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nsi mon art, entre terre et ciel. Mais sa foulée,
bondissante
et posée, est pleine du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique qu
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u’il s’accorde d’emblée avec ce qu’il y a de plus
bondissant
en nous ; en prise directe sur notre énergie physique. Partout rôdent
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lenteur des arbres, sans réponse à l’affectivité
bondissante
du monde animal et à cette « attente ardente de la création tout enti
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uan qui occupe la scène de sa présence insolente,
bondissante
, mais secrètement anxieuse. Or, Don Juan est l’antithèse de Tristan,