1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 qui ne doit pas être tombera de soi-même. Ainsi l’ athlète à l’entraînement ne s’épuise-t-il pas à combattre certaines faiblesse
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
2 moignage pour notre exaltation ? Comme la vue des athlètes en action, un tel livre communique une puissance physique, un mouveme
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
3 nvolture. Elle est tonique comme le spectacle des athlètes . Et c’est elle avant tout que j’admire dans ces Bestiaires, presque m
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 poids de la pierre, plus que celui du corps de l’ athlète  ; l’œuvre n’atteignait pas encore pleinement sa vie propre. Depuis, L
5 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
5 les effets de l’acte. Si, au moment de sauter, l’ athlète essaie de définir le saut, il ne sautera pas. Tous ceux qui ont prati
6 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
6 s le rapport qui existe entre la performance de l’ athlète et le pays d’où il vient. Certains tirent des parallèles entre les JO