1 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
1 pas le spleen des poètes romantiques, non pas les blues . Mais cette phrase entendue partout : « Je ne sais pas pourquoi je vi
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
2 pas le spleen des poètes romantiques, non pas les blues . Mais cette phrase entendue partout : « Je ne sais pas pourquoi je vi
3 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
3 s noir — non violet », enfin « les siffloteurs de blues dans les usines secrètes de guerre », au « pire scandale de l’histoir
4 matinal du continent américain. (La poésie des «  blues  » fait illusion : temps faible d’un grand rythme souple, dont il devr