1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 Les Bestiaires , par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)g Je ferme les Bestiair
2 de Montherlant (10 juillet 1926)g Je ferme les Bestiaires , et me tirant hors de ce « long songe de violence et de volupté », je
3 e plaine. De tels passages qui abondent dans les Bestiaires font pardonner bien d’autres pages de vrais délires taurologiques. Qu
4 nnons ? » ⁂ Il est impossible de ne voir dans les Bestiaires qu’une évocation de l’Espagne et du génie taurin. Ce qui perce à chaq
5 parallélisme du poète et du philosophe. g. « Les Bestiaires , roman, par Henry de Montherlant, chez Grasset », La Semaine littérai
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
6 Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)x J’éprouve quelque gêne à porter un jugement litt
7 s. Et c’est elle avant tout que j’admire dans ces Bestiaires , presque malgré leur sujet trop pittoresque. « Honneur et longue fidé
8 plus humaines. x. « Henry de Montherlant : Les Bestiaires (Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genè
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
9 femme qui détourne l’Amour à son profit. Dans un Bestiaire moralisé de cette époque, je trouve la même fable, avec cette conclus
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
10 femme qui détourne l’Amour à son profit. Dans un Bestiaire moralisé de cette époque, je trouve la même fable, avec cette conclus
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
11 femme qui détourne l’Amour à son profit. Dans un Bestiaire moralisé de cette époque, je trouve la même fable, avec cette conclus