1 mensions humaines que celles du petit État de ses aïeux , aussi riche en coutumes fort sages qu’en préjugés invétérés. Il trou

2 ypes. Que sais-je d’eux, qui me regardent ? Cette aïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires, j’ai lu ses lettr

3 ucrèce d’Aubray, Dame de l’Aigle et du Lac… Cette aïeule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur la gorge opule

4 mensions humaines que celles du petit État de ses aïeux , aussi riche en coutumes fort sages qu’en préjugés invétérés. Il trou

5 ypes. Que sais-je d’eux, qui me regardent ? Cette aïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires, j’ai lu ses lettr

6 d’Aubray, Dame de l’Aigle et du Lac… Cette autre aïeule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur la gorge opule

7 . En tous trois je reconnais et vénère mes grands aïeux  »84. Une dernière fois, en 1956, Kassner revient sur ce débat inépuis

8 . En tous trois je reconnais et vénère mes grands aïeux .85 » Une dernière fois, en 1956, Kassner revient sur ce débat inépuis

9 siècle, laquelle eut pour mère la Réforme, pour aïeule le Renaissance, pour ancêtres toutes les Idées, orthodoxes et hétérod

10 haut, de Bonstetten) que le nombre théorique des aïeux différents fond comme neige au soleil, par le simple jeu des mariages

11 ps. Le tableau des origines géographiques de nos aïeux , tel que le dresse notre généalogiste — et je ne saurais trop l’en fé