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ependant est né et dont on ne saurait prévoir les
avatars
. Tout cela, disons-le nettement, est d’une singulière incohérence. Et
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ut le centre même de l’œuvre, et non plus sur les
avatars
de sa présentation en France. Carl Koch reproche à Kierkegaard ce qu’
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vait gardé dans nos vies, au travers des nombreux
avatars
dont nous allons décrire la procession, une virulence intime, perpétu
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vait gardé dans nos vies, au travers des nombreux
avatars
dont nous allons décrire la procession, une virulence intime, perpétu
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, et dans les tablettes hindoues représentant les
avatars
de Vishnu. L’origine égyptienne du tarot est soutenue par Etteilla, d
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vait gardé dans nos vies, au travers des nombreux
avatars
dont nous allons décrire la procession, une virulence intime, perpétu
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econstruction, qui sera l’œuvre de Kalki, dernier
avatar
de Vishnu. En regard des ordres de grandeur, si prodigieusement diffé
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Histoire. Il s’agit d’un vrai fait, non plus d’un
avatar
ni de l’épiphanie d’un archétype. Cette rupture du Cercle cosmique li
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les Juifs, ce désordre aux yeux des Romains, cet
avatar
de plus aux yeux des Orientaux, allait pourtant sauver l’héritage de
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st le Verbe entré par la chair dans l’Histoire. L’
avatar
hindouiste, qui est la descente du dieu dans un corps d’animal ou d’h
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ien et commence à prédominer. Ainsi le temps de l’
avatar
hindou est celui du Mythe, non de l’Histoire. L’avatar se répète, il
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r hindou est celui du Mythe, non de l’Histoire. L’
avatar
se répète, il a lieu « chaque fois que… », il est cyclique, archétypa
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econstruction, qui sera l’œuvre de Kalki, dernier
avatar
de Vishnu. En regard des ordres de grandeur, si prodigieusement diffé
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Histoire. Il s’agit d’un vrai fait, non plus d’un
avatar
ni de l’épiphanie d’un archétype. Cette rupture du Cercle cosmique li
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adores ? L’empereur aztèque reçoit Cortés comme l’
avatar
du dieu Quetzalcoatl : c’est que ce dieu, selon la légende sacrée, av
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itions des dieux dans la théogonie hindoue, les «
avatars
». Tous les écrits des Apôtres insistent sur le fait que le Christ s’
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ons mystiques ou illuminations intérieures, des «
avatars
» ou métamorphoses successives, mais au contraire dans un corps d’hom
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ous Ponce Pilate ». Il ne s’agit donc plus d’un «
avatar
», du retour régulier d’un archétype, mais d’un événement historique,
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ifique de son action pour le reconnaître dans ses
avatars
les plus divers, mais cette expérience vécue ne prouve pas l’existenc