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que je le décris. Mais comme un écho profond, une
attirance
aussi d’anciennes folies… Combat, oscillations silencieuses dans ma d
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nte, comme tout vertige, ne cache pas une secrète
attirance
, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on toucher
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nte, comme tout vertige, ne cache pas une secrète
attirance
, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on toucher
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nte, comme tout vertige, ne cache pas une secrète
attirance
, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on toucher
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est toujours ambigu : l’horreur toujours liée à l’
attirance
. En discutant Hitler, je le profane. C’est beaucoup plus dangereux po
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ts leur silence, fascination de l’horreur sacrée,
attirance
de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la possession a fait un
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est toujours ambigu, l’horreur toujours liée à l’
attirance
. En discutant Hitler, je le profane. C’est beaucoup plus dangereux po
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ts leur silence, fascination de l’horreur sacrée,
attirance
de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la possession a fait u
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lequel on aura remarqué que j’éprouve une secrète
attirance
. Perdu dans la foule anonyme, je suivais les « interventions » très s
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re ce qu’il appelle la sinistrose, c’est-à-dire l’
attirance
morbide, qu’il attribue à la gauche, pour les désastres et les apocal
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ce qu’il nomme la « sinistrose », c’est-à-dire l’
attirance
morbide, qu’il attribue à la gauche, pour les désastres et les Apocal