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se raccroche au monde. Mais il a touché certains
bas-fonds
de l’âme où s’éveille un désenchantement qui l’amène au besoin d’une
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réformes de grande envergure, commencées dans les
bas-fonds
de la ville de Kobé et peu à peu élargies à tout ce vaste empire mode
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l s’en rend compte lors de sa première visite aux
bas-fonds
: Eiichi était partagé entre deux désirs. L’un était de se sauver au
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e fois pour se donner tout entier à la misère des
bas-fonds
de Kobé. Il fait siennes toutes les épreuves d’un peuple misérable, d
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Eiichi est provisoirement libéré. Les enfants des
bas-fonds
l’attendent à sa sortie, s’accrochent à ses manches et l’escortent av
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mont Maya et pria Dieu de lui donner Kobé et les
bas-fonds
. La nature, le sommeil et les enfants étaient ses meilleurs réconfort
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rappé par le contraste odieux entre la misère des
bas-fonds
et l’essor de la bourgeoisie capitaliste qui se développe très rapide
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sonne ? Kagawa n’hésite pas. Il va vivre dans les
bas-fonds
. Avec un peu d’argent que lui donne une mission américaine — très peu
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, des ivrognes, tout le rebut d’humanité dont les
bas-fonds
eux-mêmes ne savent que faire. Il faut lire l’effarante description d
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aboutira à l’assainissement radical des slums ou
bas-fonds
de Kobé et de plusieurs villes japonaises, à la création d’importante
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ler payer de leur personne, comme Kagawa dans les
bas-fonds
ou la prison. Qu’ils le fassent, si la foi leur permet de rendre grâc
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l’attendent pour vivre. Kagawa aux carrefours des
bas-fonds
de Kobé. 7 juillet 1935 Depuis une semaine que j’habite près de
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l’attendent pour vivre. Kagawa aux carrefours des
bas-fonds
de Kobé. 7 juillet 1935 Depuis une semaine que j’habite près de