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ur des étangs vient se mêler à celle des vieilles
boiseries
. Enveloppé de gaze je sors sur mon balcon, je me penche sur le parc i
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ur des étangs vient se mêler à celle des vieilles
boiseries
. Enveloppé de gaze je sors sur mon balcon, je me penche sur le parc i
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sulpiciens que nature. L’autel est dominé par des
boiseries
sombres, ornées de branches de sapin de Noël. Et partout, dans tous c
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guement les meubles lourds, une bibliothèque, des
boiseries
. Le lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferm
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guement les meubles lourds, une bibliothèque, des
boiseries
. Le lustre, enfin, s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et fe
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chambres fleuries d’abondants chrysanthèmes. Les
boiseries
, les rideaux et les plats viennent de Suisse, le couple de domestique
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guement les meubles lourds, une bibliothèque, des
boiseries
. Le lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferm
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ur des étangs vient se mêler à celle des vieilles
boiseries
. Enveloppé de gaze je sors sur mon balcon, je me penche sur le parc i
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chambres fleuries d’abondants chrysanthèmes. Les
boiseries
, les rideaux et les plats viennent de Suisse, le couple de domestique
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guement les meubles lourds, une bibliothèque, des
boiseries
. Le lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferm
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sulpiciens que nature. L’autel est dominé par des
boiseries
sombres, ornées de branches de sapin à Noël. Et partout, dans tous ce
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e marbre noir et rose tenant la place de l’autel,
boiseries
sculptées ; et par les hautes fenêtres sans vitraux, on voit des pent