui faut les intermédiaires de la culture, les assurances d’une noble origine, un système délicat de conventions et de prudence
124 s’il raille le confort de ses concitoyens, leurs assurances , leur hygiène proprette, leur idéal du bon-écolier-type, ce n’est jam
79 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
125 a guerre), doit résulter un sentiment de manque d’ assurance nationale. La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a subi la « 
80 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Une bureaucratie sans ronds-de-cuir (23 mai 1946)
126 st le seul pays décent au monde, et qu’un agent d’ assurances du Connecticut affirme qu’elle jouit d’un gouvernement pratiquement i
127 des paperasses, aux frais de l’État qui payera l’ assurance . Et c’est la sagesse politique, au siècle du collectivisme. f. « U
81 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
128 créateur, le moins de chances. Un vaste système d’ assurances s’étend sur toutes nos activités : plans et pactes, statistiques de l
129 n du temps, la Fin du Monde. Car il se peut que l’ assurance mondiale que nous tentons d’organiser, aménage notre ruine collective
130 , — et très peu d’entre eux possédaient la pleine assurance de l’être. L’Institut de l’opinion planétaire publia les premiers rés
82 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
131 nt voulu transformer la foi à l’Una Sancta en une assurance visible et restrictive de l’unité (d’organisation ou de doctrine), c’
83 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
132 us serez confus dans votre gaspillage et dans vos assurances , comme des enfants qui ont eu le droit de briser leurs jouets pour év
84 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
133 es qui se lèvent, l’esprit de risque est la seule assurance . Les valeurs de demain, s’il y en a, seront maintenues ou reposées pa
85 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
134 développai cette théorie aventureuse avec plus d’ assurance que jamais, la Bombe autorisant toutes les hardiesses. Les médecins a
86 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
135 conforme aux prévisions des grandes compagnies d’ assurances . Quelle fête immense faudra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier s
87 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
136 développai cette théorie aventureuse avec plus d’ assurance que jamais, la Bombe autorisant toutes les hardiesses. Les médecins a
88 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
137 conforme aux prévisions des grandes compagnies d’ assurances . Quelle fête immense faudra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
138 en fait. Je vois tous les espoirs et toutes les «  assurances  » de cette population balayés périodiquement par la faillite des entr
139 iers triomphent (grâce à l’École et à l’appât des Assurances ), la France est perdue. Elle sera colonisée. Mais si l’état d’esprit
140 la parlote. Tout de suite, c’est la question des assurances qu’il aborde avec autorité tout en tenant son doigt blessé droit en l
141 air, dans une attitude doctorale. La question des assurances est une question complexe, comme toutes les questions capitales. Les
142 oigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’ assurances — et analogues — avec lesquelles il est en comptes. Je dis compagnies
143 lesquelles il est en comptes. Je dis compagnies d’ assurances , mais lui les nomme plus couramment ces « cochons-là ». Ces cochons-l
144 par jour ». Pour se venger, il leur a retiré son assurance à lui, et l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurance
145 l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurances sociales, vie, décès, « avec doublage », vieillesse, accidents du tra
146 0. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence. L’organisation lutte
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
147 … Un ouvrier au pantalon trop court traverse sans assurance l’avenue où cinglent violemment de belles autos. Un long bruit de fer
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
148 us serez confus dans votre gaspillage et dans vos assurances , comme des enfants qui ont eu le droit de briser leurs jouets pour év
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
149 es qui se lèvent, l’esprit de risque est la seule assurance . Les valeurs de demain, s’il y en a, seront maintenues ou reposées pa
93 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
150 ement. « Payez, messieurs, et veuillez agréer les assurances de notre ingratitude anticipée. » C’est ce qu’il me semble entendre u
94 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
151 nt à l’instant où un homme se voit privé de toute assurance exemplaire, jeté dans un destin sans précédent, auquel il faillirait
95 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
152 créateur, le moins de chances. Un vaste système d’ assurances s’étend sur toutes nos activités : plans et pactes, statistiques de l
153 n du temps, la Fin du Monde. Car il se peut que l’ assurance mondiale que nous tentons d’organiser, aménage notre ruine collective
154 re, et très peu d’entre eux possédaient la pleine assurance de l’être. L’Institut de l’opinion planétaire publia les premiers rés
96 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
155 eul pays décent au monde, et tandis qu’un agent d’ assurances du Connecticut affirme qu’elle jouit d’un gouvernement pratiquement i
156 des paperasses, aux frais de l’État qui paiera l’ assurance . Et c’est la sagesse politique, au siècle du collectivisme. Impéri
97 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
157 dire qu’il a généralement autant de talent que d’ assurance . Mais il ne s’agit pas d’un talent littéraire. On ne lui demande ni s
98 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
158 un dentiste, un compte en banque et une police d’ assurance . Vous serez alors à toute épreuve, et respectée. 14.Comment on y d
99 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
159 ur libre et secteur dirigé, ou encore : risque et assurance . Partout, dans tous les plans, la formule est la même. Qu’il s’agisse
100 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
160 ur libre et secteur dirigé, ou encore : risque et assurance . Partout, dans tous les plans, la formule est la même. Qu’il s’agisse