1
larait que l’Europe n’a plus de choix qu’entre la
balkanisation
et l’helvétisation. Je suppose que Jaspers entendait par balkanisatio
2
lvétisation. Je suppose que Jaspers entendait par
balkanisation
la désintégration de l’Europe en nationalismes rivaux, et par helvéti
3
pe du xxe siècle n’a plus le choix « qu’entre la
balkanisation
et l’helvétisation ». La balkanisation signifierait pratiquement la d
4
u’entre la balkanisation et l’helvétisation ». La
balkanisation
signifierait pratiquement la désintégration du continent en nationali
5
larait que l’Europe n’a plus de choix qu’entre la
balkanisation
et l’helvétisation. Je suppose que Jaspers entendait par balkanisatio
6
lvétisation. Je suppose que Jaspers entendait par
balkanisation
la désintégration de l’Europe en nationalismes rivaux, et par helvéti
7
erdue. Or je crois qu’elle peut être sauvée d’une
balkanisation
presque fatale si elle accepte de s’helvétiser. Dans ce cas, la Suiss
8
e zone : créée par le compartimentage national ou
balkanisation
du continent. La solution est ici de rétablir un réseau européen d’éc
9
perdue. Or je vois qu’elle peut être sauvée d’une
balkanisation
sans gloire si elle accepte de s’helvétiser, j’entends bien : de se f
10
’avait plus le choix qu’entre deux solutions : la
balkanisation
et l’helvétisation. Ce diagnostic est, si possible, encore plus vrai
11
éels ou non de la formule régionale 1. — « La
balkanisation
de l’Europe. » Ce qui fait peur, c’est l’idée fausse que se font de l