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angoisse de Nicodème trouve sa résolution dans le
Baptême
. Et nous confirmons ce Baptême chaque fois que nous prenons la Cène,
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résolution dans le Baptême. Et nous confirmons ce
Baptême
chaque fois que nous prenons la Cène, communiant ainsi avec la mort e
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plutôt, les sentiments que nous éprouvons lors du
Baptême
et de la Cène n’ont aucune espèce d’importance. Dieu fait pour nous,
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pourquoi je pense qu’on ne doit pas s’opposer au
baptême
des enfants, c’est-à-dire de ceux qui ne peuvent rien encore… Ainsi d
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ncore… Ainsi donc, deux choses demeurent : Par le
Baptême
et la Communion dans la foi, tout est fait, — le salut est donné. Mai
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us avons alors à dire et à prêcher ce que sont ce
Baptême
et cette Cène. Certes, ces paroles nous condamnent dans la mesure où
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ement ». Mais elles n’en sont pas moins, comme le
Baptême
et comme la Cène, dans la mesure où la foi les anime, l’événement cen
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res, ne connaît qu’un seul « sacrement » c’est le
baptême
du Saint-Esprit consolateur, le baiser de paix ou consolamentum que d
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appelle une espèce de sacrement, qu’il compare au
Baptême
et au Mariage. (J. Huizinga : le Déclin du Moyen Âge, p. 78.) La con
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vénements tout spirituels. Ils rejettent aussi le
baptême
par l’eau, et ne reconnaissent que le baptême par l’Esprit consolateu
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le baptême par l’eau, et ne reconnaissent que le
baptême
par l’Esprit consolateur : ce consolamentum devient le rite majeur de
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vénements tout spirituels. Ils rejettent aussi le
baptême
par l’eau, et ne reconnaissent que le baptême par l’Esprit consolateu
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le baptême par l’eau, et ne reconnaissent que le
baptême
par l’Esprit consolateur : ce consolamentum devient le rite majeur de
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appelle une espèce de sacrement, qu’il compare au
Baptême
et au Mariage. (J. Huizinga, Le Déclin du Moyen Âge, p. 78.) La conce
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res désirs et à soi-même. (Et c’est le symbole du
Baptême
.) Telle est la ruse de l’Amour insondable. Admirons-en la précision m
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lutte nos principes de tactique, et leur donna le
baptême
du feu. Nous sommes bien loin de nous sentir dépossédés par cette mis
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res désirs et à soi-même. (Et c’est le symbole du
Baptême
.) Telle est la ruse de l’Amour insondable. Admirons-en la précision m
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ormules de la consécration, de la communion et du
baptême
, celles du mariage et de la confirmation sont toujours identiques par
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ux gentils de toute race ; il leur confère par le
baptême
la dignité nouvelle de chrétien comme Rome conférait à ses ennemis de
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armée de missionnaires, et amènent les hommes au
baptême
, voire à la foi : je dis seulement qu’ils orientent les élites puis l
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exercer toutes sortes de fonctions : état civil (
baptêmes
, mariages), taxes et impôts, banque. L’administration est donc exercé