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on. L’autre, avec l’ironie tranquille du bon sens
bafoué
et qui s’en moque, décrit la stupidité de l’enseignement tel qu’il es
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on. L’autre, avec l’ironie tranquille du bon sens
bafoué
et qui s’en moque, décrit la stupidité de l’enseignement tel qu’il es
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ien dans la cité : l’homme au service des hommes,
bafoué
, injurié, battu, exploité sans vergogne par tous les matamores et sou
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sère et l’humiliation, méconnu, déteste, insulté,
bafoué
— un homme qui est flagellé, torturé, traîné en prison, et puis enfin
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ères. Mais au-delà de l’optimisme humain toujours
bafoué
, au-delà du pessimisme lâche, il y a la foi dans l’éternel, il y a l’
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ères. Mais au-delà de l’optimisme humain toujours
bafoué
, au-delà du pessimisme lâche, il y a la foi dans l’éternel, y a l’amo
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n, homme méconnu, haï, détesté, insulté, outragé,
bafoué
; c’est un homme qui est flagellé, torturé, traîné de prison en priso
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n, homme méconnu, haï, détesté, insulté, outragé,
bafoué
; c’est un homme qui est flagellé, torturé, traîné de prison en priso
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péré, et qui restera vain, à l’empire condamné et
bafoué
. Les cinq siècles suivants verront se renforcer et se sacraliser de
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péré, et qui restera vain, à l’Empire condamné et
bafoué
. Les cinq siècles suivants verront se renforcer et se sacraliser de p
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péré, et qui restera vain, à l’Empire condamné et
bafoué
. Les cinq siècles suivants verront se renforcer et se sacraliser de p
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ou à respecter des communautés humaines qu’elles
bafouent
ouvertement aujourd’hui. Il y en aurait deux : le premier serait un p
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ettré mais milliardaire, peut se payer le luxe de
bafouer
. Tel est le tableau qu’offrent nos grands pouvoirs. Ils essaient de r
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nostalgie ou remords chrétien, à cause de l’amour
bafoué
dans les relations publiques et privées, mais qui s’exprime de préfér