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Les
Bestiaires
, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)g Je ferme les Bestiair
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de Montherlant (10 juillet 1926)g Je ferme les
Bestiaires
, et me tirant hors de ce « long songe de violence et de volupté », je
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e plaine. De tels passages qui abondent dans les
Bestiaires
font pardonner bien d’autres pages de vrais délires taurologiques. Qu
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nnons ? » ⁂ Il est impossible de ne voir dans les
Bestiaires
qu’une évocation de l’Espagne et du génie taurin. Ce qui perce à chaq
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parallélisme du poète et du philosophe. g. « Les
Bestiaires
, roman, par Henry de Montherlant, chez Grasset », La Semaine littérai
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Henry de Montherlant, Les
Bestiaires
(septembre 1926)x J’éprouve quelque gêne à porter un jugement litt
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s. Et c’est elle avant tout que j’admire dans ces
Bestiaires
, presque malgré leur sujet trop pittoresque. « Honneur et longue fidé
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plus humaines. x. « Henry de Montherlant : Les
Bestiaires
(Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genè
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femme qui détourne l’Amour à son profit. Dans un
Bestiaire
moralisé de cette époque, je trouve la même fable, avec cette conclus
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femme qui détourne l’Amour à son profit. Dans un
Bestiaire
moralisé de cette époque, je trouve la même fable, avec cette conclus
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femme qui détourne l’Amour à son profit. Dans un
Bestiaire
moralisé de cette époque, je trouve la même fable, avec cette conclus