1 e autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans une brousse où s’engage délibérément notre fantôme. Il a

2 etites chambres et un pan de toit par-dessus, une baraque à peine visible dans les vignes, à peine détachée du flanc de la coll

3 mbres et un pan de toit par-dessus, cela fait une baraque à peine visible dans les vignes, à peine détachée du flanc de la coll

4 e autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans une brousse où s’engage délibérément notre fantôme. Il a

5 mbres et un pan de toit par-dessus, cela fait une baraque à peine visible dans les vignes, à peine détachée du flanc de la coll

6 caine — très peu d’argent — il loue une espèce de baraque dans le quartier le plus mal famé de la grande ville de Kobé, et se m

7 e : une plage basse, quelques pins, deux ou trois baraques . Nous traînons nos valises le long d’un appontement interminable jusq

8 Des familles de huit personnes couchant dans une baraque à un seul lit. Tous ceux qui fuient la société et la police, les sans

9 st carrément défavorable. Ils m’emmènent dans une baraque de police où l’on appose des scellés sur ma valise. Ils m’annoncent q

10 etites chambres et un pan de toit par-dessus, une baraque à peine visible dans les vignes, à peine détachée du flanc de la coll

11 e : une plage basse, quelques pins, deux ou trois baraques . Nous traînons nos valises le long d’un appontement interminable jusq

12 Des familles de huit personnes couchant dans une baraque à un seul lit. Tous ceux qui fuient la société et la police, les sans

13 st carrément défavorable. Ils m’emmènent dans une baraque de police où l’on appose des scellés sur ma valise. Ils m’annoncent q