1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
1 ’envahit. Et Closain rencontre, dans l’inévitable bar , le couple de juifs espagnols qui va l’entraîner avec son mauvais cœu
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
2 dace qu’ils escomptent scandaleuse. Mais voici un bar où je vous suis. Vous y entrez plein de mépris pour Paul Morand par q
3 Poisson dans l’eau, plumes dans le vent, poète au bar , le paradis n’est pas si cher. Il y en a aussi qui posent pour le dia
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 commençait à osciller vaguement. Les couleurs du bar me remplissaient d’une joie inconnue. Et je me refusais sans cesse au
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 et, passages, allusions. Plus tard, dans un petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, refléta
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
6 s du Scandale, provinciaux énervés par la vie des bars de la capitale nous apparaissent incapables de transporter dans ce dé
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
7 t, passages, allusions. Plus tard, dans un petit bar laqué de noir jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, refléta
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
8 t ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au bar installé dans une petite salle où trépigne un orchestre russe, et y b
9 re un air de dégoût, par mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereusement. Ô f
8 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
10 c, représentés par le baron W. de Münchhausen, au bar des Vikings (Paris), fin septembre 1931. » w. « La pluie et le beau
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
11 t ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au bar installé dans une petite salle où trépigne un orchestre russe, et y b
12 re un air de dégoût, par mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereusement. Ô f
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
13 urdi. Souvenirs d’une plage de la Baltique ; d’un bar des quais de Costanza ; de stations vides au cours de voyages fatigan
11 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
14 e nous sommes libérés et ils infestent encore nos bars  ! » ⁂ Autre exemple de cette même contradiction dans les jugements eu
12 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
15 és, écouter les conversations des voisins dans un bar , coudoyer des hommes déformés ou épais, des femmes malades ou trop ve
13 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
16 dîner. Et je passais le reste de la nuit dans un bar , en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Maria. Je l’avais connu que
17 . La veille de mon départ, comme nous sortions du bar , Maria et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichs
18 ues lignes sur une feuille portant l’en-tête d’un bar de Budapest, et disant à peu près : « Donne-moi vite de tes nouvelles
14 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
19 feu des projecteurs. Puis ce fut la ruée vers les bars odorants de fritures et de bière à pleins bords. Vers une heure du ma
20 és, écouter les conversations des voisins dans un bar , coudoyer des hommes déformés ou épais, des femmes malades ou trop ve
15 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
21 cine illuminée, vers une heure du matin, quand le bar se ferme. Une irrésistible euphorie règne parmi notre communauté d’in
22 viennent d’embarquer à Santos. Je les retrouve au bar . Et de quoi parlons-nous ? De Neuchâtel, bien entendu, où ils étaient
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
23 ait ? qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au bar installé dans une petite salle où trépigne un orchestre russe, et y b
24 re un air de dégoût, par mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereusement. Ô f
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
25 urdi. Souvenirs d’une plage de la Baltique ; d’un bar des quais de Costanza ; de stations vides au cours de voyages fatigan
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
26 feu des projecteurs. Puis ce fut la ruée vers les bars odorants de fritures et de bière à pleins bords. Vers une heure du ma
27 és, écouter les conversations des voisins dans un bar , coudoyer des hommes déformés ou épais, des femmes malades ou trop ve
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
28 cine illuminée, vers une heure du matin, quand le bar ferme. Une irrésistible euphorie règne parmi notre communauté d’incon
20 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
29 se réfugie dans son club ou parmi les copains du bar voisin. La journée d’un couple bourgeois, dans une grande ville améri
30 ans la petite cuisine blanche, parfois ornée d’un bar , toujours d’un frigidaire. Mais alors le mari perd en autorité ce qu’
21 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
31 dîner. Et je passais le reste de la nuit dans un bar , en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Maria. Je l’avais connu que
32 . La veille de mon départ, comme nous sortions du bar , Maria et moi, une édition du matin nous apprend l’incendie du Reichs
33 ues lignes sur une feuille portant l’en-tête d’un bar de Budapest, et disant à peu près : « Donne-moi vite de tes nouvelles
22 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
34 apper. Harry veut me tuer. Il court dans tous les bars . Je me défile en vitesse vers la campagne. Et là, docteur, là je m’en
23 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
35 nous sommes libérés, et ils infestent encore nos bars  !… C’est là ce que j’appellerai l’hypocrisie latine. (Un thème qui me
36 reams, des jus de fruits et des sandwiches sur un bar , des journaux et des cigarettes.
24 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
37 se réfugie dans son club ou parmi les copains du bar voisin. La journée d’un couple bourgeois, dans une grande ville améri
38 ans la petite cuisine blanche, parfois ornée d’un bar , toujours d’un frigidaire. Mais alors le mari perd en autorité ce qu’
25 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
39 et ces magasins clairs, où l’on peut s’asseoir au bar et déjeuner, n’ont rien que de plaisant) les différentes régions de l
26 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
40 euilles du Cheval de Troie, et m’entraîne dans un bar voisin. Musique en sourdine, lumières tamisées, ronronnement des conv
41 musique s’est tue. Les tables se vident. Dans ce bar souterrain règne toujours la même pénombre crépusculaire. Nul mouveme
27 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
42 re fut codirecteur), Pierre Girard blotti dans un bar ou poussant du pied les feuilles mortes du Molard, Jean-Louis Vaudoye
28 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
43 pour arbitre. Rendez-vous fut fixé dans un petit bar français pour le dîner du lendemain. J’y vais à l’heure, Marcel est d