1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 itiques, mais on a si souvent l’impression qu’ils battent la mesure devant un orchestre qui, sans eux, jouerait aussi bien, aus
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 iberté est de les porter plus loin sans cesse, de battre mes propres records. De ce lent effort naît une modestie que je m’eno
3 uis enfin la marée de mes désirs. Qu’ils viennent battre ce corps triste, qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes joie
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
4 omination de la langue. Et parmi les modernes, il bat tous les records de l’image, ce qui nous vaut avec des bizarreries fa
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
5 ne colombe. Chasse. Mais un papillon éclatant qui battait de l’aile un dixième de seconde, par intermittences, se pose enfin su
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
6 rs voix pour les rendre plus touchantes. Celui-ci bat sa coulpe avec une saine rudesse. « Il s’examine jusqu’au ventre de s
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
7 ’a d’importance véritable. Alors, cessons de nous battre contre des moulins à vent. La littérature, considérée du point de vue
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
8 toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient . Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regar
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
9 idèrent comme tels. Et je ne me tiendrai pas pour battu quand on m’aura fait remarquer que la plupart des intellectuels sont
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
10 idèrent comme tels. Et je ne me tiendrai pas pour battu quand on m’aura fait remarquer que la plupart des intellectuels se so
10 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
11 ains au vent captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute-les. IV Tends moi la main à travers cette ombre
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
12 isissable, déjà perdue (comme le rêve pendant que bat la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil) — et m
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
13 vait un air étrange, quelque chose comme un océan battu par la tempête. Tandis que le train longeait les bords de la rivière
13 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
14 ent devant le porche grand ouvert. Les chauffeurs battaient la semelle dans la neige fraîche ou s’accoudaient à la banquette d’un
14 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
15 isissable, déjà perdue (comme le rêve pendant que bat la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil) — et m
15 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
16 a mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps da
17 s cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la prince
16 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
18 coûter cher à ses producteurs, de la haine qui se bat les flancs. a. Rougemont Denis de, « À l’index (Première liste) :
17 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
19 lus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous battre pour un « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proch
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 isissable, déjà perdue (comme le rêve pendant que bat la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil) — et m
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
21 a mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps da
22 s cygnes blancs. Ils se posèrent autour d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le peuple effrayé recula. » Mais la prince
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
23 du « Service étranger ». Ceux qui ont envie de se battre avec la vie s’en vont ailleurs brasser leur sang, plutôt que de troub
21 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
24 isait-il en ces derniers moments, tandis qu’il se battait encore, jugeait, voyait enfin… Il savait aussi que son œuvre se pours
22 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
25 ma mort, n’est-ce pas pour cette seule raison, où bat le cœur du paradoxe le plus fou, que l’Évangile nous dit : « Aimez vo
23 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
26 it un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pour ce système et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leu
24 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
27 se promenant sur les rives de la mer que viennent battre les vagues, ou levant les yeux vers le firmament parsemé d’étoiles, n
25 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
28 jamais risqué sa peau pour des intérêts. On ne se bat et on ne meurt que pour des « folies » qualifiées. Celle que l’Ordre
26 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
29 ustes, inertes, soudain féroces. Ils veulent être battus et en gémir. Ils n’ont un peu de vie que dans le désespoir de la révo
27 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
30 lus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous battre pour un « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proch
28 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
31 it un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pour ce système et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leu
29 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
32 stater que l’Allemagne, pour laquelle ils se sont battus , n’a plus la force d’utiliser leurs énergies, leurs vocations humaine
30 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
33 ustes, inertes, soudain féroces. Ils veulent être battus et en gémir. Ils n’ont un peu de vie que dans le désespoir de la révo
31 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
34 lus tenir longtemps ; ne pouvant accepter de nous battre pour un « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proch
32 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
35 it un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pour ce système et on l’obtint. On perdit de vue les hommes, dans leu
33 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
36 urtout que cette patrie pour laquelle ils se sont battus et qui n’a plus la force d’utiliser leurs énergies, est incapable de
34 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
37 : l’homme au service des hommes, bafoué, injurié, battu , exploité sans vergogne par tous les matamores et souteneurs qu’il a
35 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
38 ion de la Révolution et des Soviets. Nous ne nous battrons ni pour les Forges, ni pour les agents de Moscou : les uns et les aut
39 — par-dessus la tête de leurs troupes. Nous nous battrons le jour où le peuple français aura compris que l’adversaire unique es
36 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
40 accord par une agression hitlérienne, irait-on se battre au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Fl
37 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). À propos du 14 juillet (juillet-août 1935)
41 14 juillet (juillet-août 1935)q r … Nous nous battrons le jour où le peuple français aura compris que l’adversaire unique es
38 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
42 expliquer… et peut-être aussi à faire. J’ai à me battre aussi, contre un régime économique et culturel, contre une masse de p
39 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
43 jusqu’à ces dernières années, l’écrivain doit se battre sur deux fronts : il doit gagner son pain, et il doit triompher des c
40 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
44 ne illusion, une démesure ou une mesure qui fasse battre pendant cinq ans le cœur d’un peuple. Cela suffira sans doute à rendr
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
45 imes étrangers, pour lesquels ils sont prêts à se battre , c’est accepter la guerre civile la plus absurde de l’histoire ; c’es
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
46 ne illusion, une démesure ou une mesure qui fasse battre pendant cinq ans le cœur d’un peuple. Cela suffira sans doute à rendr
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
47 ler. C’est parce qu’Hitler a compris cela qu’il a battu tous les partis adverses, et sept millions d’électeurs communistes. I
44 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
48 ne illusion, une démesure ou une mesure qui fasse battre pendant cinq ans le cœur d’un peuple. Cela suffira sans doute à rendr
45 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
49 ler. C’est parce qu’Hitler a compris cela qu’il a battu tous les partis adverses, et sept millions d’électeurs communistes. I
46 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
50 . Il croit que c’est elles qu’il faut changer. Il bat la table, comme Xerxès faisait battre l’Hellespont. C’est ce préjugé
51 ut changer. Il bat la table, comme Xerxès faisait battre l’Hellespont. C’est ce préjugé infantile que le marxisme devait conso
47 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
52 urquoi donc nos démocraties se laisseraient-elles battre sur ce terrain, où elles disposent des meilleures armes ? Je persiste
48 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
53 ins. Ils votent radical ou socialiste, et se font battre à plate couture, régulièrement. Mais faut-il donc penser que les comm
49 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
54 clare avoir perdu son ombre. Le second romantisme bat son plein. On a vu bien des fous Chez Tieck et chez Fouqué. Celui-ci
50 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
55 cela prend les chiens. Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-dessous de notre chambre, et dans la
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
56 ue brusquement avec l’aube. Depuis une heure nous battions la semelle sur les quais déserts de ce port fantomatique, sans ville
57 out d’un coup cet orage de novembre qui crible et bat les flots durant la courte traversée, puis s’apaise non moins subitem
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
58 ins. Ils votent radical ou socialiste, et se font battre à plates coutures, régulièrement. Mais faut-il donc penser que les co
59 cela prend les chiens. Toute la nuit, ils se sont battus dans la remise qui est juste au-dessous de notre chambre, et dans la
53 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
60 ètres le long des avenues. Et le tambour se mit à battre — deux coups lents, trois coups rapprochés — on l’entendait encore au
54 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
61 ssurance. Représentons-nous cela : deux hommes se battent . Ils sont apparemment en divergence absolue ; en réalité, ils se batt
62 emment en divergence absolue ; en réalité, ils se battent sur la base d’un accord fondamental : la croyance à la validité de la
55 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
63 ô sainte nuit d’intimité, où de nouveau j’entends battre le cœur de mon ancienne « Germanie aimée »… 2 janvier 1936 Le f
64 expliquer… et peut-être aussi à faire. J’ai à me battre , aussi, contre un régime économique et culturel, contre une masse de
65 couverture. Il lance le livre sur la banquette et bat en retraite.   — Phrases souvent entendues chez des bourgeois de l’es
66 coups lents, trois coups rapprochés, n’a cessé de battre hier par toute la ville. Il est trois heures du matin : j’ai été réve
67 arvient par les baies ouvertes, cent-mille hommes battent les murs de la halle. Quelques femmes s’évanouissent, on les emporte,
68 t satisfaits, je me dis parfois : ils aiment être battus  ; ils ont, au fond, ce qu’ils méritent. Mais attention : nous autres
56 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
69 mez en un fasciste honteux, qui sera certainement battu par le fasciste glorieux. ⁂ Je conçois très bien qu’un communiste n’a
57 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
70 élèbre la Sagesse d’amour : c’est là vraiment que bat son cœur. Et Dante n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Phil
58 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
71 rer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se battre après les repas ou à jeun ? — Dans quels cas peut-on s’évader de capt
72 c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ens
73 es. D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de battre en Italie : « Il n’est pas possible de méconnaître, comme ce Bonapart
74 ationale À partir de la Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une façon « farouche et t
75 que des ouvrages traduits en français). On va se battre pour le plaisir, ou plutôt pour le désespoir, contre n’importe qui. P
59 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
76 lui importaient les raisons pour lesquelles il se battait . La guerre constituait une espèce de jeu avec des règles, un commence
60 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
77 iculière soit interdite, et que les Suisses ne se battent plus jamais que sous notre commun drapeau ! J’ai dit. Le président
78 nous envoie Oui tous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains, peuple, pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfares
61 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
79 us envoie Oui, tous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains, peuple, pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfare
62 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
80 élèbre la Sagesse d’amour : c’est là vraiment que bat son cœur. Et Dante n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Phil
63 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
81 rer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se battre après les repas ou à jeun ? — Dans quels cas peut-on s’évader de capt
82 c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ens
83 es. D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de battre en Italie : « Il n’est pas possible de méconnaître, comme ce Bonapart
84 ationale À partir de la Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une façon « farouche et t
85 r et les Réprouvés d’Ernst von Salomon). On va se battre pour le plaisir, ou plutôt pour le désespoir, contre n’importe qui. P
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
86 élèbre la Sagesse d’amour : c’est là vraiment que bat son cœur. Et Dante n’est jamais plus passionné qu’en chantant la Phil
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
87 rer bataille un jour de fête ? — Vaut-il mieux se battre après les repas ou à jeun ? — Dans quels cas peut-on s’évader de capt
88 c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ens
89 es. D’où ce cri d’un des généraux qu’il venait de battre en Italie : « Il n’est pas possible de méconnaître, comme ce Bonapart
90 ationale À partir de la Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des soldats » c’est-à-dire d’une façon « farouche et t
91 r et Les Réprouvés d’Ernst von Salomon). On va se battre pour le plaisir, ou plutôt pour le désespoir, contre n’importe qui. P
66 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
92 n. Et non pas les distractions. Les hommes qui se battent , par exemple, sont moralement en meilleure forme que ceux qui, à l’ar
67 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
93 n… Nous faisons tous comme les petits enfants qui battent la table à laquelle ils se sont heurtés. Il est facile et rassurant d
68 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
94 n… Nous faisons tous comme les petits enfants qui battent la table à laquelle ils se sont heurtés. Il est facile et rassurant d
69 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
95 nt peut-être pas tort, mais ils sont certainement battus . L’« arme secrète » dont on parle souvent, c’est simplement la propag
70 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Blind alley of Europe (1941)
96 pas leur dire franchement : vous êtes affamés et battus , le prix de la vie a augmenté chez vous de 42 %, l’Angleterre devient
71 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
97 nt peut-être pas tort, mais ils sont certainement battus . L’« arme secrète » dont on parle souvent, c’est simplement la propag
72 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
98 il admet comme condition d’extension l’idée de se battre  ; on peut dire aussi que le moment où un mouvement aura atteint sa fo
99 larisant les capacités de la personne, c’est être battu d’avance. N’oublions pas : dans le combat dramatique entre les magici
73 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
100 ait tenu le coup, personne ne se sentait vraiment battu . On peut dire aujourd’hui sans exagération que la réélection de Roose
74 1942, La Part du diable. Première partie. L’Incognito et la Révélation
101 es du monde pour les tromper et pour les faire se battre sans raison alléguée, et finalement flamboyé par le feu du ciel et pr
75 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
102 magique. Comme de petits enfants en colère, nous battons la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
103 ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous battre contre Hitler. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous e
76 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
104 n s’aimer autant ? Un beau soir, elle se mit à le battre , et le laissa pour mort sur la descente de lit. Puis elle s’endormit,
105 e lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je battu  ? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pas, c’est que tu m’aimes bien mal.
106 ait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Pourquoi me tortur
107 grandissent. Dis-moi maintenant pourquoi je t’ai battu  ? Comme il ouvrait la bouche pour répondre, elle le frappa si fort qu
108 , il est presque aveugle. — Pourquoi donc t’ai-je battu  ? lui dit-elle chaque matin. Je ne suis pas méchante, et je t’aimais.
109 is pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu , je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Ma
110 te, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense da
111 attrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre  ? Mais lui pense dans sa tristesse : — Si je lui dis qu’elle ne m’aim
112 urquoi elle est méchante. Or je l’ignore. Elle me battra de nouveau. Quand elle m’aura tué, elle sera désespérée et je ne veux
113 et homme ne m’aime pas, pense la femme. Allons en battre un autre.   Moralité. S’il l’avait battue le premier… 40. Situati
77 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
114 ntretue pour ces mots. Il semble même que l’on se batte pour eux avec d’autant plus de passion que l’on sait moins clairement
115 » de leur ordre contre le bolchévisme ? Vous vous battez au nom de votre liberté contre un tyran qui mène sa guerre au nom de
78 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
116 es du monde pour les tromper et pour les faire se battre sans raison alléguée, finalement flamboyé par le feu de ciel et préci
79 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
117 Et c’est la chance du diable pour demain. Hitler battu , nous n’aurons plus d’Ennemi 10. Une dimension de la vie nous fera dé
80 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
118 Hitler, nous sommes du bon côté ? C’est un ennemi battu , nous sommes donc quittes ? Le diable n’en demandait pas plus : il ad
119 magique. Comme de petits enfants en colère, nous battons la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
120 ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous battre contre Hitler. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous e
81 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
121 n s’aimer autant ? Un beau soir, elle se mit à le battre , et le laissa pour mort sur la descente de lit. Puis elle s’endormit,
122 e lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je battu  ? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pas, c’est que tu m’aimes bien mal.
123 ait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Pourquoi me tortur
124 grandissent. Dis-moi maintenant pourquoi je t’ai battu  ? Comme il ouvrait la bouche pour répondre, elle le frappa si fort qu
125 , il est presque aveugle. — Pourquoi donc t’ai-je battu  ? lui dit-elle chaque matin. Je ne suis pas méchante, et je t’aimais.
126 is pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu , je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Ma
127 te, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense da
128 attrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre  ? Mais lui pense dans sa tristesse : — Si je lui dis qu’elle ne m’aim
129 urquoi elle est méchante. Or je l’ignore. Elle me battra de nouveau. Quand elle m’aura tué, elle sera désespérée et je ne veux
130 et homme ne m’aime pas, pense la femme. Allons en battre un autre. Moralité. S’il l’avait battue le premier… 56. Situation
82 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
131 ntretue pour ces mots. Il semble même que l’on se batte pour eux avec d’autant plus de passion que l’on sait moins clairement
132 de leur ordre contre le bolchévisme ? D’autres se battaient au nom de leur liberté contre un tyran qui menait sa guerre au nom de
83 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
133 es du monde pour les tromper et pour les faire se battre sans raison alléguée, finalement flamboyé par le feu de ciel et préci
84 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
134 Et c’est la chance du diable pour demain. Hitler battu , nous n’aurons plus d’Ennemi 12. Une dimension de la vie nous fera dé
85 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
135 Hitler, nous sommes du bon côté ? C’est un ennemi battu , nous sommes donc quittes ? Le diable n’en demandait pas plus ; il ad
136 magique. Comme de petits enfants en colère, nous battons la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
137 ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous battre contre Hitler. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous e
86 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
138 n s’aimer autant ? Un beau soir, elle se mit à le battre , et le laissa pour mort sur la descente de lit. Puis elle s’endormit,
139 e lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je battu  ? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pas, c’est que tu m’aimes bien mal.
140 ait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit encore. Puis elle lui dit : — Ta révolte m’excède. Pourquoi me tortur
141 grandissent. Dis-moi maintenant pourquoi je t’ai battu  ? Comme il ouvrait la bouche pour répondre, elle le frappa si fort qu
142 t il est presque aveugle. — Pourquoi donc t’ai-je battu  ? lui dit-elle chaque matin. Je ne suis pas méchante, et je t’aimais.
143 is pas méchante, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu , je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Ma
144 te, et je t’aimais. Pourtant je t’ai battu, je te battrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense da
145 attrai encore. Dis-moi pourquoi j’ai besoin de te battre  ? Mais lui pense dans, sa tristesse : — Si je lui dis qu’elle ne m’ai
146 urquoi elle est méchante. Or je l’ignore. Elle me battra de nouveau. Quand elle m’aura tué, elle sera désespérée et je ne veux
147 et homme ne m’aime pas, pense la femme. Allons en battre un autre. » Moralité : S’il l’avait battue le premier… 56. Situat
87 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
148 ntretue pour ces mots. Il semble même que l’on se batte pour eux avec d’autant plus de passion que l’on sait moins clairement
149 de leur ordre contre le bolchévisme ? D’autres se battaient au nom de leur liberté contre un tyran qui menait sa guerre au nom de
88 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
150 es du monde pour les tromper et pour les faire se battre sans raison alléguée, et finalement flamboyé par le feu du ciel et pr
89 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
151 magique. Comme de petits enfants en colère, nous battons la table à laquelle nous nous sommes heurtés. Ou comme Xerxès, nous f
152 ils, donc nous n’avons pas le droit moral de nous battre contre celui que nous tenons pour un coupable. » — Nous sommes tous c
90 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
153 rage panique ; ils continuent, mais ils se savent battus . Depuis qu’ils ont rencontré ce regard… k. Rougemont Denis de, « U
91 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
154 ns une manufacture de brosses à dents, l’un d’eux battit le record de production de l’atelier. Il était éditeur de son métier,
92 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 2. Goethe médiateur
155 sion, alors que les masses, en tant que masses se battent dans la confusion18. C’est pourquoi notre tâche — que Goethe eût appr
93 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
156 ots. Responsable est celui qui a tiré le premier. Battu , celui qui touche des deux épaules et se met à faire le bon apôtre. N
94 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
157 erre. Les deux fils, officiers de marine, se sont battus dans le Pacifique. Les disputes politiques, à la table des T…, semble
95 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
158 ailleurs — la discussion sur l’avenir de la Bombe bat son plein. Bien entendu, l’opinion des savants domine tout. Leur mauv
96 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
159 es mouvements délirants de l’Inconscient moderne. Battus comme plâtre, et toujours Tartarins, cupides ou entravés comme les fi
97 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
160 es. Aucun d’eux ne donnait l’impression de s’être battu pour l’idéal démocratique. Ils m’ont demandé le résultat du dernier m
98 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
161 capables de les énumérer. Il semble qu’on se soit battu « pour » quelque chose qui n’était pas trop clair, ni bien facile à r
99 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
162 senti, sous le drapé d’un français riche et pur, battre le pouls mesuré de l’Asie, le cœur violent des Amériques. Vous alliez
100 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
163 d’ordre. Admettons qu’elles arrivent encore à se battre . Admettons que la Bombe soit moins puissante que les savants autorisé