1 lerville, Janson et Brémond ont su arracher leurs auditeurs de leur lit de préjugés pour les placer véritablement en face de la «

2 n tableau qu’il suppose présent à l’esprit de ses auditeurs . Il termine en citant le jugement d’Albert Sorel, selon qui la date d

3 nesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs . — Vous êtes, me dit-on, un amateur de troubles distingués. Peu de se

4 nesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs . — Vous êtes, me dit-on, un amateur de troubles distingués. Peu de se

5 nesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs . — Vous êtes, me dit-on, un amateur de troubles distingués. Peu de se

6 justement le principe de notre inquiétude. « Nos auditeurs attendent de nous que nous les comprenions mieux qu’ils ne se compren

7 ent dans une apologétique naturaliste, dont peu d’ auditeurs soupçonnent qu’elle n’est, au mieux, que le dernier relent, l’écho in

8 quer le scandale chez la très grande majorité des auditeurs . Nous ne lapidons plus les prophètes : nous savons respecter leur tal

9 avec celui de Kierkegaard. Barth s’adresse à des auditeurs chrétiens, à des hommes qui se posent sérieusement la question : en q

10 essément, s’il est éprouvé par l’orateur et par l’ auditeur comme une nécessité de notre nature, leur sens de prédication. Par le

11 doute encore trop dire. Racine avait un millier d’ auditeurs  ; Valéry, Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de lecteurs d

12 exemplaires et la radio atteignent des millions d’ auditeurs . Dans cette disproportion impressionnante entre l’aire de la vraie cu

13 s quoi de bouleversant, obscurément, qui saisit l’ auditeur le plus profane de Tête d’Or ou de l’Annonce. Ce serait aggraver d’un

14 doute encore trop dire. Racine avait un millier d’ auditeurs  ; Valéry, Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de lecteurs d

15 00 exemplaires et la radio atteint des millions d’ auditeurs . Dans cette disproportion impressionnante entre l’aire de la vraie cu

16 doute encore trop dire. Racine avait un millier d’ auditeurs  ; Valéry, Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de lecteurs d

17 00 exemplaires et la radio atteint des millions d’ auditeurs . Dans cette disproportion impressionnante entre l’aire de la vraie cu

18 cercles, où l’on se trouve soi-même à portée de l’ auditeur , où l’on se voit naturellement contraint, ne fût-ce que par la proxim

19 t son pardessus ou qu’on rassemble ses papiers. L’ auditeur a eu le temps de se familiariser avec l’orateur, dont il connaissait

20 jugement du clerc en chambre. Le lecteur réel, l’ auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’imagine quand on

21 es sur la scène surélevée. Environ une centaine d’ auditeurs  : paysans et pêcheurs, cela se voit. Au premier rang, deux « dames »,

22 as été plus longue : il y avait pourtant bien des auditeurs qui ne devaient pas être d’accord ? « Ben quoi, fait-il, convaincu, c

23 discuter ! Mais je n’ai pas remarqué qu’aucun des auditeurs ait pris la chose de cette manière. Je sais bien qu’il y a la difficu

24 lle des cours ruraux peut contenir une centaine d’ auditeurs . L’orateur doit se tenir debout au milieu d’eux, de manière à pouvoir

25 aits que je venais d’exposer, afin de voir si mes auditeurs étaient de la même espèce que ceux de l’île : cette série de question

26 ris, n° 58, juillet 1937, p. 616-618. Signé : « L’ auditeur de service ».

27 es sur la scène surélevée. Environ une centaine d’ auditeurs  : paysans et pêcheurs, cela se voit. Au premier rang, deux « dames »,

28 as été plus longue : il y avait pourtant bien des auditeurs qui ne devaient pas être d’accord ? — Ben quoi, fait-il convaincu, c’

29 discuter ! Mais je n’ai pas remarqué qu’aucun des auditeurs ait pris la chose de cette manière. Je sais bien qu’il y a la difficu

30 lle des cours ruraux peut contenir une centaine d’ auditeurs . L’orateur doit se tenir debout au milieu d’eux, de manière à pouvoir

31 aits que je venais d’exposer, afin de voir si mes auditeurs étaient de la même espèce que ceux de l’île : cette série de question

32 cercles, où l’on se trouve soi-même à portée de l’ auditeur , où l’on se voit naturellement contraint, ne fût-ce que par la proxim

33 t son pardessus ou qu’on rassemble ses papiers. L’ auditeur a eu le temps de se familiariser avec l’orateur, dont il connaissait

34 jugement du clerc en chambre. Le lecteur réel, l’ auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’imagine quand on

35 campagnards venus à pied, il y aura un million d’ auditeurs immédiats. Quelques femmes s’évanouissent, on les emporte, et cela fa

36 campagnards venus à pied, il y aura un million d’ auditeurs immédiats. Je suis venu avec l’idée d’écouter aussi la foule. Je me t

37 soir, le pasteur Niemöller parle ici à cinq-mille auditeurs réunis dans les deux plus grands temples. Commandant de sous-marin pe

38 ction, et les effets qu’elle devait exercer sur l’ auditeur , dépendent dans une certaine mesure (que nous aurons à préciser) d’un

39 elle n’aurait pas pu s’imposer sans conteste aux auditeurs . Il faut bien voir que ces « cérémonies » sociales sont des moyens de

40 la passion que le romancier désire flatter chez l’ auditeur paraît, d’ordinaire, plus débile. Il y a peu de chance qu’elle soit j

41 pliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’ auditeur et de lui poser une énigme » ? On peut penser que les troubadours éta

42 aisances bien explicables envers le goût de leurs auditeurs , moins policés que ceux du Midi. Le caractère distinctif du Roman est

43 ction, et les effets qu’elle devait exercer sur l’ auditeur , dépendent dans une certaine mesure (que nous aurons à préciser) d’un

44 elle n’aurait pas pu s’imposer sans conteste aux auditeurs . Il faut bien voir que ces « cérémonies » sociales sont des moyens de

45 la passion que le romancier désire flatter chez l’ auditeur paraît, d’ordinaire, plus débile. Il y a peu de chance qu’elle soit j

46 pliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’ auditeur et de lui poser une énigme » ? On peut penser que les troubadours éta

47 aisances bien explicables envers le goût de leurs auditeurs , moins policés que ceux du Midi. Le caractère distinctif du Roman est

48 ction, et les effets qu’elle devait exercer sur l’ auditeur , dépendent dans une certaine mesure (que nous aurons à préciser) d’un

49 elle n’aurait pas pu s’imposer sans conteste aux auditeurs . Il faut bien voir que ces « cérémonies » sociales sont des moyens de

50 la passion que le romancier désire flatter chez l’ auditeur paraît, d’ordinaire, plus débile. Il y a peu de chance qu’elle soit j

51 pliquerait-elle par une « intention d’intriguer l’ auditeur et de lui poser une énigme » ? On peut penser que les troubadours éta

52 aisances bien explicables envers le goût de leurs auditeurs , moins policés que ceux du Midi. Le caractère distinctif du Roman est

53 t un fait que le ton des sermons, le maintien des auditeurs et l’atmosphère en général y sont bien plus bourgeois que populaires.

54 appelle le ton de la chaire et qui produit sur l’ auditeur occasionnel de nos sermons une impression fâcheuse de démodé, d’inact

55 ter, à prévenir des objections que la plupart des auditeurs n’auraient pas eu l’idée de faire. Comme laïque, je ne demande pas qu

56 variable ; de plus, elle doit être prévue par les auditeurs , et pleinement significative en chacune de ses parties. Elle doit for

57 mmenter l’activité de leur département devant les auditeurs de la radio : voilà le problème qui se pose, voilà ce que nous avons

58 débitée à tant la seconde, qu’il y ait ou non des auditeurs , qu’il y ait ou non des choses à dire. Temps où les mots s’usaient pl

59 débitée à tant la seconde, qu’il y ait ou non des auditeurs , qu’il y ait ou non des choses à dire. Temps où les mots s’usaient pl

60 débitée à tant la seconde, qu’il y ait ou non des auditeurs , qu’il y ait ou non des choses à dire. Temps où les mots s’usaient pl

61 ais quoi de bouleversant obscurément qui saisit l’ auditeur le plus profane de Tête d’or. Ce serait aggraver d’une sottise cette

62 té folle – par rapport à la vie réelle – tenait l’ auditeur en haleine ; son rythme était autorité. Les événements extraordinaire

63 Il y avait une fois… », il créait aussitôt chez l’ auditeur un état très particulier de réceptivité et de créance. On savait qu’u

64 nesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs . — Vous êtes, me dit-on, un amateur de troubles distingués. Peu de se

65 es sur la scène surélevée. Environ une centaine d’ auditeurs  : paysans et pêcheurs, cela se voit. Au premier rang, deux « dames »,

66 as été plus longue : il y avait pourtant bien des auditeurs qui ne devaient pas être d’accord ? « Ben quoi, fait-il convaincu, c’

67 discuter ! Mais je n’ai pas remarqué qu’aucun des auditeurs ait pris la chose de cette manière. Je sais bien qu’il y a la difficu

68 lle des cours ruraux peut contenir une centaine d’ auditeurs . L’orateur doit se tenir debout au milieu d’eux, de manière à pouvoir

69 aits que je venais d’exposer, afin de voir si mes auditeurs étaient de la même espèce que ceux de l’île : cette série de question

70 cercles, où l’on se trouve soi-même à portée de l’ auditeur , où l’on se voit naturellement contraint, ne fût-ce que par la proxim

71 t son pardessus ou qu’on rassemble ses papiers. L’ auditeur a eu le temps de se familiariser avec l’orateur, dont il connaissait

72 jugement du clerc en chambre. Le lecteur réel, l’ auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’imagine quand on

73 campagnards venus à pied, il y aura un million d’ auditeurs immédiats. Je suis venu avec l’idée d’écouter aussi la foule. Je me t

74 soir, le pasteur Niemöller parle ici à cinq-mille auditeurs réunis dans les deux plus grands temples. Commandant de sous-marin pe

75 La diversité de nos points de vue inquiéterait l’ auditeur plus qu’elle ne l’intéresserait. L’Américain moyen demande une soluti

76 mmenter l’activité de leur département devant les auditeurs de la radio : voilà le problème qui se pose, voilà ce que nous avons

77 La diversité de nos points de vue inquiéterait l’ auditeur plus qu’elle ne l’intéresserait. L’Américain moyen demande une soluti

78 , avec les masses immenses et formées au hasard d’ auditeurs de radio, de lecteurs de journaux, de spectateurs de films ou de télé

79 interviennent dans la discussion. Après quoi les auditeurs pourront prendre la parole. Le public pourra être admis dans les trib

80 t l’accord spontané du novateur et du plaisir des auditeurs . Cette chose qu’on nomme tout simplement le goût. ⁂ Comment remédier

81 emples, il s’agit maintenant de les présenter aux auditeurs d’un cours du soir, aux participants d’une enquête sur la mise en val

82 texte que voici : Attention ! attention ! chers auditeurs , vous allez entendre le manifeste de la Fédération des écrivains hong

83 ndent, mais il n’y a pas seulement les millions d’ auditeurs de la radio et de la TV, il y a tous les acheteurs de disques, tous c

84 examiné à part. (Ils pourraient être admis comme auditeurs , par exemple.) II. L’implantation du Centre devrait être étudiée en f

85 l’honneur de Cuba ne sont en cause. Mais bien les auditeurs , spectateurs et lecteurs qui tolèrent qu’on les traite ainsi, qui pai

86 ent maintenant connus et aimés par des milliers d’ auditeurs nouveaux. On a produit en France 12 millions de microsillons en 1954,

87 … Entre la portée universelle de sa musique et l’ auditeur soumis à l’influence dionysiaque, la tragédie introduit un symbole su

88 … Entre la portée universelle de sa musique et l’ auditeur soumis à l’influence dionysiaque, la Tragédie introduit un symbole su

89 eptes plus avisés surent arroser d’eau froide les auditeurs déjà trop échauffés. Ces adeptes étaient sans cesse occupés à nettoye

90 e voulaient qu’être clairs et convaincants pour l’ auditeur d’alors. À la rhétorique éloquente, — maniériste à la Michel-Ange ou

91 es : provoquent chez les spectateurs, lecteurs ou auditeurs une impression de libération, rendent une vérité sensible, manifesten

92 il alors, du côté du spectateur, du lecteur, de l’ auditeur  ? Il se passe que l’expression peut voiler ce qui est exprimé, tout e

93 res — ont pu débiter comme mensonges à cinq-mille auditeurs . » (Écœuré, il ira jouer au casino de Saxon, en Valais, et quittera G

94 t l’accord spontané du novateur et du plaisir des auditeurs . Cette chose qu’on nomme tout simplement le goût. Comment remédier à

95 l’Europe pour la joie de centaines de milliers d’ auditeurs . Nous sommes ici au centre d’un prestigieux complot contre l’ennui et

96 éterminé au point d’intersection de l’attente des auditeurs et des soucis majeurs de celui qui leur parle. Or quels sont mes souc

97 ans tout le canton de Genève). Naturellement, les auditeurs ont cru à une mise en scène, d’autant plus que j’ai continué à parler

98 l’Europe pour la joie de centaines de milliers d’ auditeurs . Nous sommes ici au centre d’un prestigieux complot contre l’ennui et

99 conscience des participants d’un séminaire ou des auditeurs d’un cours. Car penser, après tout, ce n‘est peut-être que cela : met

100 ut un excellent pédagogue, sachant passionner son auditeur dès les premières minutes d’une conversation. Il s’exprime avec une e

101 dent traitant de « L’amour et la guerre ». Si un auditeur avait pensé que c’était fasciste, il m’aurait attaqué ou aurait quitt